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Bienvenue citoyen du monde

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Le monde s'est donné à un systeme unique,a refusé les utopies, les religions .En procedant ainsi il a accordé aux minorités ethniques le droit de la riposte et la ségrégation par sa propre democratie.Pour remédier à cela il a instoré des institutions soit disant de sécurité et devenu fanatique des armes pour departager les adversaires des guerres . Selon ma conviction certes la technologie nous a fait évoluer sans mûrir dans nos esprits.




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15/10/2011

Quel langage?

L'amour a sa raison que le coeur ignore : il parle un langage instinctif. par contre la raison ignore  le coeur : elle parle le langage de la réalité. Moralité :la femme quand elle  aime par l'instinct elle est vraiment amoureuse alors dés qu'elle utilise son moteur de recherche :sa raison ,elle entre dans la sphère de la contradiction .Suis-je claire avant de répondre à la question?


 Le Diable et le Bon DieuAutour du testament d’un poète maudit, al Hotay’a

Al-Hotay’a a laissé pour la postérité un fameux testament. Ses biographes en parlent d’abondance. Il aurait enjoint, entre autres, sur son lit de mort, malgré les prescriptions du Coran et les rappels à l’ordre de ses amis présents, qu’on répartisse à égalité son héritage entre ses filles et ses garçons. Lui qui a vécu du temps du Prophète, de Abou Bakr et de Omar, il a osé tenir pareils propos que la plupart des intellectuels de nos jours craignent de formuler en pensée ! De quoi donner des frissons aux rédacteurs de la Moudawanna ! Que penser d’un tel testament et d’un tel poète ? Quelle fonction assure l’image que l’on garde de ce dernier ? Quel rôle fait-on jouer au discours religieux dans une telle affaire ? Quelles rivalités et quelles manipulations se dissimulent derrière les biographies officielles ? Autant de questions essentielles de nos jours alors qu’on tente d’encercler le champ culturel et de l’étouffer en lui imposant le silence sur les questions fondamentales de la libre expression de l’individu sous prétexte de blasphème et de profanation de valeurs sacrées. Al-Hotay’a a-t-il réellement dit ou lui a-t-on fait dire ? Pourquoi et dans quelle intention ? Al-Hotay’a, le nom du poète est en fait un surnom résumant en lui-même la biographie sommaire qu’on lui a collée. 

Les enjeux d’un surnom

C’est la petite taille du poète qui serait le motif de son surnom. Al-Hotay’a y est décrit et décrié comme nain. Citons l’une d’entre elles pour l’exemple: « Il a pour nom Jarwal ibn Aouss Ibn Maghzoum, et pour surnom al-Hotay’a en raison de sa laideur et de sa très petite taille qui le rapproche du sol … » . Il est donc nommé comme tel parce qu’il est bien « bas ». Ainsi Dieu lègue les attributs. Al–Hotay’a a eu la malchance de naître nain et par surcroît laid, ainsi soit-il !Nombre de traités célèbres sur la littérature et la poésie ne vont pas plus loin. Un des plus réputés, Ibn Qûtayba, dans Chi‘r wa chû‘ara’ (Poésie et poètes) en fait une pure question de taille et clôt ce volet à l’orée de la biographie du poète. Mais oublions les biographies et allons nous enquérir du sujet auprès des grands dictionnaires arabes, tels que le Lissân al-‘Arab, Tâj al-‘Arouss, Jamharat al-Lugha ou as-Sihâh, pour en savoir un peu plus sur les présupposés du surnom en question. C’est souvent dans les sources où une question n’est pas abordée de front, c’est-à-dire où elle n’est pas sous bonne garde, que des pistes nouvelles ou du moins quelques éléments de réponse peuvent à la vigilance des limiers. Hata’a réfère à un certain nombre de situations qui désignent le mépris et l’avilissement. C’est ce verbe qui a donné son surnom à al-Hotay’a. Dans le hadith d’Ibn ‘Abbâss, ce dernier rapporte que le Prophète le prit par le cou, lui administra une tape légère et lui enjoignit d’aller chercher Mo’awiyya qui lui tenait, en ce temps-là, office de secrétaire . Hata’ani hat’atan nous dit Ibn ‘Abbâss alors enfant, relatant le geste du Prophète. Al-hat’a dont il est question est une tape de la paume de la main qu’on donne sur le dos, plus précisément entre les omoplates, sur la poitrine ou sur le flanc haut. Donnée sur la tête elle porte un autre nom (saq‘a) et sur le visage latma (gifle). D’habitude l’action n’a guère la douceur que laisserait entendre la chronique du jeune prodige Ibn ‘Abbass qui avait l’affection du Prophète. Al-hat’ à vrai dire désigne des gestes violents : mettre à terre quelqu’un, jeter à bas et sans ménagement un adversaire, chidat al-Sar’ précise à notre intention le Dictionnaire, ce qui dénote une violence extrême. Le Lissân citant al-Azhari précise : le jeter à bas, visage contre terre , lui faire donc mordre la poussière ! L’intention de mettre à plat sa victime, de l’humilier, de lui conférer un statut social des plus bas est claire et c’est l’objectif que suppose le recours à un tel vocable. Attribuer un tel surnom au poète c’est chercher décidément à l’avilir.On frappe au visage quelqu’un qui nous fait face, quelqu’un auquel sa position sociale n’interdit pas de nous regarder, en quelque sorte un égal ou un familier. On frappe sur la tête l’adversaire qui pour ainsi dire nous tient tête, ou l’ennemi dont on voudrait venir à bout, qui représente un danger. Hata’a qui nous préoccupe ici , c’est-à-dire frapper sur le dos ou violemment malmener et mettre à terre, semble plutôt s’adresser à ceux qui sont d’une moindre échelle que la nôtre ou que nous voudrions classer ainsi, à ceux qui sont d’une taille plus petite que la nôtre et que nous toisons d’en haut comme s’il s’agissait d’enfants, à ceux qui sont socialement mineurs tels enfants, femmes et esclaves, ou de l’ordre des animaux qui prêtent le dos naturellement aux coups. Le geste esquissé de l’intérieur de la main est bien celui du dominateur qui tient les rênes des choses, qui ordonne et punit. Que de secrets a à nous révéler la main qui tour à tour frappe, menace ou bénit. Toujours dans la perspective de la taille, al-Hôtay’a proviendrait de hat’a qui désigne le pou . La violence de l’acte et la charge de mépris qu’il véhicule incitent à remettre en question l’origine du surnom d’al-Hôtaya. Est-il vraiment né de considérations purement physiques somme toute naturelles pour un nain de l’ordre des poux ? Sans s’attarder sur l’aspect parasitaire d’un tel insecte qui serait prétexte à son écrasement c’est la volonté manifeste de déclasser un individu qui ressort d’une lecture lucide des chroniques. Al-Hôtay’a n’aurait dès lors de place dans la société qu’à titre de déchet et de nuisance. Hata’a, pour revenir encore au commencement, a le même sens en arabe que darata c’est-à-dire, sans chercher à manquer aux règles de bienséance, lâcher un pet, ce que le poète aurait eu l’imprudence ou l’impudence de commettre un jour en public et de dire en vue de minimiser son forfait : ce n’est qu’une hotay’a recourant au diminutif de hat’a qui allait depuis lui coller à la peau . Dans le même ordre d’idées, traitant de déchets, allons jusqu’au bout et soulignons que le verbe signifie aussi faire ses besoins ce qu’on semble insinuer comme la principale vocation de notre personnage ainsi que le laisse clairement penser tel vers anonyme sans doute tardif, cité par le Tâj al-‘Arouss et qu’on ne retrouve dans aucune biographie parce qu’il sent trop la haine et la contrefaçon.Le verbe couvre ainsi une large gamme qui va de la bassesse -al-hati’ est l’homme vil, aux restes, al-hit’ désignant en effet le fond d’eau resté dans le récipient - au déchet, au nuisible, et enfin à la fornication et au péché ; ce qui n’est guère étonnant la plupart des verbes faisant référence à la violence désignent souvent le coït . Al-Hotay’a porterait ainsi les stigmates du péché originel en plus des autres tares qui lui sont accolées. Quoi d’étonnant pour nous dès lors de nous attarder sur un tel surnom si révélateur ! Nous sommes en plein champ de bataille et les stigmates de la cabale dirigée contre un grand poète sautent aux yeux. Dans toutes les rencontres d’importance que fit le poète mûr et que rapportent ses biographes, il n’est guère fait mention de sa taille, de celle-ci il n’est question ni en présence de Hassân Ibn Tâbit le poète attitré du prophète, ni de Sa’îd Ibn al-‘Âs le wali de Médine, ni en présence d’autres notables. Seuls son aspect rustre et son rude caractère sont frappants et reviennent sous toutes les plumes.Al-Hotay’a, il ne faut pas l’oublier, a le verbe cinglant et sans faille, « il n’y