شمعة
اضاءت حياتي
شمعة
انارت مساري
شمعة
كانت الامل
امل الحياة
وحياة الامل
شمعة
احترقت من اجلي
دمعت لاحزاني
دمعت لافراحي
انطفأت الشمعة
واندثر النور
وعم الضلام
وساد السكون
قد اضل الطريق
فمن بعدها اليوم
ياخد بيدي
Cela fait aujourd'hui deux longues années que tu nous as quitté, tu étais une grand-mère tellement indescriptible, tu avais tout pour être parfaite, une personne souriante forte et tellement attentionnée tu avais toutes les qualités du monde, tu m'as beaucoup appris, tu m'as tellement donné, tu es une personne hors du commun, tu es partis mais saches que je suis tellement fière d'avoir eu une grand-mère comme toi, je pense à toi chaque instant je me rappelle de chaque mot de chaque poème de chaque fable de chaque pièce de théâtre que tu m'as appris comme si c'était hier, "L'enfance passe, la jeunesse prend place, la vieillesse les remplace et la mort les efface..La vie est courte, le jugement est long et la sentence est éternelle, ne l'oublions pas..Alors fais de ta vie le chemin qui te mènera au paradis tu y entreras par la porte de ton choix." Tu m'as plusieurs fois répété ce proverbe que je n'oublierai jamais, tu as une façon de penser une façon d'agir que j'apprécie énormément, je donnerais tout pour devenir comme toi mima d'amour, je t'aime d'un amour fou et éternel. Je ne t'oublierai jamais, et je ne cesserais jamais de pensé à toi. "Éblouie par son charme
Attiré par son sarcasme
Inspiré par toutes ses morales
Assia, était une grande Dame
Spéciale et incomparable
Avec un grand cœur et une douceur mémorable
Je l'aime et je ne cesserais de l'aimer de toute mon âme."
Je t'écris aujourd'hui pour te remercier encore et encore pour tout se que tu as faits pour nous.
Que ton âme reposes en paix, Tu nous manques fort, je t'aime mimati
❤️On apprend beaucoup d'un être aimé qui vit ses derniers moments. J'ai découvert ainsi chez une personne proche une force et un courage que je ne lui soupçonnais pas avant sa maladie. Et que moi je n'avais pas.
Le chagrin ne s'exprime pas toujours par des larmes ; il vous ronge le cœur.
On a besoin de s'accoutumer à tout, au malheur, à la maladie, au bonheur même
très touchée par la sympathie dont vous avez fait preuve
à la suite du deuil qui vient de les affecter,
vous remercie chaleureusement et vous présente l'expression de leur reconnaissance.
Nous sommes sûrs que ma soeur que vous avez accompagné pour son départ,
a autant que nous, là où elle est, aimée votre amicale assistance et votre précieux soutien.
Profondément touchés de la sympathie dont vous avez fait preuve à la suite du deuil qui vient de nous affecter, nous vous remercions chaleureusement et vous présentons l’expression de notre reconnaissance émue
La mémoire est le miroir où nous regardons les absents.
La famille est un lieu où tout le monde vous aime, peu importe comment vous êtes, ils vous acceptent pour qui vous êtes. Ma sœur me manque. L'odeur de son shampoing. Sa manière d'arriver à me convaincre de lui lire un autre livre. Quand vous aimez quelqu'un comme je l'ai aimée, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peut importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir. À présent, à chaque fois que je touche cette corde, je sais qu'il n'y aura personne au bout, et j'ai l'impression de plonger dans le néant. Puis je me rappelle de de toi soeur. Je me rappelle d'une vie menée sans ennemis, sans préjugés, sans regret... Et je suis inspirée... À me lever du lit et continuer de vivre. Ma sœur me manque tellement. C'est comme si une partie de moi s'était arrachée. Juste encore une fois, je voudrais la serrer contre moi... Dix petites secondes de plus... Est-ce trop demandé ? Pour dix secondes de plus dans ses bras ? Mais je ne peux pas, et je ne le ferai pas, et la seule chose qui m'empêche de me laisser emporter par la tristesse, est de me dire queLilou me tuerait pour ça. Donc à partir de maintenant, elle va juste me manquer.
C'est horrible de perdre un de ses proches.
J'ai passé beaucoup de temps à réfléchir, je cherchais des réponses,
des justifications mais je n'en ai pas trouvé parce que il n'y en a aucune,
c'est aussi simple que ça.
J'ai envie de crier au monde entier ô combien je t'aime et ô combien tu manques.
