Bienvenue sur la voie de la vérité.

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Vous êtes arrivés jusqu'à mon âme ? Comment ? Par pur hasart ? Non , direz certains.
Et vos autres ? Vous avez suivi le goufre de la curisité ? Vous avez vu mon âme ? Comment cela était ? Pas par pur hasart ? Non, direz les autres .
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Bienvenue citoyen du monde

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Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




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02/01/2019

EL

Hashem §ʾĒl § אֱלֹהִים est Un:
ni soumis au changement ni à l'espace-temps ni plusieurs ni un tout
sans limites ni attributs


 «  Je suis 'EL' et je suis ton 'EL'. Comment suis-je 'EL' ? Comme il a été dit à Moïse, « je suis Celui qui est ». Comment suis-je ton 'EL' ? « Je suis le 'EL' d'Abraham et le 'EL' d'Isaac et le 'EL' de Jacob » « je suis Celui qui est » Je suis le 'EL' de Mohammed . »

« 'EL' est l'ultime source et point d'origine pour ce qui est dessous ». Le monde sensible est celui du privé, des choses qui passent, tandis que le monde intelligible, celui du public, est formé des réalités durables. Le monde intelligible cherche l'unité avec 'EL', avec la source tandis que le monde sensible se laisse piéger par les choses matérielles et n'est donc capable que d'accéder à une petite portion du réel. Au contraire le monde intelligible et la raison permettent d'orienter notre sensibilité vers le haut, vers 'EL'. Le mal moral réside dans le fait de s'en tenir aux biens inférieurs et par là de se détourner de 'EL'

« Bien des choses des saintes écritures y sont exprimées sur un mode plutôt simple, accommodé aux âmes qui se traînent à terre, afin que les réalités humaines leur permettent de se dresser vers les divines ; bien des choses y sont exprimées sur le mode figuré, afin que l'esprit studieux s'y exerce plus utilement dans sa recherche et s'y réjouisse davantage dans sa découverte »



« 'EL  étant Créateur et Gouverneur de l'univers, toutes choses sont belles ; et la beauté de l'ensemble est irréprochable, tant par la condamnation des pêcheurs, que par l'épreuve des justes et la perfection des bienheureux »

     C'est la lumière de 'EL qui est 'EL  lui-même qui nous permet non seulement d'arriver à des vérités a priori mais également à tout le savoir humain, et non l'âme qui n'est qu'une créature faite à l'image de 'EL . Y-t-il a un lien réel entre le mot et la chose qu'il désigne. Il convient de souligner les limites à notre capacité de connaître. Il n'est pas possible de prouver la nécessité de l'existence de 'EL  par la raison ; il n'est possible d'atteindre une connaissance directe de 'EL  que par l'expérience mystique. Il en résulte que tout ce qu'on peut savoir de 'EL  par la raison c'est qu'il excède nos capacités de compréhension. Vis-à-vis de la philosophie il a une attitude semblable : elle ne peut nous permettre d'atteindre la vérité absolue, mais, elle conduit l'esprit à réduire en quelque sorte le doute, à se faire une idée des choses. 

 Il importe peu de savoir si 'EL doit être pensé comme Forme ou Matière, Acte ou Puissance : tous ces termes conviennent, pourvu qu'on les considère comme des conjectures initiales à dépasser. 'EL n'est pas n'importe quel acte ou forme, c'est l'acte et la forme les plus grands ; et Il est si Grand qu'Il excède même l'acte et la forme.
Deux principes de toutes choses l'être et le non être. L'être se manifeste par trois attributs essentiels : la force, la sagesse et l'amour. En Dieu seul on trouve l'être et ses attributs sans mélange de non être. Les créatures sont un mélange d'être et de non être, force, sagesse, et amour dans la mesure où elles participent de l'être; impuissance, ignorance et haine dans la mesure où elles participent du néant.


