Bienvenue sur la voie de la vérité.

Vous êtes sur ce blog par curiosité ? Non , direz certains.
Alors vous recherchez votre âme dans mes yeux ? Non , direz certains.
Vous êtes arrivés jusqu'à mon âme ? Comment ? Par pur hasart ? Non , direz certains.
Et vos autres ? Vous avez suivi le goufre de la curisité ? Vous avez vu mon âme ? Comment cela était ? Pas par pur hasart ? Non, direz les autres .
Alors Vous incertains qui ont vu mon âme , il vous à ébloui dans la lumière du jour ? Ou dans les ténébres de la nuit ?Non, direz certains.
C'est une question ou une réponse ?

Rechercher dans ce blog

Membres

Messages les plus consultés

Pages

Messages les plus consultés

Messages les plus consultés

Bienvenue citoyen du monde

Bienvenue citoyen du monde







Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




Nombre total de pages vues

Messages les plus consultés

27/09/2015

Prof


« L'éducation est une chose admirable, mais il est bon de se souvenir de temps en temps que rien de ce qui est digne d'être connu ne peut s'enseigner. »
Oscar Wilde


Hommage à nos chers Enseignants et Enseignantes....

Qui a dit qu’enseigner était facile!

C'est déjà la rentrée scolaire et chaque année, je me dis qu’il y a une catégorie d'artistes de grande envergure que l’on oublie trop souvent parce qu’ils sont affublés de ce cliché qui dit à peu près ceci : « Être Enseignant, c’est un travail facile. » Je vous propose donc, vous les parents qui avez à juste titre votre plein chapeau pour gérer uniquement la discipline de deux ou trois de vos enfants chéris, d’essayer cela avec près d’une trentaine de copies conformes, pendant toute une journée, et ce, cinq ou six jours semaines.

Enseigner est le travail le plus difficile qui soit et qui malheureusement est considéré comme le plus facile par ceux qui ne l’ont jamais fait et pensent pouvoir le faire adéquatement. J’admets avoir moi-même pensé ainsi. Pourtant, quand j’ai décidé de cesser de faire de la psychologie de l'enfant pour enseigner la science ou autres volets, j’ai réalisé que je devais retourner à l’école pour acquérir une formation d’enseignant..

Mais d’où vient cette obligation me suis-je écrié de rage devant mes collègues qui partageaient ma désapprobation?

Eh bien! Ces administrateurs scolaires étaient une bande de têtes dures. Pour eux, il n’était pas question que j’enseigne ce que je connaissais le plus au monde sans passer par l’acquisition d’un certificat d’enseignement général. C’est ainsi, que comme un chien avec la queue entre les pattes d’en arrière, je retournai sur les bancs d’école pour aller chercher ce fichu certificat.

Et croyez-moi, c’est là que mes yeux se sont ouverts et je comprends maintenant.

Enseigner n’est pas uniquement amuser les enfants. Enseigner n’est pas uniquement passer un bagage académique. Enseigner, c’est comprendre comment le cerveau humain traite l’information qu’il reçoit et préparer son temps d’enseignement en tenant toujours compte de cette réalité. Enseigner, c’est simultanément convaincre n’importe quel jeune qu’il peut tout réaliser ce qu’il veut tout en accomplissant des travaux pratiques qui lui répugnent. Enseigner, c’est comprendre simultanément tous les changements psychologiques et physiologiques qui se passent dans le cerveau d’un jeune adolescent. Enseigner, c’est convaincre un élève récalcitrant que le travail qu’il perçoit comme inutile sert une cause plus noble qui va lui permettre d’acquérir des valeurs qui vont lui servir tout au long de sa vie. Enseigner, c’est offrir une oreille attentive tout en parlant avec une voix ferme et confiante. Enseigner, c’est être doublement un exemple et un mentor pour quelqu’un qui n’en a peut-être pas à la maison et qui n’en recherche pas non plus.

Enseigner n’est pas facile. Enseigner n’est pas quelque chose d’intuitif. Enseigner n’est pas quelque chose que n’importe qui peut faire. Les chercheurs en éducation ont passé des vies entières à élaborer de nouvelles méthodes d’enseignement. Enseigner est un travail dur qui demande un entrainement constant. Maintenant, je comprends.

Mais, servir de modèle d’inspiration à un enfant peut être très près d’une cause perdue, voir même une impossibilité. Et je défie quiconque être capable d’en mesurer le résultat. On ne peut tout simplement pas mesurer le degré d’intérêt ou d’inspiration dans un examen scolaire. On ne peut qu’en mesurer le résultat 25 années plus tard, quand cet adolescent est devenu un fameux médecin, un brillant avocat ou un entrepreneur qui vient remercier son professeur de quatrième année pour l’avoir encouragé à poursuivre ses rêves alors qu’il voulait quitter l’école. Peut-être est-ce pour cela que les professeurs sont si peu respectés. Il est difficile de respecter un talent qui est si difficile à quantifier.

Alors, il ne vous reste qu’à vous fier à notre parole, nous les enseignants en tout degré. La prochaine fois que vous entrerez dans une classe et que vous verrez un Enseignant enseigner calmement à une bande d’élèves qui auront tous l’air intéressés, dites-vous bien que ce n’est pas parce que le travail est facile, mais bien parce que nous faisons tout ce qu’il est possible de faire pour qu’il ait l’air si facile.

Eh oui, il nous arrive parfois de rendre ce travail amusant… aussi!… fin du texte

* En ce début d’année scolaire, permettez-moi de vous dire merci, à vous toutes et tous, les Enseignants qui ont à chacun leur manière, contribué à bâtir le pays que nous sommes et qui continuent, malgré ces temps extrêmement difficiles, à porter le flambeau du savoir pour les générations futures. Puissiez-vous garder la passion d’une des plus belles professions du monde.
Alors Parents... Responsables de toute tendance.... mettez-vous à genoux saluer vos ENSEIGNANTS...sans oublier notre Ministre d'Education qui ne cesse de minimiser le rôle prophétique de l'Enseignant....
Eh oui! Vraiment pas facile d’enseigner de nos jours… et vous avez toute mon admiration. Bonne année scolaire.
Votre Collègue....

La voie nous entend et nous attend .
Le jeu des homophones entend et attend est une personnification de la voie qui nous emmène vers un carrefour des voies immense divergeant et néant, au delà de l'horizon
Donc emprunter une voie, c'est un jeu au hasard .
Par ignorance, l'homme emprunta cette voie qui est seulement une piste ténébreuse poussiéreuse et tumultueuse .
Et que sa vie, c'est cette voie interminable pleine tantôt d'anges tantôt de diables
Puis enfin, pour ce périple fatale, l'être doit emprunter une voie qui réanime son coeur de joie .
Hélas l'homme ignore sa voie et n'écoute pas sa voix
Voilà un jeu de mot voie,vie et voix comme le jeu de la vie et de la voix.


 العميقين، والتلقي السهل للمعلومة، وهكذا نمشي واثقي الخطى في درب التربية والتعليم في مؤسستنا العريقة التي نسعد بانتمائك لطاقمها التربوي...

