JE PREND TOUT SUR MOI AVEC TOUJOURS UN GRAND SOURIRE QUI NE ME QUITTE PAS émoticône smile J'ai beaucoup à dire... Mais le secret restera en moi pour toujours et c'est préférable... Même si j'en souffre, même si ma santé en prend un coup... Bof ! Un coup de plus ou un coup de moins... Au point ou j'en suis !!! Je m'en fiche royalement ! Je préfère ne blesser personne... Le temps s'en chargera. Il prendra tout son temps... Mais il finira par changer les choses et les situations... Par la force du temps !!! Paroles de Vérité !!!
Je suis fils d'Abraham !!! Je suis Juif!!! Je suis Chrétien !!! Je suis enfin Musulman !!! Je suis monothéiste !!!!
Le principal aspect de ma personnalité est que je suis une personne très motivé qui n'abandonne jamais. En effet, mon but dans la vie est de prospérer et d'atteindre un succès incroyable. J'ai démontré une certaine capacité de manutention aspects de la vie dure depuis que je suis un enfant. J'ai toujours compté sur moi et sur mes efforts. J'ai développé le sens de la persévérance et Dynamisme . Cela m'a permis de s'épanouir et d'être impliqué dans de nombreux domaines qui m'a poussé à être plus forte et active. Mon souhait était d'ajouter quelque chose de nouveau à la vie de chacun . Pour cette raison, j'ai rejoint de nombreux clubs, a créé l'une et de réussir à avoir des emplois à temps partiel. J'ai aussi participé à la recherche de sponsors afin d'organiser un gala. J'ai fait beaucoup de bénévolat des œuvres telles que la collecte de sang, etc
Dans l'ensemble, j'ai développé le sens de la responsabilité et de sérieux. Aussi, je suis dynamique, active, motivé et perfectionniste. Je sais ce que je veux de la vie, je suis persistant avec une bonne réputation académique.
Toi qui cherche par tous les moyens à plaire aux autres, amant, ami, voisin ou quidam, tu ne cesses de torturer ton âme. Tu cherches une reconnaissance là où il n'y a ni effet ni résonance. Tu as beau te démener, tantôt en te rabaissant, tantôt en boudant parfois en râlant; rien n'y fait tu quémandes toujours en vain. Tant que tu resteras sourd à mes doléances tu nous feras vivre que douleurs et souffrances. Tu suis la voie qui te leurre alors qu'il aurait suffit d'écouter la petite voix intérieure. C'est moi, enfin c'est toi qui suis, qui es resté à un jeune âge, celui de l'enfant, apeuré, frustré, blessé. Ton corps , le mien , le notre a gagné en développement, le cerveau en connaissance, mais l'âme est restée prisonnière de tant de réminiscences dont certaines, bien au delà de l'enfance, prennent source à la naissance. Pauvre de toi , de nous, tu cherches ailleurs ce qui se trouve en mon, en ton essence. Oui c'est moi qui souffre et te fais souffrir, car entravé, freiné, impuissant je n'ai pu t'accompagner dans ta croissance . C'est moi qui agit en toi, l'enfant adulte en taille et peut-être en exploit, mais sans aubaine ni joie. Comment peux tu être heureux alors que dans tes tréfonds je pleure mes blessures toujours saignantes. Ah si seulement tu pouvais prendre conscience de mon existence, tu sauras que ce que tu t'acharnes à trouver dehors n'est que mirage et trompeuse apparence. Il n' y a que moi et personne d'autre qui puisse te procurer une réelle bienséance. Je ne demande pas beaucoup, juste ton écoute, ton attention, ton affection, ta bienveillance. Oh que cela m'aidera à panser mes blessures et apaiser mes souffrances, a me rendre le sourire et plein d'allégresse, c'est à cette seule condition, c'est à dire en te tournant au dedans de toi même pour me rassurer me réconforter, m'aimer et me chérir que tu pourras me libérer, te libérer pour enfin, connaître la paix, la dignité, l'amour, l'authentique qui ne sombre pas dans une vaine dépendance.
Ton enfant intérieur
Je n'ai que faire du regard des gens, car au final je serai seul dans ma tombe. Les seules critiques que je prends en compte sont celles qui me font avancer, car je suis et resterai fidèle à moi-même, en dépit de ceux qui voudraient que je leur ressemble.
N'est ce pas ironique de devoir s'écrire une lettre soi-même, une fois de plus les circonstances de la vie m'oblige à m'affronter, à regarder la vérité en face,à demander pardon à cet être que je suis.
Jamais les mots que je pourrais utiliser n'exprimeront la douleur et la souffrance que j'ai envers toi, toi si imparfait,si étrange à ma vie.Toute cette vie dans laquelle, j'apprends à t'aimer, t'observer, te découvrir pour qu'enfin un jour je puisse être en paix avec moi même.Tu es ma meilleur amie mais en même temps mon ennemie, tu es ma fierté quelques fois mais aussi ma honte,nous ne faisons qu'un dans les moment de joie et deux dans les moments de doutes, d'angoisses et de peur, je voudrais comprendre pourquoi tu me fais aussi peur et d'un côté, je ne le veux pas, les réponses que je pourrais y trouver m'effraie, mais n'est pas aussi accepter de vivre ? Affronter ses peurs et à se depasser chaque jour, pour qu'on grandissant je puisse à mon tour apprendre à mes enfants à surmonter les épreuves que la vie leurs réserves.
Je suis fils d'Abraham !!! Je suis Juif!!! Je suis Chrétien !!! Je suis enfin Musulman !!! Je suis monothéiste !!!!
"L'homme qui voulait être heureux."
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- Eh bien, je suis issu… comment dire ? … d’une famille qui ne valorise que les professions intellectuelles. Mes parents m’ont poussé à faire des études supérieures. Je dirais même que je n’ai pas eu le choix. Dans ma famille, on est respecté si l’on est scientifique ou enseignant, c’est à peu près tout. Les autres métiers sont considérés comme peu sérieux. Alors, photographe…
- Ils ont le droit d’avoir cette opinion, et vous avez le droit de faire ce que vous voulez de votre vie.
- Bien sûr, et il est clair qu’à mon âge, je n’ai pas de comptes à leur rendre, mais ça leur ferait un tel choc ! J’ai peur qu’ils soient tristes.
- Sont-ils tristes, aujourd’hui, de vous savoir peu épanoui dans votre métier ? Sont-ils venus vous trouver pour vous réconforter ?
- Non pas vraiment.
- S’ils vous aiment, que croyez-vous qu’ils préféreront : que vous soyez un enseignant malheureux ou un photographe épanoui ?
- Vu comme ça …
- C’est comme ça qu’il faut le voir : si on aime les gens seulement quand ils se comportent conformément à nos idéaux, ce n’est pas de l’amour… C’est pour cela que je crois que vous n’avez rien à craindre de la part de ceux qui vous aiment.
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- Eh bien, je suis issu… comment dire ? … d’une famille qui ne valorise que les professions intellectuelles. Mes parents m’ont poussé à faire des études supérieures. Je dirais même que je n’ai pas eu le choix. Dans ma famille, on est respecté si l’on est scientifique ou enseignant, c’est à peu près tout. Les autres métiers sont considérés comme peu sérieux. Alors, photographe…
- Ils ont le droit d’avoir cette opinion, et vous avez le droit de faire ce que vous voulez de votre vie.
- Bien sûr, et il est clair qu’à mon âge, je n’ai pas de comptes à leur rendre, mais ça leur ferait un tel choc ! J’ai peur qu’ils soient tristes.
- Sont-ils tristes, aujourd’hui, de vous savoir peu épanoui dans votre métier ? Sont-ils venus vous trouver pour vous réconforter ?
- Non pas vraiment.
- S’ils vous aiment, que croyez-vous qu’ils préféreront : que vous soyez un enseignant malheureux ou un photographe épanoui ?
- Vu comme ça …
- C’est comme ça qu’il faut le voir : si on aime les gens seulement quand ils se comportent conformément à nos idéaux, ce n’est pas de l’amour… C’est pour cela que je crois que vous n’avez rien à craindre de la part de ceux qui vous aiment.
[ Laurent Gounelle ]
-L'homme qui voulait être heureux-
-L'homme qui voulait être heureux-
Dans l'ensemble, j'ai développé le sens de la responsabilité et de sérieux. Aussi, je suis dynamique, active, motivé et perfectionniste. Je sais ce que je veux de la vie, je suis persistant avec une bonne réputation académique.
Toi qui cherche par tous les moyens à plaire aux autres, amant, ami, voisin ou quidam, tu ne cesses de torturer ton âme. Tu cherches une reconnaissance là où il n'y a ni effet ni résonance. Tu as beau te démener, tantôt en te rabaissant, tantôt en boudant parfois en râlant; rien n'y fait tu quémandes toujours en vain. Tant que tu resteras sourd à mes doléances tu nous feras vivre que douleurs et souffrances. Tu suis la voie qui te leurre alors qu'il aurait suffit d'écouter la petite voix intérieure. C'est moi, enfin c'est toi qui suis, qui es resté à un jeune âge, celui de l'enfant, apeuré, frustré, blessé. Ton corps , le mien , le notre a gagné en développement, le cerveau en connaissance, mais l'âme est restée prisonnière de tant de réminiscences dont certaines, bien au delà de l'enfance, prennent source à la naissance. Pauvre de toi , de nous, tu cherches ailleurs ce qui se trouve en mon, en ton essence. Oui c'est moi qui souffre et te fais souffrir, car entravé, freiné, impuissant je n'ai pu t'accompagner dans ta croissance . C'est moi qui agit en toi, l'enfant adulte en taille et peut-être en exploit, mais sans aubaine ni joie. Comment peux tu être heureux alors que dans tes tréfonds je pleure mes blessures toujours saignantes. Ah si seulement tu pouvais prendre conscience de mon existence, tu sauras que ce que tu t'acharnes à trouver dehors n'est que mirage et trompeuse apparence. Il n' y a que moi et personne d'autre qui puisse te procurer une réelle bienséance. Je ne demande pas beaucoup, juste ton écoute, ton attention, ton affection, ta bienveillance. Oh que cela m'aidera à panser mes blessures et apaiser mes souffrances, a me rendre le sourire et plein d'allégresse, c'est à cette seule condition, c'est à dire en te tournant au dedans de toi même pour me rassurer me réconforter, m'aimer et me chérir que tu pourras me libérer, te libérer pour enfin, connaître la paix, la dignité, l'amour, l'authentique qui ne sombre pas dans une vaine dépendance.
Ton enfant intérieur
Je n'ai que faire du regard des gens, car au final je serai seul dans ma tombe. Les seules critiques que je prends en compte sont celles qui me font avancer, car je suis et resterai fidèle à moi-même, en dépit de ceux qui voudraient que je leur ressemble.
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N'est ce pas ironique de devoir s'écrire une lettre soi-même, une fois de plus les circonstances de la vie m'oblige à m'affronter, à regarder la vérité en face,à demander pardon à cet être que je suis.
Jamais les mots que je pourrais utiliser n'exprimeront la douleur et la souffrance que j'ai envers toi, toi si imparfait,si étrange à ma vie.Toute cette vie dans laquelle, j'apprends à t'aimer, t'observer, te découvrir pour qu'enfin un jour je puisse être en paix avec moi même.Tu es ma meilleur amie mais en même temps mon ennemie, tu es ma fierté quelques fois mais aussi ma honte,nous ne faisons qu'un dans les moment de joie et deux dans les moments de doutes, d'angoisses et de peur, je voudrais comprendre pourquoi tu me fais aussi peur et d'un côté, je ne le veux pas, les réponses que je pourrais y trouver m'effraie, mais n'est pas aussi accepter de vivre ? Affronter ses peurs et à se depasser chaque jour, pour qu'on grandissant je puisse à mon tour apprendre à mes enfants à surmonter les épreuves que la vie leurs réserves.
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