" la guerre est la grande affaire des nations ; elle est le lieu où se décident la vie et la mort ; elle est la voie de la survie ou de la disparition . On ne saurait la traiter à la légère . SUN TZU : "l'art de la guerre" IV siècle avant J. -C
" Pour être modéré , il faut avoir dépassé les bornes ."
Richard Klein .
"Nous n'avons rien à reprocher à nos parents, sauf de nous avoir privés d'une enfance intéressante"
Le concept de liberté
divise :
•Ceux qui en font le fondement
de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant) pour
qui les mouvements volontaires de l’âme existaient sans aucune intervention du destin.
• Ceux qui nient une quelconque
transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes tels que la
sensibilité (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) tout
se produit par le destin qui apportait la force de la nécessité.
•si on unit les trois
parties de la connaissance (physique, éthique, logique), et aujourd'hui les
sciences humaines et les sciences de la nature, comment résoudre l'antagonisme
entre destin et liberté ? Le problème qui se pose est essentiellement d'ordre moral.
L'unité de nos représentations serait alors une unité logique. Mais la question se pose : si tout dépend du destin, comment certaines choses peuvent-elles encore dépendre de nous ? Ou bien la nature est seule maîtresse des choses, ou bien l'homme est maître lui aussi au sein de la nature: suis-je libre, ou suis-je conduit par le destin ? La nature est ici entendue comme un pur enchaînement causal ; il s'agit alors de concilier les deux affirmations : responsabilité morale et actes déterminés.
Si on nie la causalité naturelle, on fait apparaître un concept de liberté qui implique la nouveauté absolue dans l'ordre de la nature : la liberté humaine doit pouvoir ouvrir des possibles en produisant des actions non-déterminées, indépendantes notamment des inclinations de notre sensibilité. Notre volonté n'a alors aucune cause antécédente. Mais dans ce cas, la liberté n'est pas une réalité intelligible : la liberté sort du néant, elle est une sorte de miracle, d'où le caractère presque indicible de ce concept, puisque la liberté semble être dans ce cas au-delà de la portée de l'intellect humain.
Ainsi, en cherchant à unifier nos connaissances, soit on fait de l'homme un être déterminé, dont la volonté est immanente à la nature , soit on fait de l'homme un être transcendant, irréductible en particulier à sa nature animale.
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