« Il y a un lien entre les lois transcendantes et la conscience mais, si la créature peut fuir les lois, il n'en est pas de même de sa conscience. La conscience mauvaise ne se fuit pas elle-même,elle marche à sa propre suite. De sorte que pour lui, ce qui commande dans la loi, c'est la conscience, qui est aussi volonté, mais cela ne suffit pas en général pour sortir du péché. »
« Si la loi et la conscience ne permettent pas toujours de sortir du péché, ce n'est pas à cause d'une défaillance de la volonté mais parce que chez la créature, il y a une faiblesse dans la relation entre vouloir et pouvoir. De sorte que, si chez le Créateur vouloir et pouvoir coïncident, ce n'est pas le cas chez la créature. Aussi la créature a-t-elle besoin d'une aide extérieure : la grâce de 'EL qui va lui donner le pouvoir nécessaire. Mais, recevoir la grâce exige d'une part de la vouloir et d'autre part de reconnaître son incapacité à vaincre par soi-même le péché, c'est-à-dire faire un retour à 'EL . Par la grâce, le Créateur accueille à nouveau la créature qui est recréée puisque libérée de sa nature pécheresse »
« conscience qui fait l'unité de la personne »
La pensée constitue l'essence de l'esprit tout comme l'extension constitue l'essence entière de la matière
Cette «voix» de la conscience, qui se fait entendre dans l'individu est néanmoins la même en tout homme. Malgré la diversité et la variabilité des mœurs et des connaissances, elle est universelle : elle est en nous la voix de la nature, car «quoique toutes nos idées nous viennent du dehors, les sentiments qui les apprécient sont au-dedans de nous, et c'est par eux seuls que nous connaissons la convenance ou disconvenance qui existe entre nous et les choses que nous devons respecter ou fuir» . Tel un instinct, mais néenmoins signe de notre liberté, elle ne nous trompe jamais, pour peu qu'on l'écoute vraiment : «Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme comparable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions ; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs avec un entendement sans règle et d'une raison sans principe»
« Si la loi et la conscience ne permettent pas toujours de sortir du péché, ce n'est pas à cause d'une défaillance de la volonté mais parce que chez la créature, il y a une faiblesse dans la relation entre vouloir et pouvoir. De sorte que, si chez le Créateur vouloir et pouvoir coïncident, ce n'est pas le cas chez la créature. Aussi la créature a-t-elle besoin d'une aide extérieure : la grâce de 'EL qui va lui donner le pouvoir nécessaire. Mais, recevoir la grâce exige d'une part de la vouloir et d'autre part de reconnaître son incapacité à vaincre par soi-même le péché, c'est-à-dire faire un retour à 'EL . Par la grâce, le Créateur accueille à nouveau la créature qui est recréée puisque libérée de sa nature pécheresse »
« conscience qui fait l'unité de la personne »
La pensée constitue l'essence de l'esprit tout comme l'extension constitue l'essence entière de la matière
Cette «voix» de la conscience, qui se fait entendre dans l'individu est néanmoins la même en tout homme. Malgré la diversité et la variabilité des mœurs et des connaissances, elle est universelle : elle est en nous la voix de la nature, car «quoique toutes nos idées nous viennent du dehors, les sentiments qui les apprécient sont au-dedans de nous, et c'est par eux seuls que nous connaissons la convenance ou disconvenance qui existe entre nous et les choses que nous devons respecter ou fuir» . Tel un instinct, mais néenmoins signe de notre liberté, elle ne nous trompe jamais, pour peu qu'on l'écoute vraiment : «Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme comparable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions ; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs avec un entendement sans règle et d'une raison sans principe»
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