Bienvenue sur la voie de la vérité.

Vous êtes sur ce blog par curiosité ? Non , direz certains.
Alors vous recherchez votre âme dans mes yeux ? Non , direz certains.
Vous êtes arrivés jusqu'à mon âme ? Comment ? Par pur hasart ? Non , direz certains.
Et vos autres ? Vous avez suivi le goufre de la curisité ? Vous avez vu mon âme ? Comment cela était ? Pas par pur hasart ? Non, direz les autres .
Alors Vous incertains qui ont vu mon âme , il vous à ébloui dans la lumière du jour ? Ou dans les ténébres de la nuit ?Non, direz certains.
C'est une question ou une réponse ?

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Bienvenue citoyen du monde

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Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




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13/05/2016

Ecrits



L'AMOUR DE L'HOMME ET DE LA FEMME
le mot "É T R E I N T E" contient exactement les mêmes lettres que le mot "É T E R N I TÉ".

T'aimer sans te soumettre ;
T'apprivoiser sans t'enfermer ;
Te connaître sans te figer ;
Te trouver sans me cacher ;
Te rejoindre sans te menacer ;
T'accueillir sans te retenir ;
Te demander sans t'obliger ;
Te donner sans me vider ;
Te refuser sans te blesser ;
Te quitter sans t'oublier ;
Te remplir sans te combler ;
T'être fidèle sans me tromper ;
Te sourire et m'attendrir ;
Te découvrir et m'étonner ;
M'émerveiller
Et m'abandonner, à la fluidité de l'élan,
A l'unisson du partage, au bonheur de rêver l'avenir.
Et rester ainsi vivant et libre,
Ouvert et agrandi aux possibles de nos rencontres,
Etre ainsi réconcilié, unifié,
Prolongé aux enthousiasmes de notre vie commune.

"Une des plus belles choses dans la vie
c'est de trouver quelqu'un qui peut vous comprendre 
sans avoir à donner d'explications"
Khalil Gibran

"Mon esprit est rempli, mais mon coeur est vide ;
Mon corps est vieux, mais mon coeur est comme un enfant.
Peut-être mon coeur redeviendra-t-il jeune, 
mais je prie pour qu'il vieillisse avant l'heure de mon retour vers Dieu.
Alors seulement, mon coeur se remplira à nouveau..»
Khalil Gibran
C'est formidable les gens qui ont des certitudes,
Qui ne doutent jamais.
Ce sont des gens en béton.
Mais il faut se méfier du béton.
La moindre fêlure dans le mur peut entrainer la chute de toute la maison.
Tahar Ben Jelloun
"Les belles âmes arrivent difficilement à croire au mal, à l'ingratitude, il leur faut de rudes leçons avant de reconnaître l'étendue de la corruption humaine."
Balzac, "Illusions perdues" 1843.
(En illustration, portrait du jeune Renoir, par Frédéric Bazille, 1867)


"Tout homme aime deux femmes :L'une est création de son imagination,l'autre n'est pas encore née".
Khalil Gibran


Il en est des destins comme des livres sacrés : c’est la lecture qui leur donne un sens. Le livre clos reste muet ; il ne parlera que lorsqu’il sera ouvert ; et la langue qu’il emploiera sera celle de celui qui s’y penche, teintée par ses attentes, ses désirs, ses aspirations, ses obsessions, ses violences, ses troubles. Les faits sont comme les phrases du livre, ils n’ont pas de sens par eux-mêmes, seulement le sens qu’on leur prête.
Dans l'appréhension de la mort, il y a trois peurs distinctes, l'inconnu de la date où l'on mourra, l'inconnu de la manière dont on mourra, et l'inconnu de la mort elle-même.

N’avait-il pas raison ? Parfois la forme sauve. Quand le désordre menace, seules les apparences nous empêchent de nous abîmer dans le chaos ; elles sont fortes les apparences, elles se tiennent, elles nous retiennent.

Si un jour, les explications nous permettent de comprendre ce que nous avons raté, elles ne le réparent pas.
La rédemption que permet la prise de conscience intervient souvent trop tard. Le mal est accompli… S’amender n’efface rien de ce qui a été commis.

Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe Je n'y suis pas, je n'y dors pas... Je suis le vent qui souffle dans les arbres Je suis le scintillement du diamant sur la neige Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr Je suis la douce pluie d'automne... Quand tu t'éveilles dans le calme du matin Je suis l'envol de ces oiseaux silencieux Qui tournoient dans le ciel... Alors ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe Je n'y suis pas, je ne suis pas mort ! Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement Parce que je suis hors de ta vue ? La mort tu sais, ce n'est rien du tout. Je suis juste passé de l’autre côté. Je suis moi et tu es toi. Quelque soit ce que nous étions l'un pour l'autre avant, Nous le resterons toujours. Pour parler de moi, utilise le prénom Avec lequel tu m'as toujours appelé. Parle de moi simplement comme tu l'as toujours fait. Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste. Ris comme avant aux blagues qu'ensemble nous apprécions tant. Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi. Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu'il a toujours été. Prononce-le avec simplicité et naturel, Sans aucune marque de regret. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu. Qu'est-ce que la mort sinon un passage ? Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie, Pense et parle toujours de moi autour de toi et tu verras, Tout ira bien. Tu sais, je t'entends, je ne suis pas loin, Je suis là, juste de l’autre coté.

“Vous n’aurez pas ma haine”
Vendredi soir vous avez volé la vie d’un être d’exception, l’amour de ma vie, la mère de mon fils mais vous n’aurez pas ma haine. Je ne sais pas qui vous êtes et je ne veux pas le savoir, vous êtes des âmes mortes. Si ce Dieu pour lequel vous tuez aveuglément nous a fait à son image, chaque balle dans le corps de ma femme aura été une blessure dans son coeur.
Alors non je ne vous ferai pas ce cadeau de vous haïr. Vous l’avez bien cherché pourtant mais répondre à la haine par la colère ce serait céder à la même ignorance qui a fait de vous ce que vous êtes. Vous voulez que j’ai peur, que je regarde mes concitoyens avec un oeil méfiant, que je sacrifie ma liberté pour la sécurité. Perdu. Même joueur joue encore.
Je l’ai vue ce matin. Enfin, après des nuits et des jours d’attente. Elle était aussi belle que lorsqu’elle est partie ce vendredi soir, aussi belle que lorsque j’en suis tombé éperdument amoureux il y a plus de 12 ans. Bien sûr je suis dévasté par le chagrin, je vous concède cette petite victoire, mais elle sera de courte durée. Je sais qu’elle nous accompagnera chaque jour et que nous nous retrouverons dans ce paradis des âmes libres auquel vous n’aurez jamais accès.
Nous sommes deux, mon fils et moi, mais nous sommes plus fort que toutes les armées du monde. Je n’ai d’ailleurs pas plus de temps à vous consacrer, je dois rejoindre Melvil qui se réveille de sa sieste. Il a 17 mois à peine, il va manger son goûter comme tous les jours, puis nous allons jouer comme tous les jours et toute sa vie ce petit garçon vous fera l’affront d’être heureux et libre. Car non, vous n’aurez pas sa haine non plus.
Antoine Leiris
De l’ego au grand soi .
Selon Jung, le but d’une vie est de passer de l’ego, notre petite personne, au grand soi grâce au « processus d’individuation ». Il s’agit d’un cheminement intérieur par lequel nous allons tenter de devenir le plus conscient possible, afin de nous «auto-engendrer » en tant qu’individu particulier, homme parmi les hommes, mais unique. Une seconde naissance, en quelque sorte. Pour Jung, l’enjeu est d’importance. Car « devenir conscient de son soi, c’est permettre à l’univers de devenir conscient de lui-même »

En 1946, à un vieil ami qui lui demandait quelle attitude adopter pour achever son existence dignement, Jung répondit : « Vivre sa vie. »
Vivre, c’est tout.

Comment partirai-je dans la paix, sans chagrin ?
C'est l'esprit blessé que je quitterai cette ville.
Longs furent les jours de souffrance passés derrière les remparts, longues les nuits de solitude: et qui peut quitter sa douleur et sa solitude sans regret ?
...
je ne saurai m'en abstraire sans une pesante douleur.
Ce n'est pas un habit que je rejette aujourd'hui, mais ma peau que je déchire de mes propres mains.
Ce n'est pas davantage une pensée que je laisse derrière moi, mais un coeur adouci par la faim et la soif.
Khalil Gibran

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