Bienvenue sur la voie de la vérité.

Vous êtes sur ce blog par curiosité ? Non , direz certains.
Alors vous recherchez votre âme dans mes yeux ? Non , direz certains.
Vous êtes arrivés jusqu'à mon âme ? Comment ? Par pur hasart ? Non , direz certains.
Et vos autres ? Vous avez suivi le goufre de la curisité ? Vous avez vu mon âme ? Comment cela était ? Pas par pur hasart ? Non, direz les autres .
Alors Vous incertains qui ont vu mon âme , il vous à ébloui dans la lumière du jour ? Ou dans les ténébres de la nuit ?Non, direz certains.
C'est une question ou une réponse ?

Rechercher dans ce blog

Membres

Messages les plus consultés

Pages

Messages les plus consultés

Messages les plus consultés

Bienvenue citoyen du monde

Bienvenue citoyen du monde







Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




Nombre total de pages vues

Messages les plus consultés

16/02/2019

Esprit


Comment pouvons-nous connaître quelque chose sur ces états mentaux, de métaphysique ;Existe-t-il des entités mentales ? Se distinguent-elles des entités matérielles et quelles sont leurs relations ?
Pourtant, comment se peut-il que l'expérience consciente puisse mettre en mouvement un corps, i. e. un objet matériel pourvu de propriétés physico-chimiques ? Comment peut-on vouloir être la cause du fonctionnement de nos neurones et de la contraction de nos muscles, de sorte qu'ils réalisent ce que nous nous proposons de faire ? Ce sont là quelques-unes des questions principales auxquelles se sont confrontés les philosophes de l'esprit
Les qualia, au singulier quale, sont définis comme les propriétés de l'expérience sensible par lesquelles cela fait quelque chose de percevoir ceci ou cela (couleur, son, etc. ). Ce sont par conséquent des effets subjectifs ressentis et associés de manière spécifique aux états mentaux :
  • expériences perceptives ;
  • sensations corporelles (douleur, faim, plaisir, etc. )  ;
  • passions et émotions.
Par définition, ces qualia sont inconnaissables en l'absence d'une intuition directe ; ils sont par conséquent aussi incommunicables. L'existence et la nature de ces propriétés sont l'un des débats principaux de la philosophie de l'esprit. Cette importance tient au fait que l'existence des qualia réfute le physicalisme, étant donné que on les tient pour des phénomènes irréductibles.


Dans le langage philosophique contemporain "Esprit" peut être opposé à différentes notions :
  1. Opposé à la matière, avec une distinction entre la pensée et l'objet de la pensée, la matière ; avec des ressemblances avec subjectif/objectif ou unicité/grande variété dans certains rapports.
  2. Opposé à la nature par exemple dans la distinction liberté/obligation.
  3. Opposé à la chair ainsi qu'à l'instinct de vie animale, on retrouve ici un sens proche de celui de Raison 
La philosophie oppose corps et esprit (nommé plus volontiers conscience par la philosophie et âme par certaines religions. 
En psychologie contemporaine: totalité des activités mentales humaines, conscientes et non-conscientes.

Comment pouvons-nous connaître quelque chose sur ces états mentaux, de métaphysique ;Existe-t-il des entités mentales ? Se distinguent-elles des entités matérielles et quelles sont leurs relations ?

  • En métaphysique et dans les religions, le mot esprit sert à désigner l'élément immatériel incarné en l'être humain ou l'ensemble des êtres immatériels supposés doués d'intelligence : Dieu, les anges, les démons, etc.  : esprit (surnaturel)
  • En psychologie, le mot esprit sert à désigner les processus mentaux et la faculté de penser propre à l'homme.
  • L'esprit renvoit au principe de la vie ou à l'âme individuelle.
  • L'Église catholique enseigne que la distinction entre l'âme et l'esprit n'introduit pas une dualité dans l'âme. Au IXe siècle, lors du IVe concile de Constantinople en 869, il y eut une controverse sur la relation entre l'âme et le corps. Le 11e canon de ce concile affirma l'unicité de l'âme.
    C'est par conséquent au IXe siècle qu'on formalise la distinction entre l'âme et l'esprit. L'esprit étant habituellement associé à la pensée et l'âme au sentiment, on considérait jusque là que l'homme pouvait avoir une nature multiple (corps, âme et esprit). Le christianisme affirma au contraire l'unité de la personne humaine (un de corps et d'âme) en niant l'existence de l'esprit, car il est confondu avec l'âme :
    «L'unité de l'âme et du corps est si profonde qu'on doit considérer l'âme comme la forme du corps ; c'est-à-dire, c'est grâce à l'âme spirituelle que le corps constitué de matière est un corps humain et vivant ; l'esprit et la matière, dans l'homme, ne sont pas deux natures unies, mais leur union forme une unique nature.»
    L'Église catholique a par conséquent cherché à approfondir le sens des termes, ce qui n'est pas allé sans controverse entre l'Église de Rome et les Églises d'orient. Dans le catéchisme de l'Église catholique, la notion d'âme est attachée à un individu (unité de la personne humaine et de l'âme), alors que l'esprit est reconnu aussi sous un angle collectif :
    «L'héritage sacré de la foi, contenu dans la Sainte Tradition et dans l'Écriture Sainte a été confié par les apôtres à la totalité de l'Église. En s'attachant à lui, le peuple saint tout entier uni à ses pasteurs reste assidûment fidèle à l'enseignement des apôtres ainsi qu'à la communion fraternelle, à la fraction du pain ainsi qu'aux prières, si bien que, dans le maintien, la pratique et la confession de la foi transmise, s'établit, entre pasteurs et fidèles, une singulière unité d'esprit.»
« La condition nécessaire pour qu'il soit possible de dire non, c'est que le non-être soit une présence perpétuelle, en nous et hors de nous, c'est que le néant hante l'être ». Par quoi il faut entendre non seulement que l'être a sur le néant une préséance logique, mais encore que c'est de l'être que le néant tire concrètement son efficace »

