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Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




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27/09/2016

Le Bien et le Mal

  Le bien:

Toute société repose sur des règles et les règles sociales sont éminemment relative au temps, comme au lieu. D'époque en époque, les moeurs, les mentalités changent. Ils existe aussi de grandes différences entre les coutumes qui régissent les conduites d'une culture à une autre. Si nous appelons opinion commune cette référence à la pensée collective, nous pouvons effectivement penser qu'il peut y avoir du préjugé dans l'appréciation commune du bien et du mal. Cependant, attention, il faut aussi se méfier du rejet des moeurs tels qu'ils existent. Ils sont tout de même une indication du bien et du mal. Ce n'est pas en prenant le contre-pied des moeurs de notre pays que nous aurons une quelconque assurance de faire ce qui est le mieux. C'est s'autoriser de faire n'importe quoi sous le seul prétexte que notre mentalité commune est incapable de nous guider dans l'appréciation du bien et du mal.

Avec la désacralisation de l'éthique depuis la modernité, qu'il n'est pas nécessaire de fonder la morale sur une autorité religieuse pour lui donner tout son sens. Le respect de la personne humaine suffit à la morale civique, à la morale implicite dans la déclaration des droits de l'homme.

Le bien ne peut être défini à partir d’un code moral qui standardise les pensées, les mœurs et les expériences. Est bien ce qui est parfaitement adapté à une situation, ce qui favorise le bien-être et qui aide à progresser, sans nuire à autrui.

La notion du bien se fonde sur la certitude que, si Dieu existe, partout dans le Cosmos, tout contribue à manifester la Perfection ultime, même quand les apparences semblent démontrer le contraire.  Autrement défini, le bien devient trop souvent le prétexte des gens bien pensants ou des bigots pour réduire la vie des autres, faisant leur malheur, mais dans l’intention apparente de contribuer à leur bonheur, des les garder dans le droit chemin, de leur assurer le salut.  Or chacun doit dégager sa notion de bien des résultats qu’il obtient de son expérience personnelle.  Car favorise le bien de l’un ce qui produit du mal chez l’autre.

 «J’ai désiré faire le bien mais je n’ai pas désiré faire de bruit, parce que j’ai senti que le bruit ne faisait pas de bien et que le bien ne faisait pas de bruit.»


 «Qui imite le mal dépasse toujours le modèle.  Qui imite le bien reste au-dessous de l’exemple.» 

Le bien ne peut se définit pas par le respect d’un code éthique, comme le font les religions, mais par la conformité aux Lois cosmiques.  Le bien réfère à ce qui est parfaitement adapté à une situation et qui fait évoluer.  Il correspond au rayonnement de la Lumière divine.  Il désigne l’acte par lequel un être se rapproche de la perfection de Dieu et par lequel il l’éveille en autrui.  Il consiste d’abord à faire la Volonté du Créateur dans ses plus petites manifestations.  Car il a été dit : «Que ma Volonté se fasse afin que la vôtre se fasse.»  Le bien se fonde sur la certitude que, partout dans le Cosmos, tout contribue à manifester l’Ultime perfection.  Chacun trouve dans cette notion une motivation à se dégager de son égoïsme et à œuvrer à la réalisation du Plan divin.  Il faut rechercher le bien pour lui-même, pour se lier à sa force intrinsèque, parce qu’il accélère l’évolution.  Mais, chez tout être, l’attachement à accomplir le bien, parce qu’il a peur de commettre une mauvaise action et de subir une punition, constitue un obstacle.  Il vaut mieux chercher à fusionner en soi, dans l’harmonie, les aspects négatif (magnétique) et positif (électrique) de la polarité afin de parvenir à les transcender.  Car comprend le bien celui qui ouvre son œil simple à la Réalité totale qui est, en elle-même, agréable et bonne.  Autrement dit, est bien ce qui comble l’aspiration légitime de s’accomplir en étroite union avec la Totalité.