a pas une imperfection qu’on peut reprocher à un poète sans le retrouver dans sa poésie, mais il est très rare de retrouver celle-ci chez al-Hotay’a » fait remarquer l’autorité en la matière et récitant de la poésie arabe que fut al-‘Asma’i . Abi Faraj al-Asfahâni, l’auteur de l’extraordinaire somme al-Aghani, en parle comme « un des grands poètes, des meilleurs et des plus éloquents, qui s’est adonné à tous les genres de la poésie, de la louange à la satire au mérite et à la généalogie, excellant en tous ces domaines» . Nous sommes en présence d’un vrai maître en pleine possession de son art et tout entier voué à lui. Les propos racistes et nauséabonds que véhicule son surnom visent non pas sa taille de nain, si jamais il en fut réellement ainsi, mais sûrement sa qualité de poète. Allons donc ! Ce n’est pas de petitesse qu’il est question mais bien de grandeur ! Pour ne citer qu’un contre-exemple, le grand imâm ‘Abdallah Ibn Mess’oud était un nain. Qui parle de sa taille et quel traité en fait grand cas ? Allons donc, Al-Hotay’a était un grand poète soumis d’abord aux injonctions de son art, et ce fut un de ces problèmes et pas le moindre. Il était craint comme la peste. Sa laideur est même surfaite par la crainte qu’inspirait aux ci-devant sa présence. Taha Hussein qui ne tarit pas d’éloges sur ses qualités poétiques et stylistiques explique comment la peur des mots a produit cette image de poète difforme et laid au point d’en faire une chose effrayante dont on hait la vue . Quelle est la part de la réalité et celle de la fiction dans l’image donnée du poète ? Puisant dans le récit oral elle comporte bien des éléments discutables et peut-être même forgés de toutes pièces. Il n’y a qu’à voir une partie des sources sur lesquelles s’appuient les biographes : Il a été rapporté par Hammâd le chroniqueur d’après Abou Nasr al-‘Arâbi d’après al-Madâ’ini d’après Abou al-Yaqdhân/ ou alors j’ai été informé par al-Fadl Ibn al-Hûbâb al-Jûmahi citant Mûhammad Ibn Sallâm/ ou encore j’ai été informé par Muhammad Ibn al-Hassan Ibn Dûrayde qui a dit : j’ai été entretenu par mon oncle citant Ibn al-Kalbi qui a dit : j’ai entendu Khirâch Ibn Isma’il et Khâlid Ibn Sa’id disant. Que je sache, aucun biographe ne s’est employé à regarder de près la qualité des chroniqueurs ainsi que les relais de transmission de récits dont on a toutes les raisons de douter. Quelle biographie crédible peut-on établir pour un garçon né misérable dans un milieu familial qui a si peu de raisons d’attirer l’attention et en tout cas d’intéresser les chroniqueurs de l’époque ?Pourtant peu nous importe le degré de vérité de la biographie. C’est en tant que produit social, en tant que réaction des milieux littéraires dominants à al-Hotay’a que cette biographie nous est précieuse. Le faux nous importe à vrai dire ici plus que la vérité. C’est le rapport de la société à un créateur, son attitude vis-à-vis de la pensée non conventionnelle qui nous importent. Et nous sommes bien servis ! Tout est prétexte pour baliser le champ culturel, et quelle arme plus indiquée et plus efficace que la religion pour noircir une biographie.Revenons au testament invoqué en ouvertureC’est une vengeance à titre posthume des gardiens de la mémoire, des bien-pensants. La structure même du testament l’atteste. Le poète au seuil de la mort récite, devant les témoins de son agonie, des vers en éloge aux maîtres. Au seuil de la mort, c’est-à-dire au moment où l’effroi fait plier genou aux plus récalcitrants devant Dieu et incite à la prière et à la dévotion, al-Hôtay’a n’a de pensée que le poème et la louange du mot. La tourmente du tombeau ne semble donc point avoir prise sur son âme. Et quand enfin il consent à laisser ses consignes pour la postérité, il profère, à titre de recommandation pour les catégories déshéritées, des insanités dont il est malséant de faire étalage. Et surtout il notifie ferme concernant le partage à égalité de l’héritage entre ses filles et ses garçons . « Ne sais-tu pas que Dieu Tout-puissant ordonne dans son livre sacré une demi-part pour les filles par rapport aux garçons ? « Oui, rétorque-il mais pour ma part j’ordonne qu’on donne à mes filles la même part que mes garçons ! » Nous sommes devant une mise à mort qui n’épargne pas le détail. Une mise à mort qui ferme les portes du paradis au poète. Une mise à mort montée en scène à l’intention des poètes à venir, un avertissement en forme de faire-part. Pour n’avoir pas su ou voulu entrer dams le rang, al-Hotay’a est livré aux flammes de la géhenne. Les piètres versificateurs dont il n’a pas sollicité l’amitié, ont consciencieusement veillé à lui consacrer un enterrement de proscrit. Il est vrai que malgré les compliments sur sa poésie, al-Hotay’a n’a pas la grâce des biographes. Selon Ibn Qûtayba, il n’aurait embrassé l’islam qu’après le décès du Prophète car écrit-il « je ne l’ai pas entendu mentionné parmi ceux qui sont venus lui rendre visite », quoiqu’il en soit, ajoute-il, son islam était superficiel raqîq . Un auteur contemporain introduisant le diwân du poète par Ibn Sikkîte fait preuve d’un prosélytisme inquiétant par rapport aux anciens, écoutons-le : « le lecteur est surpris de découvrir que l’homme n’a pas été profondément marqué par l’islam dont on perçoit très rarement les signes de présence dans son œuvre. Par contre on y perçoit clairement son antipathie eu égard aux gens de l’islam, le fait qu’il n’ait pas rejoint la foule des convertis et de ne s’être pas rendu auprès du Prophète, et cette affaire est de la plus grande gravité .» On ne peut que plaindre un tel dénuement d’esprit critique.Les autorités de l’époque ne font guère preuve d’un tel zèle. Tous les grands personnages mentionnés semblent avoir accueilli le poète à bras ouverts. Ibn al-‘Âs, Abou Mousa al-‘Ach’ari l’ont fait . ‘Abdallah Ibn ‘Abbâss, surnommé l’océan pour son immense érudition théologique, le reçut affectueusement en signe d’admiration et de respect pour sa poésie l’interpellant de son véritable nom Jarwal . Le grand politique Amrou Ibn al-‘Âs, le sage d’entre les sages ‘Abdarrahmân Ibn ‘Aouf auraient intercédé en sa faveur auprès de Omar Ibn al-Khattâb. 