تعتبر ظاهرة العزوف غن الكتاب من اخطر الظواهر التي عرفتها البشرية بسبب الغزو التكنولوجي غير المعقلن والذي كان من نتائجه جمود وانحطاط فكري فهناك استعمار تكنولوجي كرس كل وسائله بشتى الطزق ليزيح الكتاب عن عرشه والذي ظل يتربع عليه حقتة من الزمن 

وبالفعل تقد نجح في اخذ مماكة الكتاب ....ايها الشباب .حاربوا هذا العدو 
بناتي العزيزات، أبنائي الأعزّاء... أرجوكم، جربوا الغوص بين صفحات كتاب تختارونه من أقرب مكتبة... وضعو مسافة بينكم وبين حواسيبكم لهنيهة فقط... كونوا على يقين أنكم ستشعرون بأعظم لذة في حيتاكم، وباكتشافكم لأروع صديق، سوف تقرروا الاّ تتخلوا عنه طوال حياتكم التي اتمنى أن تكون سعيدة على الدّوام... المجرّب

عندما ينفلت خيط التواصل مع بني جلدتنا، يكون صدر المحيط مفتوحا على الدوام ، لتقبل بوحنا، والإجابة عن بعض أسئلتنا الحارقة...!!! ألف تحية لك أيها اليمّ الحنون...!!!

بورك فيك يا أميرتنا الغالية .. كلماتك التي تقطر رقة وبيانا... تزرع الدفء في دواخلنا التي كساها الصقيع الإفراني... وتجعلنا نزداد أيمانا بأن هاته الحياة الفانية لازالت تضم على صدرها أناسا من طينة رائعة خلنا ها انقرضت إلى غير رجعة... لك مني كل التقدير والإحترام أديبتنا العزيزة...

26/09/2015

Bad

Bonjour!bonsoir chers Amis et membres
A compter de demain lundi 31/08/15, je serais absente pour quelques semaines. Le temps d un repos bien merite croyez-le. L annee a ete longue et bien mouvementee. Aussi Mes visites ici seront furtives.
Des lors, je vous confie notre salon et vous souhaite tout de Bon.
Votre hotesse

Ce qui me rappelle La conception pascalienne de la subjectivité.
En effet Pascal oppose deux étants : les étants naturels et les étants humains. Les premiers ne sont pas doués de conscience, ce sont des étants muets et inconscients. les seconds, les hommes, possèdent une réflexivité, la capacité de se mettre à distance d’eux-memes.
“L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau suffit pour le tuer. Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien”


J'ai le cœur et les pieds nus
L'été est presque fini
Qu'il est étrange le destin
Et je me dis c'est impossible
Qu'il soit parti bien trop loin
Mais je n'ai plus peur de rien
Son ombre est ma monture
Elle atteint et éloigne le soleil
Que le diable l'emporte
La claque des mots résonne
Elle ricoche comme un murmure
Je ferme les yeux autour de moi
J'entends son éclat de rire
La pluie s'est mise à tomber
Je n'écris plus sous les nuages
Maintenant je suis trempée
Je prends l’ascenseur imaginaire
Voilà je suis sur mon palier
"Nul homme ne peut vous révéler quoi que ce soit qui ne sommeille déjà dans l’aube de votre connaissance. Car la vision d’un homme ne prête pas ses ailes a un autre homme. Et comme chacun de vous se tient seul dans le savoir Divin ainsi chacun de vous doit rester seul dans sa connaissance de Dieu et dans sa compréhension du monde." Khalil Gibran


Sont a notre portée : la pensée, les impulsions, vouloir et ne pas vouloir. En un mot tout ce qui a pour résultat nos propres actions. Mais il y a des choses qui surgissent sans que nous puissions intervenir, nous surprennent, et dans ce cas, il faut savoir regarder avec sagesse ce qui se passe. Car ce qui perturbe l'esprit de l'homme, ce ne sont pas les faits, mais le jugement que nous portons sur eux.....

 Martin Luther King
"Aujourd’hui dans la nuit du monde et dans l’Espérance de la Bonne Nouvelle, j’affirme avec audace ma foi dans l’avenir de l’humanité.

Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de croire que l’être humain ne soit qu’un fétu de paille ballotté par le courant de la vie, sans avoir la possibilité d’influencer en quoi que ce soit le cours des événements.
Je refuse de partager l’avis de ceux qui prétendent que l’homme est à ce point captif de la nuit du racisme et de la guerre, que l’aurore radieuse de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je refuse de faire mienne la prédiction cynique que les peuples descendront l’un après l’autre dans le tourbillon du militarisme vers l’enfer de la destruction.
Je crois que la vérité et l’amour sans condition auront le dernier mot effectivement. La vie même vaincue provisoirement demeure plus forte que la mort.
J’ose croire qu’un jour tous les habitants de la terre pourront recevoir trois repas par jour pour la vie de leur corps, l’éducation et la culture pour la santé de leur esprit, l’égalité et la liberté pour la vie de leur cœur.
Je crois également qu’un jour, toute l’humanité reconnaîtra en Dieu la source de son amour.
Je crois que la bonté salvatrice deviendra un jour la loi. Le loup et l’agneau pourront se reposer ensemble, chacun pourra s’asseoir sous son figuier, dans sa vigne et personne n’aura plus de raison d’avoir peur."


Le silence est l’expression de la paix, de l’harmonie, de la perfection, et il apporte les meilleures conditions pour l’activité psychique et spirituelle. « Apprenez à faire le silence en vous » nous disent les sages. Mais le silence seul n’apporte pas grand-chose ; dans la vie spirituelle il ne peut pas être un but en soi, sa véritable fonction est de permettre l’essor de la pensée, de l’imagination créatrice.
Chaque fois qu’il vous est donné de goûter des moments de vrai silence, chez vous ou dans la nature, efforcez-vous de créer par la pensée quelque chose de pur, de chaleureux, de lumineux, de puissant. Le jour où vous arriverez à faire vibrer l’atmosphère autour de vous, tous ceux qui viendront vous visiter ou qui passeront par ces endroits recevront une impulsion vers le bien. Se contenter de rester immobile ne sert à rien. Même dans l’immobilité et le silence, il faut apprendre à devenir vivant et créateur. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov

18/09/2015

Quel est ma mission de vie?


Beaucoup passent leur vie à foncer en avant sans jamais se demander où ils vont. Ils souffrent sans savoir pourquoi et se réveillent quelquefois trop tard pour vivre leur vraie vie. Tout commence par un sentiment d’insatisfaction avec ton état présent. Car pourquoi te donnerais-tu la peine de changer si tu es heureux de ce que tu es ?
Supposons que tu ne sois pas heureux et que tu n’aies pas la moindre idée du sens de ta vie.
La seule chose que tu sais, c’est que tu te sens perdu ; tu ne sais pas où tu vas.
Tu n’es pas heureux et tu voudrais que cela change. Surtout ne demande pas aux autres de te donner la direction.
Tu ne peux éviter de trouver toi-même tes propres réponses qui sont déjà inscrites en toi.
Si tu n’arrives pas à entrer en contact avec les couches profondes de ton esprit où se trouvent ces réponses, fais-toi aider par un accoucheur de rêves (Coach de vie ;) ).
Cette mission se réalise même si tu ne la connais pas. Mais, quand tu en deviens conscient, le sens de ta vie t’apparaît. Tu es alors en mesure d’agir en accord avec ta mission, plutôt que contre elle, par ignorance ou confusion.