Le bien devient trop souvent le prétexte de ceux qui font, consciemment ou inconsciemment, le malheur des autres, disant vouloir le bien d’autrui.  L.-C. de Saint-Martin a dit joliment: «J’ai désiré faire le bien mais je n’ai pas désiré faire de bruit, parce que j’ai senti que le bruit ne faisait pas de bien et que le bien ne faisait pas de bruit.»  Le bien honnête est celui que l’on recherche de façon légitime.  Le bien utile est celui que l’on cherche comme moyen d’en obtenir un autre.  L’un et l’autre s’exercent dans le silence, l’innocuité et la non-ingérence.  Comme on l’a dit, puisque chacun est libre, chacun doit vivre et laisser vivre.  Il doit s’occuper de ses propres affaires, bien le faire, et s’enlever le nez des affaires des autres.  F. Guicciardini a dit: «Qui imite le mal dépasse toujours le modèle.  Qui imite le bien reste au-dessous de l’exemple.»   À l’entendre, il faut croire que le mal limite, mais que le bien conduit à une expansion infinie.

Le désir de rester vertueux et de faire le bien implique lui-même une limite et il entretient dans l’inquiétude et la tension.  Mais quand, dans son agir, un être abandonne la notion du bien de façon prématurée, il s’expose à une conduite paradoxale et à la stagnation.  De nos jours, sans le clamer clairement, le comportement général propose que le mal soit l’équivalent du bien.  Les gens veulent faire oublier que le mal est une imperfection qui témoigne d’une faiblesse ou d’une incomplétude et que seul le bien est créatif.  Au lieu de rester une référence stable qui puisse guider les êtres humains, le bien prend une position défensive.  Alors, on se demande s’il a encore un droit de cité.  Il ne sert plus de point de référence privilégié pouvant mener en toute sûreté à l’accomplissement véritable.

Dans son ensemble, l’Humanité n'est pas encore prête à accepter toutes les nouvelles inventions et découvertes, on la laisse à la portée d’êtres régressifs sans âme, sous prétexte de respecter les normes de la démocratie, de la liberté et de l’égalité des chances. La science s’accorde tous les droits, la plaisanterie, la grossièreté, la vulgarité, la dérision et le blasphème dépassent toutes les limites, tandis que les arts, qui sombrent dans la décomposition, abrutissent la société. L’environnement, pollué, dépérit. Le sens des valeurs est en chute libre. L’éducation élimine les références religieuses et spirituelles, les remplaçant par une morale laïque ou athée. Par honteuse défense et par respect humain, on réprime la vérité, même au prix de la disgrâce spirituelle. On voit monter les rites sataniques. On écarte les membres du clergé, on musèle les sectes, mais on applaudit aux critiques des agnostiques et des athées. La conscience se fossilise dans ses hésitations à cause de sa langueur. En raison de la lâcheté humaine, l’initiative des Forces obscures devient apparente dans le grand comme dans le petit, bien qu’elle préfère ramper et s’insinuer furtivement, histoire de passer inaperçue.


Évidemment, chacun est libre de choisir sa propre destinée, même sa dissolution.  Mais quand on remet le gouvernement de l’opinion exclusivement entre les mains d’êtres sans âme, par leur contagion, elles deviennent nuisibles et on a le droit de penser à s’en protéger et se prémunir contre elles.  Celui qui ne sait pas se faire de bien n’en fera sûrement pas aux autres, et il deviendra facilement insensible à leur destin.  Le monde est régi par des sauvages civilisés, qui ne sont pas ceux qu’on croit, mais qui menacent la culture et l’espèce humaine.  Malheureusement, pour purifier la maison de ces ennemis infatigables, superbes dans leur vulgarité, leur médiocrité et leur bassesse, les êtres conscients ne peuvent qu’appliquer leurs plus précieuses énergies à réprimer leurs efforts dans un véritable gaspillage.  L’énergie qu’ils mettent à protéger l’Humanité ne peut servir à des fins plus utiles et évolutives.   À une époque où la science objective ne peut seule résoudre les maux de la planète, chacun gagne à retourner à la Source spirituelle unique pour sa direction intérieure.   Mais on a beau dire, n’empêche que le bien, comme le mal, ne résident jamais dans la réalité elle-même, mais dans l’usage de cette réalité.  Alors, c’est au niveau de l’usage qu’il faut porter son attention.