En fait al´Hotay’a est victime de préjugés racistes d’une société inégalitaire, 

Plusieurs points sont à prendre en compte pour comprendre les attaques contre un tel poète. Mettons d’entrée de côté sa poésie et sa prétendue méchanceté féroce, son avarice proverbiale, sa satire inégalée et sa cupidité sans bornes. Sa satire selon des spécialistes n’a rien d’inconvenant et ne porte nulle atteinte aux mœurs .Et puis, classe-t-on les poètes selon leur avarice ? Qui d’entre eux n’a pas tendu la main aux rois, qui n’a pas loué les puissants et n’en a pas maudits ? L’argent, les honneurs, le pouvoir et la poésie allaient ensemble dans la société arabe de l’époque, c’est en soi un chapitre qui mérite de longs développements. Tel critique reconnaît al-Hotay’a comme le primus inter pares des Mokhadramine si l’on s’en tient à la seule poésie ! La levée de boucliers est d’abord une réaction raciste de classe des groupes dominants contre l’ascension d’un poète appartenant aux couches les plus déshéritées. Nous sommes en présence d’un racisme raffiné et sournoisement livré sous forme d’une prétendue morale littéraire. Et qui par surcroît recourt à une argumentation hypocrite de bigots. Al-Hotay’a est né misérable, nous l’avons déjà signalé. Fils d’une esclave et d’un père inconnu. Il n’a pas vu le jour sous les meilleurs auspices. Sa mère porte le nom de al-Darrâ’. Un nom qui résonne de malheur et de solitude, il traduit une grande souffrance comme il ressort de l’usage qu’en fait le Coran où il est fait mention notamment de «ceux qui endurent dans l’adversité et la détresse et lors de la guerre » [Coran, la Vache, 177], le Coran le cite sur le même plan que les grandes catastrophes telles que la guerre ou les tremblement de terre . L’homme auquel on endossa la paternité un certain al-Afqam, lui-même fils adultérin, était outrageusement laid, haut perché avec les râteliers de travers, des trous en lieu des yeux, ce qui ne présageait rien de bon pour le poète. On lui avait trouvé le père qu’il fallait. Ces origines, l’élite dominante ne les lui a jamais pardonnées. « Al-Hotay’a était d’ascendance suspecte, faisant partie des enfants adultérins qui ont accédé à un statut élevé » précise Abou Faraj. Son succès et son ascension ne furent pas acceptés de gaieté de coeur. C’est le clan des poètes de cour qui semble lui en vouloir le plus. Selon la chronique, sa rencontre avec Hassân Ibn Tâbite, le poète en titre du Prophète, fut froide et expéditive. Présent dans l’auditoire alors que Hassân lisait un poème, al-Hotay’a ne se montra guère emballé et en fit montre. Quand Hassân prit connaissance de son identité, il le pria de passer son chemin. Hassân tirait sa force de sa position politique et non plus de sa poésie. Ecoutons al-Asma’i cité par Ibn Qutayba : « la poésie est ingrate et le mal est son terrain de prédilection, qu’elle se mît au service du bien et elle faiblit. Voici Hassân Ibn Tâbite un des grands poètes de la jahiliya qui, à l’avènement de l’islam, voit sa poésie péricliter ». Un poète, un vrai, ne se laisse pas dicter ses thèmes par d’autres autorités que ses muses, faute de quoi il n’aurait plus rien à dire. Al Imâm Châfi’i, un des quatre grands imams de l’Islam, était un admirateur de l’écriture d’Abou Nouass ; il voyait en lui le maître incontesté de la langue auquel il eût aimé se référé sans relâche s’il ne traitait de choses et d’autres fort incommodes pour le croyant conventionnel. Ibn ‘Abbâs aimait la compagnie de Omar Ibn Abi Rabi’a le grand poète et célèbre Don Juan que les maris redoutaient et qui attendait de pied ferme les belles femmes lors de chaque pèlerinage La Mecque. Les poètes médiocres n’étaient pas aussi libéraux. Ils ne portaient pas al-Hotay’a dans leur cœur. Un poète exigeant, resté fidèle à la cause de la poésie, n’était pas fréquentable. Ils le craignaient pour leurs privilèges et leur statut. Un tel dit à Mo’awiyya quand il nomma ‘Amrou Ibn al-‘Âs, prends garde à celui-là, dès que tu lui demanderas conseil il te fera changer d’avis, utilisant le verbe hata’a qu’on retrouve ici au sens de déloger, de repousser , ce qui explique peut-être l’ignominieuse campagne contre le poète dictée par la crainte qu’il inspirait. Cette campagne a fini par porter ses fruits avec l’incarcération du poète.C’est Al-Zibriqân, un compagnon du prophète, qui fut à l’origine de la disgrâce de al-Hotay’a auprès de Omar Ibn al-Khattâb. Il avait porté plainte contre lui pour des vers lui portant préjudice. Al-Zibriqân avait accueilli al-Hotay’a chez lui, mais ce dernier le quitta pour s’installer chez des voisins en mauvais termes avec lui. Sans se laisser prendre par les détails où s’embrouillent les biographes, relevons un point qui nous semble capital et qui n’a pas attiré l’attention de la plupart des auteurs : Al-Zibriqân était un mièvre poète ainsi qu’il est mentionné dans al-A‘lâm . Et quand il porta plainte auprès Omar sans parvenir à le convaincre à la lecture des vers incriminés, il demanda l’expertise de Hassân Ibn Tâbite qui, criant au crime, appela au châtiment. Omar était grand amateur et connaisseur de poésie, mais qui pouvait contredire le poète attitré du Prophète ? Al-Hotay’a fut alors incarcéré dans un puits et livré à l’obscurité. On le rendait aux profondeurs d’où il était venu, on lui signifiait sa bassesse ratifiée par un juge que tous considéraient