Vous nous demandez souvent de aider à connaître quelle est Votre mission de vie et de vous dire comment vous pouvez vous y engager. Vous avez un rôle important à jouer sur cette Terre. Nul ne se présente ici sans avoir de mission. Tels les musiciens d'un orchestre qui s'engagent ensemble à créer une musique magnifique, vous êtes appelé à participer à l'accomplissement du destin du monde.

Lorsque vous posez des questions sur la vocation de votre vie, cela signifie que vous désirez faire un travail valorisant qui vous permettra de combler vos besoins financiers, émotionnels, spirituels et intellectuels. Vous voulez consacrer votre temps à des activités qui vous passionnent vraiment, car vous voulez faire une différence positive dans le monde.

Lorsque vous vous impliquez dans votre mission de vie, la vie se charge de vous rendre la pareille. En d'autres termes, mettez votre énergie à rendre service en utilisant vos intérêts et talents naturels. Laissez l'Univers s'occuper de vous rendre service à son tour.

Donnez sans réserve, en vous autorisant à recevoir sans réserve. Donnez de votre temps, de l’amour, du soutien, des sourires. Le fait d'offrir des présents ressemble à une lueur que l'on voit briller dans un miroir : elle vous revient immédiatement. Assurez-vous simplement de vous permettre de recevoir.

{Traité de Melquisédec recueilli dans l’oasis de Dar Al-Rahman par Alain HOUEL}

Regardez ce que vous aimez faire.
Regardez ce qui vous procure de la joie.
Regardez ce qui vous apporte la paix.
Là se trouve votre vocation, attendant que vous vous y engagiez.
Nous avons tous un travail à accomplir, ici sur cette terre,
mais ce travail n'a rien à voir avec votre « emploi ».

Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé,
alors seulement nous serons heureux.
Alors seulement nous pourrons vivre en paix,
car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.
                                                                                         Antoine de Saint-Exupéry

Avez-vous déjà passé des heures et des heures à chercher votre mission de vie ?
Moi oui. Et devinez quoi ? J’en suis arrivé à la conclusion qu’on a tous la même mission : c’est de se connecter constamment à ce qu’il y a de plus fort, de plus grand, et de plus noble en nous.
Si vous trouvez que c’est trop vague, n’ayez pas peur, on y revient tout de suite. Pour l’instant, sachez que vous pouvez prendre d’autres chemins (plus longs), vous tomberez toujours sur ce but. Il peut y avoir plusieurs formes mais le fond reste le même.

Notre mission interne c’est le bonheur/l’épanouissement/la vie en mode 2.0. Vous désirez vivre ce bonheur ? C’est simple. Incarnez votre potentiel le plus élevé, minute après minute, seconde après seconde, instant après instant. Point final. Et entendons-nous bien, je ne vous parle pas d’un idéal philosophique ! Je vous parle d’une chose concrète que les psychologues modernes cautionnent.

Trop de gens pensent que trouver leur but dans la vie est une sorte de quête du Saint Graal (ils deviennent ensuite frustrés car ils ne trouvent pas !). Ils se disent : « Quelle est LA chose qui va *enfin* me rendre heureux !?! Grrrrr.».
Il est temps de presser le bouton de redémarrage maintenant si vous faites fausse route. Il en va de votre bonheur.

La vérité toute crue sur votre mission de vie

Abraham Maslow l’a dit :
Ce qu’un être humain peut devenir, il doit le devenir.

Appelez cela « accomplissement de soi », « épanouissement », ou même « développement personnel », peu importe ! L’essentiel est là : une personne doit devenir tout ce qu’elle est capable de devenir ! (dans le bon sens bien sûr :)).
C’est pour cette raison qu’il a placé l’ « accomplissement de soi » tout en haut de sa pyramide des besoins. On possède tous une impulsion qui attend d’être exprimée.
Certaines personnes pensent qu’ils sont sur terre pour changer le monde, d’autres pour atteindre la liberté financière. C’est très bien d’y penser mais ce n’est pas votre première mission ! Souvenez-vous d’une chose : nous sommes ici pour la joie/le bonheur/l’épanouissement qui proviennent de nos valeurs.
Regardez simplement autour de vous : comment pouvez-vous servir votre famille, vos amis, votre communauté avec vos forces et vos qualités ? Si vous y arrivez dans ces cercles, alors étendez votre influence, et vous trouverez votre mission « externe ».
Et je vais vous avouer une chose : l’argent et la reconnaissance seront « juste » des produits dérivés de vos forces en action. N’est-ce pas merveilleux ?
Je pense que c’est la vraie raison d’être du développement personnel.
Vous êtes toujours là ? Bien, car nous allons faire quelques…

> Exercices pratiques pour clarifier votre mission de vie
Une petite remarque : vous n’avez pas besoin de tous les faire, choisissez-en un ou deux qui vous attirent le plus.

Les funérailles :
Imaginez que vous êtes à un enterrement. Mais pas n’importe lequel. C’est le vôtre !
Qui est présent ? Que disent les gens à propos de vous ? Et le plus important : Que voulez-vous qu’ils disent à propos de vous ? Commencez toujours avec une fin en tête. (Et en l’occurrence, un enterrement c’est le terminus du bus de la vie. Donc on ferait mieux de commencer maintenant !).
Faites cet exercice avec vos proches. Faites-leur savoir ce qui importe vraiment pour vous ! Et pendant qu’on y est, il n’y a rien de malsain dans les choses matérielles. Elles doivent simplement rester secondaires par rapport aux « monnaies plus nobles » qu’on recherche.
Petit rappel, la monnaie ultime c’est le bonheur = mettre vos qualités/vertus/forces en action = vivre en mode 2.0.

Vos forces de caractère :
Demandez à un membre de votre famille de lister vos 5 forces de caractères. Suivez ce lien pour avoir une liste des 24 forces de caractère regroupées en 6 vertus.
Résultat ? Vous pouvez identifier les 5 forces que vous devez absolument employer ! Tous les psychologues modernes vous le diront : les personnes les plus heureuses utilisent souvent ces forces !
Essayez de trouver des moyens d’employer ces forces de caractère au quotidien. Et par extension, vous trouverez une sorte d’ « appel à l’action » pour transposer ces forces dans un domaine professionnel. Automatiquement. Je vous conseille de faire ce test auprès d’un des pères fondateurs de la psychologie positive :

Les 5 souhaits :
Imaginez-vous sur votre lit de mort (encore ?). On vous annonce que vous allez mourir dans quelques heures. Quelles sont les 5 choses que vous auriez souhaité matérialiser dans votre vie ? Quelles sont les 5 choses que vous regrettez de ne pas avoir fait ?
En analysant vos réponses, vous récolterez quelques pistes de réflexions sur vos objectifs externes.