L'esprit dans la kabbale

La mystique juive, depuis le IIe siècle, considère que l'homme possède, en plus du corps physique, plusieurs âmes. Les néo-platoniciens juifs Abraham ibn Ezra (vers 1150) et Abraham bar Hiyya distinguent trois parties : nêfesh, ru'ah, neshamah ; les kabbalistes ajoutent hayyah, yehidah. Les cinq noms de l'âme, sont , dans un ordre ascendant : la nêfesh (esprit), le ru'ah (souffle, anima), la neshamah (âme, spiritus), la hayyah (vie), et la yehidah (union).

L'esprit dans le bouddhisme


Le bouddhisme nie l'existence de l'âme (reconnue comme une illusion, et insiste sur l'interdépendance profonde entre le corps et l'esprit. L'individu y est reconnu comme un ensemble d'agrégats, dont le premier est le corps, accompagné de 4 autres concepts pouvant être rattachés à la notion d'esprit : les sensations, les perceptions, les formations volitionnelles et la conscience. Ces agrégats sont des processus impermanents et interdépendants, et non des objets immuables. L'esprit est lié au corps et n'en devient réellement indépendant que dans les états de méditation sublimés que sont les dhyānas en vue du nirvāna.
L'esprit est reconnu, non pas comme un "fantôme dans la machine" du corps, mais comme un sixième sens en plus des cinq sens généralement reconnus. Le bouddhisme n'est ni spiritualiste, ni matérialiste : l'esprit n'est pas une entité éternelle, mais ce n'est pas non plus un épiphénomène de la matière. Le cerveau n'est qu'une sorte de "terminal" qui opère l'interface entre l'esprit (immatériel) et le monde des cinq sens (matériel). Les expériences d'états modifiés de conscience, communes chez les méditants avancés, semblent confirmer cette conception. Ajahn Brahm explique :
Le sixième sens, le mental, est indépendant des cinq autres sens. Surtout, il est indépendant du cerveau. Si on effectuait une transplantation du cerveau entre vous et moi, que vous preniez mon cerveau et moi le vôtre, je serais toujours Ajahn Brahm et vous seriez toujours vous. 
Le Dalaï-lama exprime une opinion identique :
Le niveau [de conscience] le plus élevé échappe au support matériel. La conscience est indépendante des particules physiques. 
Le fonctionnement essentiel de l'esprit et son conditionnement dans le saṃsāra sont décrits par la chaîne causale de la coproduction conditionnée. 

L'esprit dans les philosophies


Philosophie occidentale classique


Au XVIIe siècle, Descartes sépare le corps de l'esprit (qu'il identifie à l'âme) en un dualisme : le corps est une substance étendue et relève de la mécanique, alors que l'âme est une substance pensante. Comme passif, l'esprit est intellect ; comme actif, il est volonté. L'unité des deux reste un problème épineux, et Descartes voit dans la glande pinéale le lieu de communication entre les deux.
À contrario, les tenants du matérialisme philosophique refusent l'existence d'un principe immatériel et l'esprit est conçu comme la manifestation de phénomènes physiologiques régis par les lois de la physique : «le cerveau sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile» (Pierre-Jean-Georges Cabanis, 1802).

Philosophie de l'esprit contemporaine


La généralisation du paradigme moniste naturaliste dans les sciences de l'esprit, actuellement connues sous le nom de sciences cognitives, conduit fréquemment actuellement à mettre entre le cerveau et l'esprit dans le même type de rapport que le matériel («hardware») et le logiciel («software») en informatique.

Philosophie spirite

Le Spiritisme se définit comme une philosophie spiritualiste et accorde une place principale à la notion d'esprit. Pour cette doctrine, l'esprit est le principe intelligent de l'univers, dont la véritable nature reste à découvrir. Dans le sens de la doctrine spirite, les Esprits sont les êtres intelligents de la création, qui peuplent l'univers en dehors du monde matériel, et qui forment le monde invisible. Ce ne sont point des êtres d'une création spécifique, mais les âmes de ceux qui ont vécu sur la terre ou dans les autres sphères, et qui ont quitté leur enveloppe corporelle

L'esprit dans les sciences


Par étymologie, la psychologie est la science de l'esprit. Mais face aux connotations religieuses et mystiques du mot, le discours scientifique a préféré utiliser des termes plus neutres comme ceux de facultés ou processus mentaux ou encore psyché (surtout dans les approches d'inspiration psychanalytique) ou cognition. Dans les sciences cognitives contemporaines, le terme cognition ne renvoie pas uniquement aux facultés de connaissance et d'intelligence de la pensée mais bien à la totalité des processus psychologiques à l'œuvre dans l'esprit humain (et non-humain), incluant la perception, la motivation, la décision ou les émotions...

La philosophie de l'esprit, la branche de la philosophie contemporaine qui s'intéresse aux problèmes posés par les concepts d'esprit, d'états mentaux, la conscience, etc.

La théorie de l'esprit est une faculté psychologique présente chez un nombre particulièrement restreint d'espèces animales, ou alors, selon certains chercheurs, spécifique à l'homme autorise un individu de comprendre les états mentaux (croyances et intentions) d'un autre individu.

Aucun commentaire: