Confiance

أؤمن بأنَّ المُستحيل هو مَا لم يكتبهُ الله لي، وليسَ ما لا أستطيع فعلهُ . .


امارس التجاهل في حياتي "كثيراًَ " ولا اخجل من هذا الاعتراف......لأن اهتمامي لا أمنحه الا لمن يستحق ...



il faut avoir la passion , l 'enthousiasme et la confiance en soie pour réaliser son rêve

" le succès c'est comme la combinaison d'un coffre-fort , une fois que vous avez le code vous pouvez tout le temps ouvrir le coffre-fort "

le vrai bonheur ne dépend d aucun être , d aucun objet extérieur , il ne dépend que de nous

Les décisions sont importantes tout au long de notre vie. En voici deux :

- Cherchez le plus souvent possible à être avec la bonne personne, au bon endroit, au bon moment.
- Choisissez bien la personne avec laquelle vous vivez : AUCUNE décision n'est plus importante.

Le métier le plus difficile: Gynécologue. Il travail là où les autres s'amusent. 

« Partout où je vais, je ressens l'unité à l'intérieur de moi. » - Miten 

Ayez le courage d’écouter votre cœur et votre intuition, eux savent ce que vous voulez vraiment devenir
Steve Jobs


Quand vous discutez avec vos proches, laissez-les gagner. Choisissez d'être heureux plutôt qu'avoir raison.

"Un jour, à cause d’une femme, j’ai fait un long pèlerinage pour rencontrer mon rêve. Des années plus tard, la même femme m’a obligé à me remettre en marche, cette fois pour rencontrer l’homme qui s’était perdu en chemin. »
Paulo Coelho 

« Chacun est le produit de ses pensées. »
de Swami Prajñanpada

« Le plus grand bien que nous faisons aux autres hommes n’est pas de leur communiquer notre richesse, mais de leur révéler la leur. »
(Louis Lavelle)

« C’est notre attitude envers la vie qui va déterminer l’attitude de la vie à notre égard ». Earl Nightingale.

"Mieux vaut faire les choses que d'espérer qu'elles se feront."
Proverbe écossais

"Aimer quelqu'un c'est le lire. Il y a plus de texte écrit sur un visage que dans un volume de la Pléiade, et quand je regarde un visage, j'essaie de tout lire même les notes en bas de la page"
Chrisitan Bobin

« Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant »
Bernard Le Bovier de Fontenelle

« Il n'y a qu'une façon d'échouer c'est d'abandonner avant d'avoir réussi » 


Olivier LOCKERT

"Si il n’y a pas d’ennemi à l’intérieur, alors l’ennemi à l’extérieur ne peut pas nous atteindre"
Proverbe africain

« Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. » Steve Jobs

" Échouer , c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente. "
Henry Ford

"Ce qu il y a de bien avec le futur, c'est qu'il n'arrive pas d'un seul coup." Abraham Lincoln

« Personne ne réclame ce qu’il désire, chacun réclame ce qu’il croit pouvoir obtenir… »
Gilbert Keith Chesterton

« Quand on veut une chose, tout l'Univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. »
Paulo Coelho

« Vivez chacun de vos jours comme si c'était le dernier, vous finirez bien par avoir raison. »
de Leo Buscaglia

« Ecoute-moi, mon fils. Tandis que je te parle, tu dors la joue dans ta menotte et tes boucles blondes collées sur ton front moite. Je me suis glissé seul dans ta chambre. Tout à l’heure, tandis que je lisais mon journal dans le bureau, j’ai été envahi par une vague de remords. Et, me sentant coupable, je suis venu à ton chevet.
« Et voilà à quoi je pensais, mon fils: je me suis fâché contre toi aujourd’hui. Ce matin, tandis que tu te préparais pour l’école, je t’ai grondé parce que tu te contentais de passer la serviette humide sur le bout de ton nez; je t’ai réprimandé parce que tes chaussures n‘étaient pas cirées ; j’ai crié quand tu as jeté tes jouets par terre.
« Pendant le petit déjeuner, je l’ai encore rappelé à l’ordre: tu renversais le lait; tu avalais les bouchées sans mastiquer; tu mettais les coudes sur la table; tu étalais trop de beurre sur ton pain. Et quand, au moment de partir, tu t’es retourné en agitant la main et tu m’as dit: “Au revoit papa !“,je t’ai répondu en fronçant les sourcils: “Tiens-toi droit !“
« Le soir même chanson. En revenant de mon travail, je t’ai guetté sur la route. Tu jouais aux billes, à genoux dans la poussière, tu avais déchiré ton pantalon. Je t’ai humilié en face de tes camarades, en te faisant marcher devant moi jusqu’à la maison... “Les pantalons coûtent cher ; si tu devais lespayer, tu serais sans doute plus soigneux !“ Tu te rends compte, mon fils ? De la part d’un père!« Te souviens-tu ensuite ? Tu t’es glissé timidement, l’air malheureux, dans mon bureau, pendant que je travaillais. J’ai levé les yeux et je t’ai demandé avec impatience: “Qu’est-ce que tu veux ?“« Tu n’as rien répondu, mais, dans un élan irrésistible, tu as couru vers moi et tu t’es jeté à mon cou, en me serrant avec cette tendresse touchante que Dieu a fait fleurir en ton coeur et que ma froideur même ne pouvait flétrir... Et puis, tu t’es enfui, et j’ai entendu tes petits pieds courant dans l’escalier.« Eh bien ! Mon fils, c’est alors que le livre m’a glissé des mains et qu’une terrible crainte m’a saisi. Voilà ce qu’avait fait de moi la manie des critiques et des reproches : un père grondeur ! Je te punissais de n’être qu’un enfant. Ce n’est pas que je manquais de tendresse, mais j’attendais trop de ta jeunesse. Je te mesurais à l’aune de mes propres années.« Et pourtant, il y a tant d’amour et de générosité dans ton âme. Ton petit coeur est vaste comme l’aurore qui monte derrière les collines. Je n’en veux pour témoignage que ton élan spontané pour venir me souhaiter le bonsoir. Plus rien d’autre ne compte maintenant, mon fils. Je suis venu à ton chevet, dans l’obscurité, et je me suis agenouillé là, plein de honte.« C’est une piètre réparation ; je sais que tu ne comprendrais pas toutes ces choses si tu pouvais les entendre. Mais, demain, tu verras, je serai un vrai papa ; je deviendrai ton ami; je rirai quand tu riras, je pleurerai quand tu pleureras. Et, si l’envie de le gronder me reprend, je me mordrai la langue, je ne cesse rai de me répéter, comme une litanie:“Ce n’est qu’un garçon... un tout petit garçon !“ « J’ai eu tort. Je t’ai traité comme un homme. Main tenant que je te contemple dans ton petit lit,las et abandonné, je vois bien que tu n’es qu’un bébé. Hier encore, tu étais dans les bras de ta mère, la tête sur son épaule... J’ai trop exigé de toi...Beaucoup trop... »
Au lieu de condamner les gens, essayons de les comprendre. Essayons de découvrir le mobile de leurs actions. Voilà qui est beaucoup plus profitable et plus agréable que de critiquer, voilà qui nous rend tolérants, compréhensifs et bons. «Tout savoir, c’est tout pardonner. »Dieu lui-même ne veut pas juger l’homme avant la fin de ses jours. De quel droit le ferions-nous?

La chance, n'est rien d'autre que le mariage de la préparation et de l'occasion ( julian mantle)

" le bonheur c'est quand les emmerdes se reposent. Et alors là, il faut faire gaffe de pas les réveiller. " Sam Lion

Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction - Saint-Exupéry -

« Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité »
Carl Jung

Beaucoup de personnes passent leur temps à se plaindre de la vie ... à se plaindre de leur sort, de leur chance ou malchance, de leurs rencontres, du pays ...
Et puis, il y a ceux qui disent "Dieu Merci"... qui gardent leur tristesse au fond du cœur et qui donnent au gens qui les entourent leur plus beau sourire, les plus belles paroles et un visage et une attitude toujours agréable !

Vous les avez certainement dans votre entourage, les deux types de personnalités ... 