Le bien et le mal désignent les aspects extrêmes de la dualité ou de la polarité.  Ils se révèlent mutuellement, d’où ils restent compatibles et complémentaires.  Le Mal absolu ou le Mal cosmique n’existe pas plus que le Bien absolu ou le Bien cosmique.  Il n’existe que des opposés apparents qui, au bout d’un cycle complet, après une longue lutte inutile, doivent se résorber dans le Juste Milieu, à l’Âge de Diamant.  En réalité, tout devrait être situé dans la perspective du degré de savoir ou d’ignorance, plutôt que dans celle du bien et du mal.  Car, dans tout être, toute lutte cesse lorsqu’il parvient à mettre la Lumière dans toutes ses ténèbres.  Il entre dans l’impassibilité de la neutralité absolue.

Le Mal:

Dans l’ordre universel, le mal évoque tout ce qui contrarie ou retarde le Plan de l’Évolution cosmique tel qu’il a été conçu par Dieu. Au niveau personnel, chacun peut définir le mal comme ce qui dessert son évolution ou ce qui ralentit la vie, jusqu’à la supprimer. Il représente les pièges du Serpent ou du Dragon, qui trahit à chaque instant, mais qu’il faut vaincre en soi pour assurer sa propre métamorphose. Le mal surgit des œuvres de l’ego ou de la personnalité, la caricature de l’individualité, inventée par le mental, et il engendre les terDarkAngelreurs de la nuit. Le mal découle de l’ignorance qui mène à l’inconscience. Il représente une déviation ou un affaiblissement de la Lumière primordiale, occasionnée par la densité de la Matière, qui, en s’écartant de la Source unique, finit par devenir opaque. En fait, en s’incarnant, l’Esprit s’enveloppe d’obscurité, d’où la Lumière spirituelle réfléchie engendre des distorsions et des désordres dans la conscience humaine.

Si Dieu représente la Perfection et l’Omniprésence, comment peut-on lui faire l’injure de croire que le mal existe quelque part, qu’il existe un purgatoire ou un enfer conçus autrement que comme des états d’être personnels qu’un individu s’inflige par ignorance ou par inconscience.  Car, au-delà des apparences, la notion du mal n’existe qu’entre les oreilles de celui qui y croit et il ne peut avoir d’influence que sur ceux qui lui donnent force.  Au-delà de la querelle relative à la validité de ce livre, «La Cosmogonie d’Urantia» dit avec pertinence : «Dieu est amour, il doit donc être bon, et sa bonté est si grande et si réelle qu’elle ne peut contenir les choses mesquines et mensongères du mal.  Dieu est si positivement bon qu’il n’y a absolument pas de place en lui pour le mal négatif.  Le mal est la sanction de l’imperfection ou de la mauvaise adaptation à la vie.  Il constitue la preuve des inexactitudes de la pensée et de l’immaturité de la personnalité en évolution.  Le mal équivaut donc à une mesure de la manière imparfaite dont on interprète l’Univers.»

 «La possibilité de commettre des fautes ou des erreurs est inhérente à l’acquisition de la sagesse.  L’acquisition de la sagesse est le plan selon lequel l’homme progresse du partiel, du relatif et du temporel, de l’imparfait vers le parachevé, l’Éternel, le définitif et le perfectionné.  Le mal potentiel est inhérent au caractère nécessairement incomplet de Dieu en tant qu’expression de l’Infini et de l’Éternité, limités par l’espace-temps.  Il exprime une relativité dans les rapports du fini incomplet avec les niveaux du Suprême et du Sublime.  Et il finit par ajouter : En nous dotant du pouvoir de choisir entre la vérité et l’erreur, notre Père céleste a créé le potentiel négatif opposé à la voie positive de lumière et de vie.  Mais ces erreurs du mal n’ont pas d’existence réelle tant qu’aucune créature intelligente ne les appelle volontairement à l’existence par un mauvais choix de son  mode de vie.  Les maux sont ensuite élevés au rang de péché par le choix conscient et délibéré des créatures volontairement rebelles.  C’est pourquoi notre Père céleste permet au bien et au mal de suivre ensemble leur chemin jusqu’à la fin de la vie, de même que la Nature permet au blé et à l’ivraie de pousser côte à côte jusqu’à la moisson

