la foi est connaissance
Croire est lié à la foi vue comme recherche fidèle de la vérité dans un monde marqué par « la versatilité et l'inconstance de l'âme humaine ». La foi est l'esprit de résistance d'une âme qui, lucide sur ses faiblesses de constitution lutte contre la conjuration d'événements quotidiens dont l'inessentielle séduction tente constamment de la détourner de sa quête ». La foi précède l'intelligence. Il faut croire pour penser. C'est le sens de l'injonction « crois afin de comprendre, comprends afin de croire »
Toute pensée cherche la vérité, traduit une volonté de vérité, Dieu est vérité donc l'homme désire Dieu. Dieu se révèle parce qu'il a mis en l'homme ce désir de vérité, parce qu'Il l'appelle. « Dieu ne peut être pensé par l'homme que parce qu'il a voulu se manifester à lui ». La foi incite à tenter de comprendre le mystère de Dieu et du monde en même temps qu'elle pose une distance, un recul tant par rapport à ce mystère que par rapport à soi-même.
Notre conscience est limitée
À la suite de Kozlov et de Lopatine, vient Askoldov, métaphysicien rattaché aussi à Leibnitz et à Schelling et défenseur, en gnoséologie, de la possibilité du miracle.
Croire est lié à la foi vue comme recherche fidèle de la vérité dans un monde marqué par « la versatilité et l'inconstance de l'âme humaine ». La foi est l'esprit de résistance d'une âme qui, lucide sur ses faiblesses de constitution lutte contre la conjuration d'événements quotidiens dont l'inessentielle séduction tente constamment de la détourner de sa quête ». La foi précède l'intelligence. Il faut croire pour penser. C'est le sens de l'injonction « crois afin de comprendre, comprends afin de croire »
Toute pensée cherche la vérité, traduit une volonté de vérité, Dieu est vérité donc l'homme désire Dieu. Dieu se révèle parce qu'il a mis en l'homme ce désir de vérité, parce qu'Il l'appelle. « Dieu ne peut être pensé par l'homme que parce qu'il a voulu se manifester à lui ». La foi incite à tenter de comprendre le mystère de Dieu et du monde en même temps qu'elle pose une distance, un recul tant par rapport à ce mystère que par rapport à soi-même.
Notre conscience est limitée
À la suite de Kozlov et de Lopatine, vient Askoldov, métaphysicien rattaché aussi à Leibnitz et à Schelling et défenseur, en gnoséologie, de la possibilité du miracle.
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