Bienvenue sur la voie de la vérité.

Vous êtes sur ce blog par curiosité ? Non , direz certains.
Alors vous recherchez votre âme dans mes yeux ? Non , direz certains.
Vous êtes arrivés jusqu'à mon âme ? Comment ? Par pur hasart ? Non , direz certains.
Et vos autres ? Vous avez suivi le goufre de la curisité ? Vous avez vu mon âme ? Comment cela était ? Pas par pur hasart ? Non, direz les autres .
Alors Vous incertains qui ont vu mon âme , il vous à ébloui dans la lumière du jour ? Ou dans les ténébres de la nuit ?Non, direz certains.
C'est une question ou une réponse ?

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Bienvenue citoyen du monde

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Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




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26/08/2017

Croyances

Pour comparer les niveaux de foi et en partie répondre à la question, "est-ce que les religieux croient vraiment aux mythes de leurs religions respectives?", j'ai établi un modèle qui fonctionne pour les religions qui promettent l'au-delà à leurs ouailles méritantes.
Une personne achète un billet de loterie, parce qu'elle "croit" à sa chance.
La personne qui croit beaucoup, construit toute une chapelle, autour d'un meuble précieux dans lequel le billet est mis en valeur et y pense tout le temps. C'est le croyant pieux qui construit sa vie autour du billet.
La personne qui ne croit pas, n'a pas de billet.
La personne qui croit très peu, laissera traîner le billet dans un tiroir en n'y pensant plus, jusqu'à oublier où il se trouve, mais cette personne répondra, "oui j'ai un billet, moi aussi j'en ai un", chaque fois qu'on lui demandera, et donc y pensera à ce moment-là.
Les autres personnes se trouvent à des stades intermédiaires.
Est-ce que celui qui a construit toute sa vie autour d'une relique enchâssée, contenant son billet, croit plus que celui qui l'a oublié au fond d'un tiroir? Rien n'est moins sûr!
Est-ce que celle qui n'a pas de billet, ne s'est pas simplement dit que le billet n'était qu'un symbole pour des esprits trop étroits pour imaginer qu'un dieu puisse s'en passer? Est-ce que cette personne, n'est pas finalement celle qui dit "si Dieu est dieu, il n'a pas besoin de ça"?
Possible!
À l'évidence,le jeune terroriste musulman kamikaze, le musulman austère, le témoin de Jéhovah qui fait des kilomètres, le missionnaire Baptiste qui sourit à ceux qui l'insultent, le moine trappiste en robe de bure, le juif de Bnei Brak, miséreux croulant sous les enfants et le besoin de l'écraser matérialisé par l'excédent de poids de sa femme, suant sous sa redingote en plein été,
sacrifient la belle vie qu'ils auraient pu avoir, à l'espoir de la vie éternelle qui les attends, la qualité de vie ici-bas, pour la vie d'après là bas, parce qu'ils y croient, ils s'y croient, c'est un marché conclu avec eux-mêmes. C'est aussi parce que plus ils en font, plus ils se convainquent eux-mêmes, moins ils peuvent faire marche arrière, que leur foi agit sur eux comme une tautologie, dans laquelle il s'enferment pour ne plus se poser de questions, en s'assommant avec des préceptes qui règlent leurs vies, jusque dans les moindres détails.
Alors qui croit?

Sans l'existence de l'être, le monde du devenir ne pourrait avoir toute notre confiance. Les hommes croient toujours à des entités dont pratiquement personne n'a jamais eu l'expérience. Les croyances religieuses et les certitudes métaphysiques doivent donc faire l'objet d'un examen particulier.

La croyance en un monde métaphysique est le symptôme d'une volonté de déprécier celui-ci. On retrouve ainsi les évaluations des faibles :
« Dans ce cas, nous nous vengeons de la vie en lui opposant la fantasmagorie d'une vie « autre » et « meilleure ». »
Les philosophes se vengent donc de la vie en momifiant tout ce qui à leurs yeux a de la valeur :
  • leurs notions sont éternelles, sans aucun devenir, donc sans génération, sans croissance, sans corruption, donc sans vie, sans pathos ;
  • cela suppose la suppression du corps et des passions : les philosophes, quand ils produisent des abstractions, vident les concepts de leurs entrailles, frappant tout ce qui est périssable de nullité. L’expérience nous montre pourtant le contraire mais cela suppose un regard particulier, une perspective sous le rapport de l’éternité ;
  • volonté de dénigrement, nihilisme : le monde vrai = néant. De quelque manière que l’on envisage le problème, ces prémisses étant données, que l’on soit en Inde, en Grèce, etc. la conclusion est que ce monde, le monde en devenir, est inconsistant, faux, un néant d’être ;
  • parce que les sens sont tenus pour immoraux, ils doivent être condamnés du point de vue de la connaissance. La haine des sens conduit à imaginer un autre monde.
 La connaissance a une origine morale ; elle est une évaluation du monde selon des valeurs humaines, selon ce que l'homme désire trouver dans le monde.

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