Pour qui sait comprendre, le mal résulte d’un choix immature ou du faux-pas de l’irréfléchi, ce celui qui résiste à l’amour, qui méprise la bonté, qui rejette la beauté et qui trahit la vérité.  Ainsi, le mal résulte de la mauvaise adaptation d’un esprit qui manque de maturité et de l’influence désintégrante et déformante de l’ignorance.  Le mal résulte de l’inévitable obscurité qui accompagne rapidement l’enfoncement dans les Ténèbres ou le rejet de la Lumière.  D’où on peut le définir comme l’expression de ce qui est ténébreux, déformé et faux.  Dans «Le Tibétain», on peut lire : «Le mal, en soi, n’existe pas, pas plus que le bien, dans le sens de paire d’opposés.  Dans le temps et l’espace, seulement, il y a divers états de conscience qui produisent des effets extérieurs différents.»  Par conséquent, le mal ne peut être qu’apparent, relevant d’une fausse perception ou d’une interprétation inexacte de ce qui est perçu, ce qui mène à un choix erratique.  Le mal résulte du mélange inharmonieux des couleurs, des tons, ses sons et des formes de l’être.  Il représente le chemin mal éclairé par lequel un être avance en se heurtant à gauche et à droite par manque de lumière, c’est-à-dire par manque de connaissance ou de conscience.

 «Toute maladie est un moyen d’arriver à une nouvelle joie de santé, tout mal, toute douleur, une préparation de Nature à un bien et à une béatitude plus intenses, toute mort, une ouverture sur une immortalité plus vaste.»

Pour Aristippe de Cyrène le plaisir et la douleur sont les seuls motifs des actions de l'humain qui cherche le secret du bonheur. Ce qui nous empêche d'être heureux, ce sont nos désirs et nos inquiétudes. Nous courons après des biens illusoires, et surtout nous avons peur de maux imaginaires. Pour être heureux, il suffit de savoir, d'une part que nous sommes entièrement maîtres de nos destinées, également affranchis de la tyrannie des dieux et des lois de la nature, d'autre part que le seul plaisir pur et durable est ce plaisir tout négatif et bien facile à se procurer qui résulte de la complète tranquillité du corps et de l'esprit.

Le conformisme peut-être immoral, quand il entre dans une compromission avec la corruption ambiante. « Faire comme tout le monde », peut parfois impliquer être complice du mal.
Il n’y a pas de règle visible de ce que peut vouloir signifier « utilité de tous » et encore moins de consensus « social » autour de ce que l’homme doit faire ou ne pas faire.
Bien et mal sont des termes relatifs. Bien et mal n'ont pas d'existence au sens de l'existence des choses. Leur appréciation dépend du point de vue que nous adoptons. Parmi ce que nous tirons de la nature, aucune chose n’est absolument bonne, aucune chose n’est absolument mauvaise. Notre raison est limitée dans ses vues, comparée au champ d’influence immense de l’action. Comment donc pourrions-nous savoir ce qui est bien où mal? Suffit-il d'avoir de bonnes intentions?
En raison de la dichotomie du mental, régi par la dualité, nul ne peut aborder le bien sans penser au mal, son contraire. Pourtant, en principe, le bien comme le mal sont des illusions du mental. Rien n’est bon, rien n’est mal, tout est. On dégage la notion de bien ou de mal à partir des résultats que l’on obtient de l’usage que l’on fait des choses. Est bien ce qui fait évoluer; est mal ce qui fait régresser.


Le désir de rester vertueux et de faire le bien implique lui-même une limite et il entretient dans l’inquiétude et la tension. Mais quand, dans son agir, un être abandonne la notion du bien de façon prématurée, il s’expose à une conduite paradoxale et à la stagnation. De nos jours, sans le clamer clairement, le comportement général propose que le mal soit l’équivalent du bien. Les gens veulent faire oublier que le mal est une imperfection qui témoigne d’une faiblesse ou d’une incomplétude et que seul le bien est créatif. Au lieu de rester une référence stable qui puisse guider les êtres humains, le bien prend une position défensive. Alors, on se demande s’il a encore un droit de cité. Il ne sert plus de point de référence privilégié pouvant mener en toute sûreté à l’accomplissement véritable

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