L’intersection entre passion, forces, et profits :
Voici mon exercice préféré.
Prenez une feuille de papier, et dessinez 3 ellipses qui ont une même intersection. Dans la première, écrivez vos plus grandes forces et vos plus grandes qualités. Dans la deuxième, écrivez une de vos plus grandes passions. Et pour finir, dans la troisième ellipse, écrivez une liste de besoins qui sont en rapport avec les éléments précédents.
Pour vous aider dans vos cogitations, posez-vous ces questions :
- Qu’est-ce que les gens seraient prêt à payer ? - De quelles solutions ont-ils besoin ? - Existe-t-il un résultat clair et vérifiable dont ils ont besoin ? (Ex: sortir de l’endettement, utiliser un téléphone portable simplifié pour séniors, accumuler plus de miles de billets d’avion, etc.)

Les personnes qui réussissent ont simplement trouvé cette jonction ! C’est la connexion entre vos forces, votre passion, et un moyen de répondre à un besoin qui s’y rattache. Encore une fois, ne prenez pas cet exercice comme une sorte de quête du Saint Graal. Vous serez bluffé par sa rapidité.
Mieux encore, la révélation que vous aurez sera inestimable !

La zone de tension
Lorsque vous avez trouvé votre mission externe, il est temps de le traduire en objectifs tangibles.
On doit simplement associer nos pensées positives avec des actions positives.

Le Dr Heidi Grand conseille par exemple qu’il faut se fixer des objectifs qui défient notre potentiel, mais qui soient tout de même réalisables.
Jetez un œil à ceci :
Zone de confort -> Zone de tension -> Zone de panique
Votre but est de vous fixer des objectifs dans votre zone de tension. Pas dans votre zone de panique où vous perdez tous vos moyens, et sûrement pas dans votre zone de confort où vous ne faites que jouer dans la ligue inférieure. Appréciez le fait que vous ayez à surmonter des défis tous les jours !

On ne le répètera jamais assez : le succès est un produit dérivé, une conséquence de vos forces/qualités/vertus en action. Et non l’inverse.

15/09/2015

Mythologie égyptienne

Les mythes sont des histoires qui font partie de la mémoire collective de l'humanité.
Ils constituent le fondement des croyances religieuses qui ont marqué toutes les formes d'expression culturelle ainsi que les valeurs et les mentalités .
Comme d'autres mythes de la création, le mythe égyptien est complexe et offre plusieurs versions de la façon dont le monde est apparu. 

 Tout a commencé quand le Grand Dieu remua pour la première fois dans les eaux primordiales


Les Égyptiens de l'Antiquité ont cherché à interpréter tous les phénomènes qu'ils pouvaient observer à travers le prisme de croyances séculaires:
L'une des particularités de ce panthéon est l'importance jouée par les formes animales, totales ou partielles. Que ce soit Hathor, déesse au corps de vache, Bastet à tête de chatte ou Sekhmet à tête de lionne, Thot à tête d'ibis, Khnoum ou Amon le bélier, Anubis, le jeune chien. Parfois, l'animal n'est que la manifestation et le support du dieu, ainsi le taureau Apis pour le dieu Ptah.



Démiurge (Dieu qui ne peut être nommé) et Noun sont donc hors de la création : ils en sont les moteurs, mais n'en font pas partie. C'est une prise de conscience qui passe par plusieurs étapes : 
C'est un stade de l'avant Big-bang, bien avant, puisque nous sommes encore hors du Temps et de l'Espace qui n'existent pas encore. C'est la création principielle, totalement métaphysique.

La formation des éléments constitutifs de l'Univers apparaît ensuite comme une œuvre gigantesque de l'énergie vitale qui, par accouplements monstrueux des principes de vie issus du néant donne naissance à des générations de dieux aux fonctions et aux pouvoirs de plus en plus distincts.

Le mythe de la création est raconté dans les écrits hiéroglyphiques sacrés que l'on trouve sur des pyramides, des temples, des tombes, et des feuilles de papyrus. Ces écrits décrivent comment la terre fut créée à partir du chaos par le dieu Atoum. 

Lorsque les dieux quittèrent la terre pour habiter le monde céleste, les pharaons héritèrent du droit de gouverner.
Le Livre des morts, décrit comment le monde fut créé par Atoum .Au commencement, le monde était une étendue infinie d'eaux ténébreuses et sans direction. 
Atoum créa deux descendants. Son fils, Chou et sa fille, Tefnout. Les jumeaux symbolisent deux principes universels de l'existence humaine : la vie et le droit (justice).
Quand les eaux primordiales se retirèrent, une parcelle de terre  sèche( Geb ) apparut. 
Geb et Nout engendrèrent quatre descendants : Seth, le dieu du désordre, Osiris, le dieu de l'ordre, et leurs sœurs, Nephtys et Isis

Le dieu solaire, Rê (une forme d'Atoum), régnait sur la terre, où coexistaient êtres humains et divins. Les humains furent créés à partir de l'œil de Rê . l'œil versa des larmes dont naquirent les humains.
Désormais, les humains furent séparés des dieux.


Chez les Égyptiens de l'Antiquité, les cérémonies et croyances liées à la mort représentaient une part importante de leur vie. Les préoccupations liées à la mort au cours de l'Égypte antique étaient d'ordre religieux l’incarnation des dieux sur terre, qui devait après son décès vivre auprès des dieux dans un repos éternel. Les égyptiens considéraient qu'après le décès, l'âme du défunt pouvait renaître et accéder au « royaume des morts » et au repos éternel.

La pesée de l'âme consiste à mettre le cœur du défunt sur une balance; si le cœur est plus léger (ce qui signifie que le cœur n'est pas entaché de péchés), le défunt peut rejoindre le royaume des morts. Sinon, il se fera dévorer par un monstre symbolisé par la déesse Taouret ou par Ammout et son âme sera perdue à tout jamais.

Au sein du Noun est le Démiurge (« Qui ne peut être nommé et ne peut être connu » = Dieu)

Vers 1340 avant notre ère, à Thèbes (Ouaset, « la ville du sceptre »), s'est développée une “hérésie monothéiste”. Le roi Akhénaton fut animé par la conviction que le divin, de caractère unique, ne pouvait se représenter sur Terre. Il était symbolisé par un disque solaire, divinité universelle, sensible à toute l'humanité, et, à ce titre, seule capable de cimenter l'unité du vaste Empire égyptien. Akhénaton proclamait ainsi l'égalité des hommes de toutes races et concevait un véritable humanisme, dont les philosophes grecs se sont inspirés.



