Les crimes des arabes islamistes envers la population autochtone d'Afrique du Nord : une histoire qui ne date pas d'hier, et que certains veulent à tout prix faire passer sous silence.
Bravo et respect aux amazighs (berbères), autochtones d'Afrique du Nord, qui se battent pour dénoncer les crimes de l'humanité commis par les arabes (et les arabisés) au nom de leur islamisme et panarabisme épris d'intolérance. Bravo à ceux qui dénoncent le virus de ce siècle : la dite "culture" arabo-wahhabite, qui voue un culte de la violence et l'intolérance.
Les panarabistes argumentent leur mépris de l'histoire nord-africaine berbère, amazighe, libyque, en voulant faire croire que l'islamisation de l'Afrique du Nord s'est faite "dans la paix", sans qu'une goutte de sang ne soit versée et avec la volonté du peuple autochtone, un pur mensonge historique.
Il faut savoir que les arabes, venus d'Orient, en allant à la conquête de l'Afrique du Nord et aveuglés par leur fanatisme, ont commis des crimes atroces envers les populations autochtones : meurtres, génocides, viols, envers les berbères, sans compter les vols, pillages, et destructions de patrimoine. Les berbères qui, pour information étaient un peuple dont la société fonctionnait sous un modèle social imprégné de Matriarcat (voir le matriarcat berbère).
Lorsque les arabes ont envahi l'Afrique du Nord, une grande reine guerrière appelée Dihya s'est opposée aux massacres et aux pillages envers les berbères, et s'est battue épée à la main pour défendre son peuple et sa culture autochtone. Dihya les a vaincu en remportant plusieurs batailles et a réussi à protéger son peuple pendant quelques années, avant d'être finalement tuée égorgée, décapitée, par le sanguinaire général arabe "Oqba Ibn Naafi", sorte de général des "daechiens" de l'époque. La tête décapitée de la très respectable Reine Dihya fut remise au calife en guise de trophée pour les arabes, qui ne supportaient pas l'idée d'être vaincus par une femme à la tête d'une armée toute entière.
Aujourd'hui l'Afrique du Nord est plus ou moins largement arabisée (bien que la majorité des gens soient d'origine berbère), ils ne savent plus rien de leur origine, leur culture, au point que de grandes figures historiques berbères, telles cette grande reine berbère Dihya, ou encore la Reine berbère touarègue Tin Hinan, elle aussi guerrière, mais aussi de grands rois berbères tels que Masensen (Massinissa), Yugerten (Jugurtha), etc. sont tous méconnus de la majorité des nord-africains, car les gouvernements à la solde des partisans du panarabisme, de l'Arabie, et de l'islam wahhabite destructeur ne veulent pas que la vérité se sache. Au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Libye (qui sont des terres d'origine berbère), l'histoire de la civilisation berbère n'est pas enseignée, car tout est fait pour la camoufler, pour la cacher et faire en sorte d'ignorer cette culture plus que noble et respectable qui vouait un respect hors du commun aux femmes, en plus d'être une culture qui a toujours été imprégnée de valeurs humanistes, de tolérance et de respect à l'égard des convictions religieuses de chacun, avant que tout ne soit foutu en l'air par ces panarabistes islamo-wahhabisés voulant imposer leur idéologie à tous.
Il est inadmissible de constater que, de nos jours, le peuple nord-africain se croit arabe alors que ce n'est pas le cas, et s'identifie à cette culture. Il est de notre devoir à tous de rappeler l'histoire telle qu'elle est en encourageant les gens à se renseigner sur l'histoire du peuple autochtone d'Afrique du Nord et sa culture millénaire, celle des amazighs (berbères).
L'arabisation et l'islamisation forcée de l'Afrique du Nord ont fait des dégâts culturels innommables.
Bravo et respect aux amazighs (berbères), autochtones d'Afrique du Nord, qui se battent pour dénoncer les crimes de l'humanité commis par les arabes (et les arabisés) au nom de leur islamisme et panarabisme épris d'intolérance. Bravo à ceux qui dénoncent le virus de ce siècle : la dite "culture" arabo-wahhabite, qui voue un culte de la violence et l'intolérance.
Les panarabistes argumentent leur mépris de l'histoire nord-africaine berbère, amazighe, libyque, en voulant faire croire que l'islamisation de l'Afrique du Nord s'est faite "dans la paix", sans qu'une goutte de sang ne soit versée et avec la volonté du peuple autochtone, un pur mensonge historique.
Il faut savoir que les arabes, venus d'Orient, en allant à la conquête de l'Afrique du Nord et aveuglés par leur fanatisme, ont commis des crimes atroces envers les populations autochtones : meurtres, génocides, viols, envers les berbères, sans compter les vols, pillages, et destructions de patrimoine. Les berbères qui, pour information étaient un peuple dont la société fonctionnait sous un modèle social imprégné de Matriarcat (voir le matriarcat berbère).
Lorsque les arabes ont envahi l'Afrique du Nord, une grande reine guerrière appelée Dihya s'est opposée aux massacres et aux pillages envers les berbères, et s'est battue épée à la main pour défendre son peuple et sa culture autochtone. Dihya les a vaincu en remportant plusieurs batailles et a réussi à protéger son peuple pendant quelques années, avant d'être finalement tuée égorgée, décapitée, par le sanguinaire général arabe "Oqba Ibn Naafi", sorte de général des "daechiens" de l'époque. La tête décapitée de la très respectable Reine Dihya fut remise au calife en guise de trophée pour les arabes, qui ne supportaient pas l'idée d'être vaincus par une femme à la tête d'une armée toute entière.
Aujourd'hui l'Afrique du Nord est plus ou moins largement arabisée (bien que la majorité des gens soient d'origine berbère), ils ne savent plus rien de leur origine, leur culture, au point que de grandes figures historiques berbères, telles cette grande reine berbère Dihya, ou encore la Reine berbère touarègue Tin Hinan, elle aussi guerrière, mais aussi de grands rois berbères tels que Masensen (Massinissa), Yugerten (Jugurtha), etc. sont tous méconnus de la majorité des nord-africains, car les gouvernements à la solde des partisans du panarabisme, de l'Arabie, et de l'islam wahhabite destructeur ne veulent pas que la vérité se sache. Au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Libye (qui sont des terres d'origine berbère), l'histoire de la civilisation berbère n'est pas enseignée, car tout est fait pour la camoufler, pour la cacher et faire en sorte d'ignorer cette culture plus que noble et respectable qui vouait un respect hors du commun aux femmes, en plus d'être une culture qui a toujours été imprégnée de valeurs humanistes, de tolérance et de respect à l'égard des convictions religieuses de chacun, avant que tout ne soit foutu en l'air par ces panarabistes islamo-wahhabisés voulant imposer leur idéologie à tous.
Il est inadmissible de constater que, de nos jours, le peuple nord-africain se croit arabe alors que ce n'est pas le cas, et s'identifie à cette culture. Il est de notre devoir à tous de rappeler l'histoire telle qu'elle est en encourageant les gens à se renseigner sur l'histoire du peuple autochtone d'Afrique du Nord et sa culture millénaire, celle des amazighs (berbères).
L'arabisation et l'islamisation forcée de l'Afrique du Nord ont fait des dégâts culturels innommables.
Je tenais à partager ce témoignage, pour que la vérité se sache.
Tudert i yidles enagh, ayyuz imazighen. Vive la culture amazighe, et bravo aux militants. Ni oubli ni pardon, ulac smah ulac.
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