 L’ordre de l’univers peut-il nous amener à constater l'existence d'un « éternel géomètre ». C'est pour lui une évidence rationnelle : un effet ne peut exister sans qu'il y ait aussi une cause préalable, de même que la lumière naturelle ne peut exister sans tirer son origine du soleil – ou qu'une bougie ne peut être allumée sans qu'un « athée » ait auparavant décidé d'enflammer sa mèche ; ce que on nomme « 'EL », c'est la Cause ultime, absolue qui ordonne éternellement et présentement tous les desseins cosmiques : le soleil est ainsi « fait pour éclairer notre portion d'univers ».

« Une cause sans effet est une chimère, une absurdité, aussi bien qu'un effet sans cause. Il y a donc éternellement, et il y aura toujours des effets de cette cause universelle. Ces effets ne peuvent venir de rien ; ils sont donc des émanations éternelles de cette cause éternelle. La matière de l'univers appartient donc à 'EL tout autant que les idées, et les idées tout autant que la matière. Dire que quelque chose est hors de Lui, ce serait dire qu'il y a quelque chose hors de l'infini. 'EL  étant le principe universel de toutes les choses, toutes existent en Lui et par lui. On ne fait point 'EL  l'universalité des choses : nous disons que l'universalité des choses émane de Lui ; et pour nous servir. de l'indigne comparaison du soleil et de ses rayons, nous disons qu'un trait de lumière lancé du globe du soleil, et absorbé dans le plus infect des cloaques, ne peut laisser aucune souillure dans cet astre. Ce cloaque n'empêche pas que le soleil ne vivifie toute la nature dans notre globe. Nous pourrions dire encore qu'un trait de lumière, pénétrant dans la fange, ne se mêle point avec elle, et qu'elle y conserve son essence invisible ; mais il vaut mieux avouer que la lumière la plus pure ne peut représenter 'EL . La lumière émane du soleil, et tout émane de 'EL . Nous ne savons pas comment ; mais nous pouvons: concevoir 'EL  comme l'Être nécessaire de qui tout émane: « qui ne peut pas ne pas être – ni être autrement »]. »
Mais, au-delà, il ne voit qu'incertitudes : « J'ai contemplé le divin ouvrage, et je n'ai point vu l'ouvrier ; j'ai interrogé la nature, elle est demeurée muette ». Il conclut : « Il m'est impossible de nier l'existence de ce 'EL  », ajoutant qu'il est « impossible de le connaître ». on rejette toute incarnation, « tous ces prétendus fils de 'EL  ». Ce sont « des contes de sorciers »« Un 'EL  se joindre à la nature humaine ! J'aimerais autant dire que les éléphants ont fait l'amour à des puces, et en ont eu de la race : ce serait bien moins impertinent ». « Pourquoi existe-t-il tant de mal, tout étant formé par un 'EL  que tous les théistes se sont accordés à nommer bon ? ».
« La terre est couverte de crimes (...) ; cela empêche-t-il qu'il y ait une cause universelle ? (...) Il y a une suite infinie de vérités, et l'Être infini peut seul comprendre cette suite. (...) Demander pourquoi il y a du mal sur terre, c'est demander pourquoi nous ne vivons pas autant que les chênes. (...) Le grand Être est fort ; mais les émanations sont nécessairement faibles. Servons-nous (...) de la comparaison du soleil. Ses rayons réunis fondent les métaux ; mais quand vous réunissez ceux qu'il a dardés sur le disque de la lune, ils n'excitent pas la plus légère chaleur. Nous sommes aussi nécessairement bornés que le grand Être est nécessairement immense. »
« Un miracle, selon l'énergie du mot, est une chose admirable. En ce cas, tout est miracle. L'ordre prodigieux de la nature, la rotation de cent millions de globes autour d'un million de soleils, l'activité de la lumière, la vie des animaux sont des miracles perpétuels. Selon les idées reçues, nous appelons miracle la violation de ces lois divines et éternelles. Plusieurs physiciens soutiennent qu'en ce sens il n'y a point de miracles ; un miracle est la violation des lois mathématiques divines, immuables, éternelles. Par ce seul exposé, un miracle est une contradiction dans les termes. Une loi ne peut être à la fois immuable et violée. Mais, une loi, leur dit-on, étant établie par 'EL  même, ne peut-elle être suspendue par son auteur ? Ils ont la hardiesse de répondre que non. »

Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.


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