Comme toutes les grandes religions, malgré les apparences, celle des anciens Égyptiens est fondamentalement monothéiste. Celle de leurs ancêtres l'était ; ils avaient à l'époque préhistorique le culte de la déesse Mère génératrice de toutes les choses, des dieux et des hommes. Celle née avec la « planète Égypte » l'est encore davantage, car elle survient avec l'accomplissement d'un grand tournant de l'histoire de la civilisation. Les cosmogonies égyptiennes donnent toute la profonde sensation d'un Dieu unique, absolu, principe et fin de toute chose visible ou invisible. Création éternelle où les dieux ont mille visages et sont les mille manifestations du même dieu comme le sont toutes ses créatures et l'humanité entière.
Le premier dieu à apparaître devra sortir par ses propres forces d'une sorte de somnolence, d'un état latent, pour se constituer, prendre conscience de son existence et se mettre au travail.
Ptah, le dieu créateur, est celui qui donna l'existence au commencement, étant seul, sans nul autre que lui, né de lui-même, qui façonna au commencement, sans père ni mère qui ait créé son corps, seul et unique, qui fit les dieux et créa, mais sans avoir lui-même été créé.
Titulature de Ptah, tirée du temple d'Edfou, Ostracon du musée du Caire, IIIe-Ier siècle avant Jésus-Christ.

Étapes classiques de la création du monde

La majorité des mythes ont ceci en commun qu'ils ne présupposent pas l'existence d'un Univers incréé, immuable et éternel, mais suggèrent des étapes et des devenirs possibles :
  • apparition de l'Univers à partir du vide (rien) ou du chaos ou de l'inconnu ;
  • naissance du temps et de l'espace, de la lumière et de la matière. À partir du chaos primordial inerte, les éléments, eau, terre, feu et air s'animent  ;
  • apparition de la vie à partir de la rencontre et du mélange de ces éléments ;
  • possibilité de création d'un nouvel univers après un cataclysme mondial.
Aux mythes cosmogoniques répondent les mythes eschatologiques, qui décrivent la fin du monde.
Les prêtres de l'ancienne Égypte ont composé plusieurs récits de la Création.
  • Pour ceux d'Héliopolis (Per-Rê ou Iounou), le démiurge est Atoum dont le nom signifie « Celui qui est indifférencié ». Avant le commencement de la vie, Atoum est présent dans l'Océan primordial, qui renferme la substance de toute la création, mâle et femelle, divine et humaine. Le premier acte du dieu est de s'éveiller par lui-même à l'existence et de se dissocier du chaos originel. Ensuite, il donne naissance au premier couple de dieux, Shou et Tefnout qui produisent Geb et Nout. Ces derniers donnent naissance àOsiris (Ousir, Iousiris), Isis (AsetIset), Seth (Soutekh, Setekh) et Nephthys (Nebet-Hout).
  • Pour ceux de la ville de Memphis, le créateur du monde est Ptah, le dieu local. Ici, une autre technique de création raffinée considérait le processus comme enclenché par la simple volonté du créateur : il lui suffisait de « concevoir » pour donner vie. Ce qui nécessitait un pouvoir particulier, dont seuls les dieux et certains défunts disposaient : akhou, la « magie créatrice ».
  • Pour les théologiens d'Hermopolis Magna (Khemenou), les forces créatrices sont quatre couples de génies serpents et grenouilles résidant dans le Noun. Ce sont eux qui ont propulsé le Soleil (organisateur du monde) hors de l'Océan primordial.
  • Pour ceux d'Éléphantine (Abou) et d'Esna (Ta-senet) c'est un potier, Khnoum (Khenemou), qui a façonné les dieux et les hommes (remetch) sur son tour

  •  Les mythes cosmogoniques servent de modèles à la vie humaine et à tous les actes de création. L'épopée de la Création obéit à des règles qui semblent rapprocher le monde des hommes de celui des dieux. Les combats menés par les dieux sont ceux aussi que mènent les mortels pour la conquête du pouvoir mais aussi de la pérennité de la vie. Les désordres dans le ciel, luttes pour le pouvoir, démesure et châtiments qui compromettent l'harmonie de la Création, se répètent sur la Terre et mettent en scène un Univers dont l'équilibre est menacé en permanence par l'excès et la démesure des forces qui le composent. Celles-ci tendent naturellement à rentrer dans l'indistinct primordial, où règnent le désordre mais aussi les sources de la vie, l'énergie vitale dans laquelle, par exemple, le dieu Rê se replonge chaque nuit en traversant le Noun pour s'y régénérer. L'homme doit imiter les dieux pour s'assurer leur attention bienveillante et reproduire, dans tous les actes de sa vie, les modèles de conduite qu'ils lui proposent. Les récits mythologiques allaient de pair avec les rites, gestes et actes sacrés : l'homme rendait aux dieux un culte qui attirait leur bienveillance et, en reproduisant les gestes et les actes divins, il s'associait lui-même à l'œuvre de création. Cela lui conférait la grandeur et participait de l'aspiration à l'ascension céleste dont témoignent les symboles religieux que sont les tertres primordiaux.

Les mythes, récits sacrés, ont régi, pendant des millénaires, la conception des origines parmi les peuples dont la civilisation évoluée nous a laissé les textes : histoire sans date, la Création du monde se produit toujours “in illo tempore”, elle fixe pour toujours la représentation du monde. Les mythes se distinguent des religions monothéistes pour lesquelles la création est en perpétuel devenir, ils proposent un modèle infaillible pour la compréhension des événements créateurs ou destructeurs qui affectent la vie. Mais, histoire répétitive et rituelle, ainsi ont fait les dieux, ainsi font les hommes, selon une formule religieuse africaine, le mythe de la Création assure aux hommes la certitude du renouvellement permanent de la vie par un retour cyclique aux origines. Le néant de la condition humaine est ainsi consolé par la représentation du néant de l'Univers, ces eaux primordiales dans lesquelles l'Être primordial, germe de toute vie, demeure comme un gage de résurrection.


En résumé, dans les conceptions cosmogoniques égyptiennes, un jour, le monde reviendra à son moment initial ; il ne restera que l'eau (Noun) comme avant le moment initial. Atoum répondant à une question concernant la durée de vie d'Osiris :
Tu es destinée à une durée de vie de millions d'années. Mais moi, je détruirai tout ce que j'ai crée et ce pays reviendra à l'état de Noun, à l'état de flot comme son premier état.
Le Livre des Morts

 Les égyptiens de l’Antiquité étaient polythéistes. Les dieux égyptiens étaient la personnification des éléments naturels, des événements de la vie et des sentiments. Pour eux, les dieux habitaient sur terre (dans les temples), et il fallait les honorer pour qu’ils continuent à y résider. Pour cela ils priaient, dansaient, chantaient et leur apportaient des offrandes de nourriture et d’objets précieux. Seul Akhénaton, connu sous le nom du pharaon hérétique, imposa, durant son court règne, la religion monothéiste du disque solaire Aton. Durant les cinq mille ans de l’histoire de l’Égypte pharaonique, la religion n’a que peu évolué. Cependant, selon les périodes, certains dieux sont devenus prédominants alors que d’autres passaient au second plan. De plus, chaque culte étant originaire d’une région différente, la place de chaque dieu variait aussi selon la région.
Le dieu solaire était la divinité la plus importante du panthéon égyptien. Il avait de nombreux noms : en tant que disque solaire, il était Aton; en tant que soleil levant, Khépri, le scarabée; soleil à son zénith, Rê, le dieu suprême d'Héliopolis; et soleil couchant, Atoum. Les pyramides et les obélisques d'Égypte, ainsi que le sphinx, étaient associés au dieu solaire. Sous le Nouvel Empire, le sphinx était un symbole du dieu solaire .
Une momie est un cadavre qui a été préservé de la destruction et de la putréfaction par des raisons naturelles ou par des techniques humaines.