comme le Juste. Il nous faut à nouveau solliciter les mots plus éloquents et plus généreux que les chroniques. Al-Zibriqân devait son nom à sa grande beauté, comme par hasard évidemment aux antipodes de l’extrême laideur d’al-Hotay’a. Mais le nom pouvait aussi avoir pour motif le fait qu’il teintait son turban de safran, à l’instar de tous les chefs arabes, le turban tenait lieu de couronne dans les tribus d’Arabie, il était une première consécration qui pouvait ouvrir des voies royales. Al-Zibriqân est enfin un des noms de la lune. Pour indiquer sa demeure à notre poète lors de leur première rencontre, il lui avait dit : « monte ces chameaux, prends la direction du levant et demande d’après la lune jusqu’à ce que tu parviennes chez moi ». Qui ne connaît les étoiles ? Al-qamar, provient de qûmra, c’est-à-dire un blanc légèrement terne . Les couleurs et leurs tonalités, blancheur et pureté, doivent évidemment être lus ici en relation avec la généalogie. Impeccable et pure du côté de Zabriqân, noires et suspectes pour al-Hôtay’a. L’opposition clair-obscur, blanc-noir, libre-esclave, est on ne peut plus nette. Le mauvais poète se pavane et prend toute sa revanche en déplaçant la compétition de la littérature à la généalogie. Attaques fort préjudiciables pour al-Hotay’a. Le poète était désarçonné par l’air du temps. Il avait fait ses armes dans une société tribale, celle-là même qu’on appelle al-jahiliya ou société de l’ignorance. Son milieu originel était autre. La logique segmentaire faisait son affaire, il se mouvait dans les interstices du milieu tribal tel un poisson dans l’eau. En sans famille doté d’une vocation exceptionnelle il avait voix parmi les notables et jouait sur leurs compétitions intertribales. Paradoxalement des individus trouvaient place dans cette architecture sociale où habituellement l’appartenance au groupe était une condition sine qua non de survie. Il était à sa manière un étranger qui ne dérangeait personne et auquel son verbe ouvrait toutes les portes. Mêmes les divinités nombreuses laissaient libre cours à sa muse…. L’avènement de l’islam avait apporté des bouleversements importants. Un Etat était en cours de fondation. Un pouvoir central au lieu d’une multitude prenait les choses en mains. Une structure sociale plus hiérarchisée ne laissant que peu de place à la libre créativité se mettait en place. Le pouvoir basé sur l’extraordinaire capital symbolique de quelques hommes n’avait d’autre logique dont se prévaloir à ses débuts que la religion. Milieu à vrai dire peu propice à une poésie totalement libre dans ses choix thématiques.La nostalgie du passé récent devait être très forte dans le cœur du poète. Pour comprendre cela défaisons-nous un instant de notre représentation caricaturale et par surcroît injuste et erronée de la jahiliya, période d’avant l’islam. Une image me suffit celle qu’évoque un mot galvaudé parmi nous de nos jours et appauvri, siba. Le sayb est une des images fortes de cette société. Imaginez l’eau qui coule et circule à sa guise épousant les contours des terrains conquis. C’est cette liberté de se mouvoir dans l’insouciance, sans contrainte ni devoir que le mot embrasse. Les mots liberté et poésie viennent tout de suite à l’esprit. Le sayb c’est aussi le don, qu’on se rappelle cet impérissable bédouin Hâtim al-Tâ’i qui a tout donné même son cheval. Et puis ces sâiba, ces chamelles libres de toute contrainte et servitude, qu’on ne monte plus, qu’on ne trait plus et qui se baladent à leur guise fut-ce sur les espaces sacrées des dieux. Qu’on imagine dans un milieu où la dureté des éléments est à l’extrême ce que peut signifier comme renoncement et pure noblesse, de consentir en sacrifice pur ces biens précieux. Voilà de quoi nourrir la nostalgie du poète et lui serrer la gorge. Comment ne pas comprendre qu’un poète marginal comme al-Hotay’a se retrouve diminué dans la nouvelle société. Ses détracteurs y voyaient l’occasion favorable pour lui porter l’estocade. Et son rapport au religieux était le talon d’Achille indiqué, en plus des bas-fonds dont il était originaire. Je me plais à croire que son-dit testament est une pure invention de ses ennemis. Je me plais à croire aussi que sa laideur proverbiale est d’abord celle de l’autre, celle du regard inquisiteur du censeur. Quelle aubaine que de régler son compte à un homme de cette envergure en se faisant l’indic des gardiens de l’enfer.Et d’une pierre deux coups. La revendication d’égalité chez les femmes existe depuis la naissance de l’islam, quoi de plus naturel pour une femme intelligente. Parmi les filles du prophète on ne manquait pas de s’interroger à ce sujet comme le rapporte Ibn Kathir. Mettre dans la bouche d’un poète qu’on a pris soin d’excommunier et de maudire, une telle revendication revient à maudire toutes les femmes et tous les hommes qui ont idée d’y songer. Voilà ce que c’est que de blasphémer, voilà ce que c’est que de ne pas se plier aux prescriptions des textes sacrés. On risque la perdition, le dégoût de soi-même au point que notre face nous fait horreur parce qu’on nous sommes bannis de la communauté à l’image d’al-Hotay’a qui maudit dans un verre tristement célèbre son propre visage aperçu dans l’eau. A mon sens il marque son dégoût d’une telle société castratrice pour le créateur. PS : pour les références bibliographiques voir mon "l'amitié du prince")