J'ai envie de crier au monde la douleur qui me ronge depuis que tu es partie.
J'ai envie de crier mais je ne dis rien. Je souffre sans dire un mot, les larmes coulent quand je suis seule.
Sans un mot, sans un cris, sans une parole.
Je t'aime en silence.
« Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi plus tranquille ! » disait Charles Baudelaire. Douleur psychique et souffrance physique frappent sans prévenir et tourmentent jusqu'aux plus grands...
Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.
Que sais-tu de ma douleur toi qui goûtes le bonheur de tous tes sens en pleine inconscience?
Que sais-tu de la peine éveillant ma haine lorsque survinrent les images de ton éphémère passage?
Que sais-tu de la richesse que recèle ma faiblesse lorsque je m'expose pour entrer en osmose?
Que sais-tu des dilemmes des grains que je sème quand arrive le temps de récolter les ferments?
Que sais-tu de ma solitude en silencieuse hébétude toi qui ne sais que fuir ce que tu ne peux construire?
Que sais-tu des petites joies que j'ai vécues sans tes lois pour espérer un vain retour des anciens jours?
Que sais-tu des regrets inutile que chaque jour j'empile pour les consumer au feu de mes jours heureux?
Que sais-tu des mes profondes envies si tu ne lis que ce qui te convient croyant que je t'appartiens?
Si tu savais le chemin que j'ai hérité de ton chagrin tu ne serais aussi assidue à creuser mon vécu.
On se dit capable de s'éloigner de certaines personnes.. On prétend pouvoir le faire avec toute la facilité du monde et on y croit même.. Jusqu'au moment où l'on réalise l'étrange sensation de l'éphémère, le silence inquiétant qui menace de les arracher de la vie (comme d'autres ont été arrachés bien avant sans préavis).. Je me pose la question: "Et si l'autre ne se réveille pas demain matin? Vais je regretter ces mots tus maintenant qu'il a encore les yeux ouverts et qu'il me regarde en souriant (ne soupçonnons rien de ce à quoi je pense)"???
Attendre quelqu'un, c'est le faire exister avant son apparition.. David Foenkinos
On se dit capable de s'éloigner de certaines personnes.. On prétend pouvoir le faire avec toute la facilité du monde et on y croit même.. Jusqu'au moment où l'on réalise l'étrange sensation de l'éphémère, le silence inquiétant qui menace de les arracher de la vie (comme d'autres ont été arrachés bien avant sans préavis).. Je me pose la question: "Et si l'autre ne se réveille pas demain matin? Vais je regretter ces mots tus maintenant qu'il a encore les yeux ouverts et qu'il me regarde en souriant (ne soupçonnons rien de ce à quoi je pense)"???
A quand les réveils sans douleurs enfin?
Et que le cher Leibniz me pardonne: parce qu entre le mal physique et le mal moral, majorés par le mal métaphysique..l'équation donne tout sauf le meilleur des mondes possibles..
De Toi je n’ai jamais été séparé tant que je suis demeuré en vie ;
En cela gît la preuve de mon étoile fortunée.
Si j’ai cessé d’être, je me suis perdu dans Ton Essence,
Si j’existe, c’est par Ta Lumière que je suis apparent.
"Je laisse bien des choses tomber et échapper,c'est pourquoi vous me dîtes méprisant,mais qui boit à des verres trop pleins,en laisse beaucoup tomber et échapper,mais pour autant ne pense de mal du vin" ... Nietzsche
"Que vaut-il mieux? Que tu sois à dix mille kilomètres de moi, que je te sache vivante, t'aimant, alors que tu m'as quitté, ne m'aimant plus, ou bien que tu gises au cimetière, moi habitant l'hôtel tout proche, et t'apportant des fleurs, et te parlant comme on parle aux choses, devant la définition même de ta condition de morte, ce silence pourri ? Je préfère te savoir à dix mille kilomètres de moi. Tu t'es certes extirpée de moi, tu m'as trompé pour "faire" du conflit mais moi je reste pour te "faire" du remord. L'exil que tu m'as fabriqué est une raison de m'exiler en toi, de te visiter dans les coins inhabités de ta mémoire et d'y pondre mon œuf. Je suis devenu le souvenir. Quand tu me passes dans ta visionneuse, c'est un faux de moi que tu vois, un moi de la veille. Les exilés ne vivent pas dans la mémoire. Ils vivent demain"..
" On naît seul, on vit seul, on meurt seul. C'est seulement à travers l'amour et l'amitié que l'on peut créer l'illusion momentanée que nous ne sommes pas seuls. "
Orson Welles
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