La momification dans l'Égypte antique s'inscrivait dans un rituel funéraire. Les Égyptiens croyaient en l'immortalité. La mort, chez les Égyptiens, représentait la séparation entre le support matériel et les éléments immatériels ; le Bâ qui correspond à l'âme et le ka qui représente l'énergie vitale. Il fallait donc que le Bâ et le ka, au réveil de sa nouvelle vie, puissent réintégrer le corps, préalablement conservé. « La momification avait comme but principal de purifier et de rendre divin le corps pour que celui-ci devienne un Osiris »

Les pyramides d'Égypte: monuments furent, à son origine, destinée au roi, l'idée d'une sépulture pyramidale fut rapidement reprise par les proches du souverain. 
Tombeaux des rois, des reines et des grands personnages de l'État, la forme pyramidale de pierre accueille une ou plusieurs chambres internes reliées par des couloirs. La grande pyramide de Gizeh, construite par Khéops.

Paix intérieur


« Partout où je vais, je ressens l'unité à l'intérieur de moi. » - Miten 


Les 7 CLÉS de la libération intérieure
– S’exprimer: Ce que l’on réprime, s’imprime
– Dédramatiser: Ce à quoi l’on résiste, persiste
– S’enraciner: Ce que l’on fuit, nous poursuit
– Lâcher prise: Ce qui nous affecte, nous infecte
– Se responsabiliser: Ce à quoi l’on fait face, s’efface
 Pas de liberté sans responsabilité et pas de responsabilité sans
propriété. L'homme et la femme sont chanceux par essence : ils ont
tout pour eux. Ils sont doués, puissants, libres, riches de tous les
possibles. Tout nous est donné.

    Au pied du bonheur, à nous de décider de la voie pour grimper
jusqu'au sommet. Mais, en théorie, tout est possible.



– S’unifier: Ce que l’on visualise, se matérialise
– Rayonner: Ce que l’on bénit, nous ravit!

un psychologue vous dit ce que vous savez déjà , ce que vous refusez d'entendre , ce que vous refusez d'admettre , vous avez besoin de l'entendre de quelqu'un d'autre pour l'accepter . la réponse se trouve en vous , il suffit d'avoir la force d'y faire face . il n'y a pas de miracle. un psychologue peut aussi faire office de confident , pour faire sortir ce fardeau qui pèse sur le cœur , quelqu'un qui a recourt a un psychologue n'est pas forcement malade, il n'a juste pas pu faire face a son problème seul . d'autres y arrivent , d'autres n'y arrivent pas , il faut de tout pour faire un monde, nous ne sommes pas pareils, chacun a un caractère inné et un comportement acquis, a chacun ses circonstances, chacun a une force au fond de lui , certains arrivent a l'exploiter , d'autres sont terrifiés de la saisir. pour résoudre un problème en soi, il faut d’abord avoir la force de l'accepter .
A méditer!!!

Vois toujours le bon côté de la vie ! Attends-toi seulement au meilleur, et vois-le advenir!!!

Ne t'en prends jamais à quelqu'un d'autre pour l'état négatif dans lequel tu te trouves.
Tu es ton propre maître, il ne dépend que de toi de retourner le tableau et de voir ce qu'il y a de l'autre côté.
Si tu choisis le de voir le côté sombre de la vie, ne t'attends pas à attirer à toi les âmes qui connaissent la joie de la vraie liberté, car ce qui se rassemble, s'assemble.
Tu n'attireras à toi que des âmes dans le même état.
Lorsque tu seras en pleine forme et que l'amour coulera de toi librement, tu attireras tout à toi, car tout le monde apprécie une âme joyeuse;
Apprends à élever une personne ou une situation, et ne te laisse jamais engloutir dans les profondeurs du désespoir par l'attitude de quelqu'un d'autre.
Tu es ici pour créer la paix, l'harmonie, la beauté et la perfection, et le meilleur de la vie, alors vas-y et fais quelque chose dans ce sens.  

11/09/2015

Pardon


« La demande de pardon par excellence consiste pour le serviteur à dire :
Mon Dieu, Tu es mon Seigneur, il n'y a de dieu que Toi.
Tu m'as créé, je suis Ton serviteur
et je demeurerai attaché à Ton pacte et à Ta promesse autant que je le pourrai.
Je Te demande de me préserver des méfaits que j'ai commis.
Je reconnais les bienfaits dont tu m'as gratifiés, et je reconnais mes péchés.
Aussi pardonne moi car nul autre que toi ne pardonne les péchés !
Celui qui prononcera dans la journée cette formule avec conviction puis mourra avant la nuit, sera au nombre des gens du Paradis, celui qui la prononcera la nuit avec conviction puis mourra avant l'aube sera [aussi] au nombre des gens du Paradis. »
Prophète Muhammad, que la paix et la bénédiction soient sur lui.

A moi, cet être cher que j'ai longtemps négligé aux dépens des autres. Je te demande pardon pour tout le mal que je t'ai fait pendant toutes ces longues années. J'ai permis aux autres de te maltraiter, te manquer de respect, de t'insulter. 
J'ai mis du temps a reconnaître mon tort. Aujourd'hui je te demande pardon de ne pas t'avoir défendu et protégé quand il le fallait. 
J'estime que si nous arrivons a nous pardonner a nous même, le pardon de l'autre devient plus facile.
Je pardonne a tous ceux qui m'ont fait du mal y compris moi même.
Aujourd'hui, je sens que je suis sur la bonne voie, j'ai changé le regard dur que je me portais par un regard presque amoureux et j'en suis ravie!

Photo de Maria Zidani.

Lorsque nous avons subi de profondes douleurs , nous ne pouvons jamais guérir sans pardonner.