10/07/2011

Développement interne

  Cette semaine encore, la désolation, le meurtre et la folie se sont rapprochés de nous européens. Des drames que d'autres régions du monde connaissent presque quotidiennement se sont produits au cœur de l'Europe Politique.  Ce n'est pas parce que c'est la Belgique au lieu de la Côte d'Ivoire ou la Turquie que c'est différent, chaque meurtre est inutile.

  Mais devons nous céder à la peur, et nous laisser entraîner par les idées noires ?

  Je vous retranscris ici des passages de Destination Succès qui justement sont importants pour réagir à l'actualité et mieux contrôler notre vision de notre environnement.

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  Le monde est un miroir qui nous renvoie le sourire ou la grimace que nous lui faisons

  Nous allons réfléchir à la façon dont nous voyons trop souvent la vie, les personnes, les événements : nous les voyons souvent de travers, négativement. 

  Nous oublions que le monde est un miroir qui nous renvoie le sourire ou la grimace que nous lui faisons.
Imaginez que vous êtes dans une voiture, au volant. A droite le fossé, à gauche le rail de sécurité. Même quand la route tourne, vous devez rester sur la route.  Il est essentiel de savoir se diriger, de S'ORIENTER.

  C'est là une chose très importante et pourtant tellement négligée que notre siècle est le siècle des maladies de la pensée. Je ne dis pas seulement des maladies mentales, qui conduisent à la folie. Mais songeons aux ulcères d'estomac, aux dépressions nerveuses, aux maladies qui viennent « des nerfs... »

  C'est étonnant de penser que l'homme dirige le monde, mais qu'il ne sait pas diriger sa pensée.