émoticône wink



Quand l'amour vous fait signe, suivez-le,
Bien que ces chemins soient raides et ardus.
Et quand il vous enveloppe de ses ailes, cédez- lui,
Même si l'épée cachée dans ses pennes vous blesse.
Et quand il vous parle, croyez en lui,
Même si sa voix brise vos rêves comme le vent du nord dévastant un jardin.
Car si l'amour vous couronne, il vous crucifie aussi.
Et s'il est pour votre croissance, il est aussi pour votre élagage.
De même qu'il s'élève à votre hauteur pour caresser vos plus tendres branches frémissant dans le soleil,
Il descend jusqu'à vos racines et les secoue de leur adhérence à la terre.
Telles des gerbes de blé, il vous ramasse et vous serre contre lui.
Il vous vanne pour vous dénuder.
Il vous tamise pour vous libérer de votre enveloppe.
Il vous pile jusqu'à la blancheur.
Il vous pétrit jusqu'à vous rendre malléable ;
Puis il vous assigne à son feu sacré à fin que vous deveniez pain sacré au festin sacré de Dieu.
Tout cela, l'amour vous le fait subir afin que vous connaissiez les secrets de votre cœur et, au travers de cette connaissance, deveniez fragment du cœur de la vie.
Mais si, pusillanimes, vous ne recherchiez que la paix de l'amour et sa volupté, 
Mieux vaudrait pour vous couvrir votre nudité et sortir de l'aire de l'amour.
Pour pénétrer dans le monde sans saison en lequel vous rirez , mais pas de tout votre rire, et pleurerez , mais pas de toute vos larmes.
L'amour ne donne que de lui-même et ne prend que de lui-même L'amour ne possède pas et ne saurait être possédé.
Car l'amour suffit à l'amour.
Lorsque vous aimez, vous ne devriez pas dire : « Dieu est dans mon cœur », mais plutôt : « je suis dans le cœur de Dieu. »
Et ne croyez pas qu'il vous appartiennent de diriger le cours de l'amour, car c'est l'amour, s'il vous en juge dignes, qui dirigera le vôtre.
L'amour n'a d'autre désir que de s'accomplir. 
Mais si vous aimez et ne pouvez échapper aux désirs, qu'ils soient ceux ci :
Vous dissoudre et être comme l'eau vive d'un ruisseau chantant sa mélopée à la nuit,
Connaître la douleur d'une tendresse excessive,
Recevoir la blessure de votre conception de l'amour ,
Perdre votre sang volontiers et avec joie,
Vous réveiller aux aurores, le cœur ailé , et rendre grâce pour une nouvelle journée d'amour,
Vous reposer alors au Méridien et méditer l'extase de l'amour,
Revenir à votre foyer le soir, avec gratitude,
Puis vous endormir avec au cœur une prière pour l'être aimé et sur vos lèvres un chant de louange.
Gibran khalil Gibran
Le Prophète

Parfois notre vie ressemble à un champ de ruines...
Pardonner est alors un choix que l'on doit faire pour s'honorer soi-même, pour avancer. Non, en effet ce n'est pas facile, mais au final... c'est vous qui décidez du prix à payer pour vivre la paix de l'âme.

Notre vie traverse parfois des vallées de souffrances et d'épreuves qui nous brisent... Pourquoi tant de douleurs ? A quoi servent-elles ? Comment les encaisser ?

A force de tomber, il est parfois difficile de se relever pour continuer.
Comment appréhender l'adversité et l'échec avec une métaphore des arts martiaux.

Soyez convaincu!

Ayez confiance en vous-même, en vos capacités, en votre pouvoir de changer les choses!

Ayez foi en votre bonne étoile!

La confiance en soi est la fondation de toute réussite!

Croyez-vous vraiment que Steve Jobs, commençant à fabriquer ses ordinateurs dans son garage doutait de son génie? Croyez-vous que Ronaldo, en s'entraînant à dribbler sur des montées raides comme ça dans les rues du brésil doutait un instant de ses capacités exceptionnelles? Croyez-vous qu'Einstein, élaborant durant des années, la nuit, seul, sa théorie sur la relativité, doutait un instant de la puissance de ses équations?

La confiance en vous-même est ce qui fera de vous ce que vous voulez être.

Débarrassez-vous de toute incertitude, et soyez à l'aise avec l'idée que votre avenir non seulement de vous appartenir sera exactement comme vous le pensez!

L'ambition n'est pas un défaut. C'est une puissance invisible et naturelle qui veille en chaque homme de cette Terre.

L'ambition est ce qui fait que l'humanité a construit son histoire, et que cette même histoire ne soit écrite que par les vainqueurs.

L'ambition est le désir suprême de vouloir écrire l'histoire, et non pas se contenter de la lire.

La vie devient très lourde et pesante lorsque nous laissons notre mental nous dominer, notamment lorsque nous sommes fortement préoccupés, notre énergie se dirige entièrement vers le sujet de nos inquiétudes. Même si, par ailleurs, de très bonnes choses ont lieu dans notre vie nous avons tendance à les ignorer, voire être incapable de voir ce que la vie a à nous offrir.