Qui a dit que nous avions le droit de figer le sens d'un mot, parce que son explication est donnée au sens propre ou au figuré dans le dictionnaire seulement ? Le pardon, ce mot m'a longtemps côtoyé étant petite fille, pour des situations simples, faire une bêtise, écraser le pied d'une copine à l'école, renverser un verre de lait, salir une jolie robe.....et au fil des années, chrysalide en plein process oblige, je me retrouve joli papillon, donnant naissance à de belles chenilles, heureuse de pouvoir les protéger, nourrir et aimer......jusqu'au jour où je me suis retrouvée emprisonnée de ma taille et mes couleurs que tout le monde contemplait.....en pleine maitrise de mon envol pendant des années, je me réveille un jour, avec aucune envie de voler, l'impression de ne plus avoir d'ailes, pourtant elles étaient bien là et n'attendaient qu'à être déployées.....Pourquoi ? Un papillon vole, brille de ses hautes couleurs, est inoffensif ? Jusqu'au jour où je rencontra de belles personnes, celles que l'on ne connait pas, pourtant elles ne m'apprirent rien si ce n'est mettre des mots sur une colère et une frustration accumulée.....PRISES DE CONSCIENCE.....Si dures soient-elles !!! Plus de papillon, plus de reproches, plus de victimisation, je me rends compte que ma quête de la perfection m'a desservie, l'impression de ne pas être à la hauteur, de se juger constamment.....mon exigence m'a gentiment sommé de me calmer, problèmes de santé......pour moi, pour mes amours que Dieu m'a donné et que j'ai souvent froissé....Je prends conscience que je n'ai pas le droit de m'accabler tant de fermeté......A ce moment précis de ma vie, LE PARDON prend tout un autre sens, un virage à 180°, pourquoi en vouloir aux autres, pourquoi attendre le pardon de ceux qui ont fauté, pourquoi vouloir régler des différents qui n'ont plus de place dans ce temps présent.....car celui qu'il faut libérer avec un pardon inespéré et inopiné, est TOI ! 


Timidement, je vais essayer de m'y mettre sans trop de conviction.
J'ai tellement dis pardon, que j'ai fini par banaliser ce mot.
Mes lèvres le prononcent, mais mon coeur ne suit pas. Les personnes en face reprennent les relations normales alors que pour moi je tasse encore au fond de moi ces douleurs.
Pardonner est un mot qui pèse très lourd. Parce qu'il faut le vivre le ressentir réellement. 
Pardonner, pourquoi?
Si c'est pour moi, pour mieux me sentir, alors aujourd'hui, je suis prête.
Je me donne le temps et le droit de me pardonner à moi même.
Pardonner aux autres réellement, sans garder une petite tâche noir au fond du coeur qui resurgit à chaque fois.
Difficile, mais je vais y arriver.
Positive, je le suis de bon matin.

Le pardon : des questions qui suivent ce mot ou cet acte, comment, qui, faut il le faire ou pas ? 
Forte est la personne qui décide d'apaiser ses douleurs ou son mal par le pardon, cela ne veut pas dire que j'autorise l'autre à me nuire ou j'accepte sa violence mais je m'autorise à aller de l'avant et remplacer la rancune qui me ronge de l'intérieur et qui empoisonne ma vie par un soulagement et me défaire d'un passé, pas assez bon pour mon bonheur.

Le pardon est l'une des formes les plus nobles de l'amour de soi,de la tolérance,et de la noblesse d'esprit
Lorsqu'on décide de pardonner,on le fait pour se libérer des souffrances inutiles que la haine cause
On pardonne parce que le droit a l'erreur est universel
En pardonnant,nous libérons nos potentiels cachés,nous permettons a l'univers d'être notre fidèle serviteur
NB : Que chaque pardon d'autrui soit accompagné du pardon de soi

Nous parlons du pardon et de la capacité à l’offrir pour se délester du poids des blessures et retrouver le bien-être et la paix intérieure.
Tout le monde est d’accord pour dire que le meilleur pardon qu’on peut s’offrir est celui qu’on s’accorde à soi-même pour mettre fin à une situation violente qui nous traumatise et dont le souvenir réveille en nous des souffrances et des blessures anciennes.
Il y a cependant un risque de confusion entre pardonner et oublier.
Il ne s’agit pas d’oublier une violence qu’on nous a fait subir, de toute façon on ne peut rien oublier, mais d’amenuiser l’effet de la souffrance que le souvenir éveille en nous.
Il ne s’agit pas non plus de cautionner les actes de violence ni de renforcer le sentiment de pouvoir que nos ‘’agresseurs’’ croient avoir sur nous.
Le pardon ne nous permet certes pas de récupérer ce que nous avons perdu. Il ne nous rend pas non plus notre dignité quand nous sommes indignés ou humiliés. Il ne corrige pas les préjudices causés par une violence de quelque nature qu’elle soit. Mais il permet un lâcher-prise sur les ressentis qui peuvent être très durs à supporter.
C’est cette confusion qui rend difficile, voire impensable pour certains, le fait d’accorder ‘’gratuitement’’ le pardon à celui qui leur a causé du tort ou qui a eu des comportements violents à leur égard.
Il n’est pas demandé dans l’exercice du pardon de refouler nos frustrations, ni taire nos souffrances et notre déception. Le pardon doit s’accompagner, ou plutôt être précédé d’une démarche de restitution de ces souffrances, ces frustrations et ces blessures. Les restituer, à celui qui nous les a causées, par le langage, si on en est capable et s’il est encore possible de le faire.
Il y a aussi d’autres façons de dire les souffrances qui nous rongent et les blessures qui nous font mal autrement que par le langage. Un des moyens infaillibles pour le faire est l’écriture.
L’écriture nous aide à communiquer les paroles indicibles, celles que nous n’avons pas assez de force pour les dire sans nous sentir gênés (envers les parents par exemple) et à mettre les vrais mots sur les maux qui nous déstabilisent.
L'écriture permet en quelque sorte de chosifier et symboliser, pour facilement les restituer, les violences reçues, les blessures créées et les souffrances qui sont produites en conséquence.
Je suis arrivé à cette certitude parce que je l’ai moi-même expérimentée, peut-être pas pour offrir le pardon, mais plutôt pour le recevoir.

Je veux bien me pardonner. C’est une idée attrayante de part tout le bien fait que ça pourrait m’apporter. Je serais en accord avec moi-même. Je serais en paix avec l’univers.
Ok, c’est beau tout ça. On dirait un passage tiré d’un livre de sagesse. Mais en attendant, je suis livré à ma réalité. Tantôt heureux, tantôt triste,…. une large palette d’émotions qui m’ envahissent, me dominent. Des émotions qui ne sont pas toujours source de bien être. Par fois, elles nous enterrent vivant en éternisant notre agonie. Une perpétuelle lutte pour une survie éphémère. Notre souffrance nous victime :
Le méchant ce n’est surtout pas moi !!!!
Moi je souffre !
Ne me demande pas plus !
Moi je soufre !
Aie pitié de moi !
Un SOS muet, car son égo reste emprisonné des murs de la victimisation de soi.
Mais alors, si je suis la victime. Qui est le méchant ? et plus important encore, qui sera mon sauveur ? Vais-je laisser mon destin entre les mains hasardeuses de ma tendance à me voiler la face ? Ou me risquerais-je à me remettre en question pour tenter de percevoir les nuances logiques d’un univers anarchique ?
Accepter que nous voyions l’univers à travers le filtre de notre, propre, perception des choses. L’optimiste, contrairement au pessimiste, voit la vie, en général, d’un œil positif. Accepter que nous sommes à l’origine, disons à 80 %  , de l’intensité de la résonance de nos émotions, indépendamment de la situation vécue ( le degré de tristesse des gens face à une même situation varie d’une personne à l’autre). En acceptant, nous évoluons. Nous réalisons que la victime, le méchant et le sauveur forment les pièces d’un puzzle qui n’est autre que nous même. Un travail sur soit s’impose. Ou dirais-je, un travaille avec soit pour qu’il nous livre ses secrets. 

Humain, je te demande pardon pour mon ignorance et mon entêtement à t’ignorer. Je ne te connais pas encore, mais j’aspire à te connaitre, car je suis convaincu que ce sera la voix de notre salut.

Quand je pardonne, je me libère, quand je pardonne, au lieu de rester coincée dans un espace d’infime dimension, entouré de chagrin et d’amertume, je passe à l’étape suivante de la vie, celle d’un horizon plus vaste aux extrémités d’une étendue de vue claire et clairvoyante, un simple geste, celui de tourner la page, me rend heureuse et fière de moi, un simple acte, celui de pardonner, suite à un mot ou geste déplacés, suite à une injure ou manque de respect, me faisais croire, que je possédais une âme supérieure, jusqu’à ce que j’apprends, que l’âme supérieure n’est pas celle qui pardonne, mais celle qui n’a pas besoin de pardon

Le pardon ouvre la porte du paradis c'est à dire la porte du bonheur et de la sérénité parce qu'il nous permet de dépasser la rancune, la frustration,l'impuissance, la colère et toutes les émotions négatives qui nous envahissent lorsqu'on ne veut pas ou on ne peut pas pardonner .
la solution: -je me pardonne mes erreurs, mes faiblesses, mes échecs .....
-je pardonne à l'autre (l'erreur est humaine)
-je demande pardon lorsqu'il le faut.
-chers parents aider vos enfants à vivre la joie du pardon au lieu de les obliger à demander pardon pour être accepter et aimer.

Le pardon comme le défini LAROUSSE est le fait de ne pas tenir rigueur d'une faute.
Savoir pardonner, n’est pas donner à tout le monde, le pardon est avant tout l’un des nobles Arts, et quel Art, pour le réussir il faut avoir du talent.
Le pardon n'est pas seulement un don ou un bienfait qu’on fait aux autres, mais aussi et surtout un cadeau que nous nous faisons à nous-même, car en refusant de pardonner, un boulet s'attache à notre cœur et le bonheur, l’amour et la sérénité s'enfuient petit à petit de nous.
En tout cas est ce qui est sûr est certain " Un Bon Musulman n’est pas rancunier ni vindicatif, Le vrai Musulman Oublie, Efface, et surtout Pardonne……..."
A Toi qui m’as fait du mal, je te pardonne et je t'aime.
A Toi à qui j'ai fait du mal, je te demande Pardon et je t'aime. 
Bonjour à tous
J'ai suivi avec beaucoup d'attention et d'émotion vos publications, vos commentaires et vos débats dont je vous remercie vivement
- A celles et ceux qui sont parvenus à pardonner, je dis félicitez-vous et remerciez vous vous-mêmes de ce cadeau inestimable que vous vous êtes présentés. C'est une offrande de paix, un soulagement.
C'est prendre la décision de vous libérer au lieu de rester enchaînés dans un gouffre obscur, de marcher d'un cœur léger et avec confiance vers l'accomplissement, vers le meilleur de la vie et de vous-même.
- A celles et ceux qui croient au pouvoir du pardon mais n'arrivent pas à se défaire du ressentiment, je dis que je comprends car tout dépend de la gravité de l'offense. Plus celle-ci est importante plus la blessure est profonde et met du temps à cicatriser. L’important est de croire au pardon et ses bienfaits. Vous y êtes il ne vous reste plus qu'à exprimer, la souffrance et la colère causées par l'outrage quel que soit son degré de gravité. Extérioriser ces ressentiments ou encore mieux, les exorciser, permettra de nettoyer l'âme de la purifier, l'apaiser et la rendre apte à accueillir, le Pardon, la Paix et l'Amour.
- A celles et ceux qui restent sceptiques et persistent dans le déni du pardon, je dis, je vous comprends. La blessure est si profonde que l'on a tendance à percevoir toute offense comme plus grave, et à pardonner de manière nettement plus conditionnelle. On comprend alors que colère et tendance à la rumination sont inversement corrélées à la propension à pardonner.
Sachez que pardonner ne veut pas dire oublier, car lorsque l'on oublie il n'y a plus rien à pardonner. Cela ne veut pas non plus dire se réconcilier si ce n'est qu'avec soi-même, car l'autre n'est même pas sensé savoir si on lui a pardonné. Pardonner c'est s'accorder à soi même une grâce! Cette grâce qui permet de se libérer d'une pénitence injustement infligée.
On est tous passé par là, et je reste convaincu que viendra le jour où dans leurs cœurs, l'amour et la paix triompheront de la rancune et de la haine et enfin faire de l’impardonnable un pardonnable. Pour les rassurer et leur dire qu'on finit bien par y arriver, je leur partage, et également à tous, cet extrait du livre ''Le symbolique'' qui témoigne que l'acte de pardonner l'offense la plus grave qui soit, est parfaitement réalisable à l'exemple du héros de cette œuvre qui est parvenu à pardonner l'auteur d' un abus sexuel à l'enfance.
Enfin, mon expérience et bien d'études ont démontré que les personnes ayant bénéficié de la thérapie par le pardon ont témoigné d’une plus grande réduction de l’anxiété et de la dépression, et d’une augmentation de l’espoir et de l’estime de soi.
.
Extrait du Le Symbolique:
Le pardon
Maintenant que l’abcès est crevé, nettoyé, aseptisé
Que la plaie béante est refermée, résorbée, cicatrisée
Que la parole est dénouée et le silence enfin brisé
Que la colère s’est calmée, la fureur déchaînée extériorisée
Que la conscience est clarifiée, raisonnée et déculpabilisée,
Que la peur, l’angoisse, la terreur ont fini par s’apaiser
Si ces déboires furent le lot de mon enfance et ma jeunesse
L’avantage que j’en tire sera le soutien de ma vieillesse
Si la honte fut un fardeau longtemps embarrassant et écrasant
La dignité et la fierté sont désormais mes appuis valorisant
Si le meilleur de mon âge semble par l’outrage avoir été saboté
Cela m’aidera à savourer pleinement la vie à satiété
Si j’ai perdu lourdement, je gagne énormément en sérénité
Je me suis pardonné pour m’être condamné injustement
Le pardon me donne cette paix recherchée inlassablement.
La conscience soulagée, le cœur allégé je te considère autrement
Tu es à plaindre, puisque seul au milieu d’un orage terrifiant
Face aux outrages dont tu fus l’auteur, tu croules sous le poids horrifiant
Ma haine s’est effacée au bénéfice de la pitié et la charité
Je ne perds heureusement rien de mon appartenance à l’humanité
Comme je me suis pardonné je te pardonne en toute sincérité
Un résidu de ressentiments dont je me débarrasse pour ma félicité.
Bien à tous