Ce sentiment néfaste est dû à notre perception du sujet de notre inquiétude. Nous avons la possibilité de modifier cette perception en changeant l’interprétation et le sens qu’on lui donne.

Comment faire ?

Tout d’abord, laissons notre mental couler comme de l'eau et commençons à devenir un observateur lucide sur nous-même pour regarder en face nos états internes, tant nos qualités que nos zones d’ombres.

Cela ne signifie pas que nous devons comptabiliser tous nos défauts et nos imperfections car cela entraînerait un sentiment de frustration et de culpabilité. Cette attitude ne ferait que contribuer à entretenir d'autres énergies négatives.

En connexion avec son être intérieur, l'observateur se comporte comme une mère attentive au développement de son petit enfant, mêlant bienveillance, tendresse et rigueur. Nous observer comme un enfant signifie le faire sans jugement, avec tendresse, mais sans complaisance. Y compris quand nous sommes en colère ou triste.

En d’autre terme, il faut « simplement être », c’est une attitude de patience et d’écoute, de vigilance, d’attention et de concentration sur la conscience et le ressenti de l’instant présent. C’est vivre l’instant présent sans se projeter dans le passé ou sur l’avenir.

Facile à dire mais pas facile à faire alors ?

Il existe une grande variété d’états émotionnels qu’une personne peut vivre.

La PNL propose de développer notre habileté à reconnaître ces différents états internes. Le fait de les décortiquer cela nous permet d’avoir un effet sur nos propres feelings et d’augmenter notre choix de réponse dans une situation donnée.

La plupart d’entre nous pensent que ce sont les situations qui créent nos réactions alors que ce sont uniquement nos interprétations.

Il est donc important de saisir que notre comportement découle de notre état interne qui lui-même dépend de notre dialogue interne. Il est primordial de prendre conscience de ce que vous dites pour mieux gérer votre dialogue interne. Ainsi nous pouvons repérer quand nous tombons dans des états négatifs et dire STOP.

Pour mieux gérer nos états internes, on peut par exemple : a) se recentrer sur soi-même (selon sa propre méthode : méditation, relaxation, respiration, etc), b) se poser des questions « supportantes ou aidantes », c) sélectionner l’information d’une autre manière, d) prendre conscience de ce sur quoi nous portons nos attentions (fixer les priorités), e) se mettre dans un état de ressources.

La plupart d’entre nous oublient qu’une émotion ou un sentiment ne se pense pas, mais se ressent et se vit. Ensuite, ils ne s’analysent pas et ne se jugent pas mais s’accepte sans condition pour éviter le conflit intérieur. Par exemple, quand on est triste, prendre simplement conscience qu’on est triste et accepter pleinement, étudier les manifestations, ressentir, goûter les symptômes de cette tristesse. Oui je suis triste, c’est moi, pour l’instant je suis ainsi. Ce n’est pas de la résignation mais de l’acceptation : un recueil de données. Le malaise ne provient jamais du symptôme mais toujours de l’étiquetage du mental (c’est bien, c’est mal, c’est nul, etc).

Apprendre à s’accepter, à s’apprécier, connaître ses goûts, ses besoins, ses capacités et ses limites nous aide à augmenter notre estime de nous-mêmes. Afin d’augmenter notre estime, il nous faut changer d’attitude, avoir une vision de la vie et de nous-mêmes qui soit positive et réaliste. Un moyen facile est d’apprendre à se faire plaisir. Se gâter ! Le plaisir est une source de bien-être physique, émotif et spirituel. C’est une émotion positive, une sensation d’être bien vivant, d’être bien dans son corps, bien dans sa peau, bien dans son être profond ; c’est être heureux.

Lorsque nous sommes en parfait accord avec nous-même, nous retrouvons la paix intérieure, un équilibre énergétique, une confiance en soi à toute épreuve, une forme d’accomplissement personnel et une disponibilité pour les autres. Dès lors, nous avons une faculté d’interpréter la situation de manière à être en conformité avec toutes nos parties de notre être pour agir en parfait accord avec nous-même.

Nous devenons alors conscients de ce que la vie a à nous offrir et soudain nous sommes envahis d’un sentiment de beauté et de gratitude vis-à-vis de nous-même et de l’Univers.

Je finirais par une phrase du Dalaï-Lama : « L’apaisement réside en chacun de nous ».

L'amour, c'est l'espace et le temps rendus sensibles au coeur - Proust -