  Nous avons presque tous reçu une éducation négative, qui nous suit comme une ombre. Nous avons vécu dans l'appréhension de la sexualité; l'amour était négatif; la religion enseignée était négative; le climat de notre pays était négatif. Qu'on ne s'étonne pas après cela d'être négatif sans le savoir. Et c'est bien là le drame : on est négatif, et on ne le savait pas .t Notre esprit négatif imprégnait notre vie, notre ménage, l'éducation de nos enfants, notre vie sociale, notre santé, toute notre existence. 

  On était empoisonné, et on ne le savait même pas ! C'est notre éducation qui est la cause de notre esprit négatif. A nous maintenant, dans l'éducation que nous nous donnons, une fois devenus adultes, de diriger notre pensée positivement.

Maîtrisez la répercussion des événements sur vous.

  Bien sûr, on ne peut pas maîtriser les événements. Mais ce qu'on doit, ce qu'on PEUT maîtriser, c'est la répercussion des événements sur soi. On peut perdre sa femme, sa situation, ses enfants, son argent, mais on n'est pas obligé d'en faire une dépression nerveuse. Et ce qu'il y a d'encourageant, c'est que l'orientation mentale positive s'apprend. Elle s'apprend par la pratique, comme l'anglais s'apprend par la pratique.

(…)

Mettez-vous en harmonie avec vous et avec l'univers tout entier

  Vous vous levez un matin, vous ouvrez votre fenêtre : il pleut ! C'est là un fait contre lequel vous ne pouvez rien. Comment allez-vous réagir ? Si vous commencez par récriminer, par pester contre le sale temps : "Encore la pluie !...", vous vous rendez maussade et vous vous préparez une mauvaise journée. Et cela, bien inutilement, car ce que vous direz ou ne direz pas n'aura aucune espèce d'importance ou d'influence sur le temps qu'il fait.

  Si, au contraire, vous vous mettez en harmonie avec le milieu – un temps pluvieux – tout changera : tout vous paraîtra aussitôt, sinon agréable, du moins acceptable. Vous sortirez votre imperméable et vous irez à votre travail aussi naturellement que s'il faisait beau.

  Par temps de pluie, justement, observez les passants dans la rue. L'un ira le dos voûté, le visage crispé et – vous le devinez – rageant intérieure-ment. Un autre marchera placidement, souriant sous l'averse qui lui fouette le visage. Ils ne seront pas plus mouillés l'un que l'autre. Mais le premier sera malheureux, non pas à cause de la pluie, mais à cause de la manière dont il l'a accueillie. Le second sera, sinon heureux, moins malheureux, ce qui est déjà, comparativement, une façon d'être heureux.

  Cela vaut aussi bien pour la chaleur en été, le froid en hiver, un voyage obligatoire sans agrément, une corvée quelconque, une panne de courant, les aléas de notre vie professionnelle, tout ce qui nous tombe dessus sans crier gare, etc.

  La remarque vaut pour toutes les situations de votre vie. Et ce que vous pouvez faire de mieux pour ceux qui vous aiment, c'est encore d'être heureux et de montrer que vous l'êtes.

  Vous puisez en vous ce qui vous conduira au bonheur. Plus vous prenez votre vie en main, plus vous arrivez à vivre en harmonie avec vous-même et avec les autres, à vous développer harmonieusement. Vous donnez ainsi moins d'importance aux fausses sécurités sur lesquelles votre vie reposait auparavant : biens matériels, prestige de l'argent ou de la profession, etc.

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  L'actualité, c'est du passé, vous n'y pouvez plus rien. Par contre, aider les gens autour de vous, leur offrir de l'éducation, de l'amour et de bonnes idées, c'est l'avenir. Vous plantez ainsi les graines dans l'esprit qui un jour feront de magnifiques champs d'idées.


 Vous savez, ces personnes qui nous jugent, nous regardent de haut, nous rabaissent, nous mentent, nous manipulent, nous trahissent, nous séduisent pour mieux nous contrôler ensuite, celles qui jouent avec nos sentiments ou qui abusent de notre bonté. Celles qui nous font un compliment mais toujours accompagné d’un reproche habilement déguisé. Celles qui nous parlent en mal des personnes que nous avons en commun. Celles qui se plaignent constamment, qui sont négatives et qui se complaisent dans leur rôle de victime. Ces personnes qui sollicitent notre aide mais qui, lorsque nous la leur offrons, n’ont que des « oui mais » pour la refuser subtilement. Et il ne sert à rien d’essayer d’amener ces personnes toxiques à comprendre, ou à tenter de les changer, nous allons nous épuiser!


Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! » Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.
Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE donnent des palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements, mains moites.
LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
LA COLÈRE retenue,
LA RANCUNE : une crise de foie.
LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires à répétition.
QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSE DIRE, QU’ON A RAVALE, une angine, des maux de gorge.
UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.

"L’existence ne va nulle part.
Elle est simplement ici, entrain de jouer avec des milliers de formes, des milliers de situations, en créant de plus en plus de conscience, de plus en plus de bonheur, de plus en plus d'amour.
Si ce ne n’est pas ce qui vous arrive, cela signifie simplement que vous êtes fermé."
- Osho

"Avec une patience dont je ne me serais crue capable, j’attends. J’emploie chaque jour, chaque seconde qui s’écoule à m’approcher de Toi. Tout instant fini me comble de joie par le fait qu’il ne se pose plus entre Toi et moi. Tout instant à venir m’est doux car il se trouve dans mon chemin vers Toi."
Maria Casarès à Albert Camus

La vie c'est comme un voyage en train... 
Certains commencent le voyage avec toi, d'autres montent à la moitié du chemin, beaucoup descendent avant que n'arrive la fin, peu restent près de toi jusqu'à la destination finale... Mais chacune de ces personnes laisse quelque chose dans ton cœur dont tu te souviendras au cours de ce grand voyage de la vie. Alors, baisse les fenêtres et profite du voyage, tu ne sais pas quand arrivera ton arrêt ! 
Merci à toi d'être monté dans le train de ma vie ! …

"Je ne suis pas tombé amoureux de Toi. J'ai marché dans l'Amour avec Toi, avec mes yeux grands ouverts, choisissant de faire chaque pas en chemin. Je crois vraiment au destin et à la destinée, mais je crois aussi que nous sommes seulement destinés aux choses que nous choisirions de toute façon. Et je Te choisirais; dans cent vies, dans cent mondes, dans n'importe quelle version de la réalité, je Te trouverais et je Te choisirais."
Kiersten Blanc
- Le Chaos d'Étoiles

« Si les pensées d’attaque sont la cause du monde que tu vois, tu dois apprendre que ce sont ces pensées que tu ne veux pas. Rien ne sert de se lamenter sur le monde. Il est inutile d’essayer de changer le monde. Il est incapable de changer parce qu’il est simplement un effet. Mais il est certes utile de changer tes pensées au sujet du monde. Là tu changes la cause. L’effet changera automatiquement. »
« Un cours en miracles »

"Nous commençons à vieillir quand nous remplaçons nos rêves par des regrets."
--Sénèque

"La vie trace deux parallèles entre Toi et moi
Mais la distance qui nous sépare
Attend mille rayon de silence
Pour dessiner le labyrinthe
Où chaque mot te dit
Viens
Nous allons cheminer ensemble."
Tanella Boni

Pour avoir une bouche attirante, parle gentiment.
Pour avoir une jolie paire d'yeux, cherche la bonté chez les autres.
Pour avoir une silhouette élancée, partage ta nourriture avec ceux qui ont faim.
Pour avoir de beaux cheveux, laisse un enfant glisser la main dans ta chevelure tous les jours.
Pour avoir de la prestance, marche en sachant que tu ne marches jamais seul. Les personnes, bien plus que les objets, doivent être restaurées, renouvelées, ravivées, réclamées, et rachetées.
Souviens-toi, si jamais tu as besoin d'une main secourable, tu en trouveras deux au bout de chacun de tes bras. En vieillissant, tu découvriras que tu as deux mains, l'une pour t'aider, toi, et la seconde pour aider les autres.
Audrey Hepburn

"Le bonheur se donne à celui qui a vaincu sa peur de vivre et qui considère sa vie comme une étincelle sacrée, dans la continuité des âges."
--Précepte de vie tibétaine

"Dans le monde d'aujourd'hui, les gens vivent deux types de pauvreté: la pauvreté causée par le manque de nourriture, de vêtements et d'abri, et la pauvreté causée par le manque d'amour et de compassion. De ces deux-là, le second type doit être considéré en premier parce que si nous avons de l'amour et de la compassion dans nos coeurs, alors nous servirons de tout coeur ceux qui souffrent du manque de nourriture, de vêtements et d'abri." Amma (Mata Amritanandamayi)

Ce qui retient votre attention et forme votre psychologie !!!
Depuis notre naissance, nous sommes conduits à retenir d’innombrables expériences de vie. Ce qui nous amène à considérer une information, une personne ou une situation plutôt qu’une autre, représente ce qui retient notre attention et forme notre psychologie.
Un trouble survient lorsque deux ou plusieurs expériences se confrontent autour d'une psychologie et qu'il faille les traiter pour "harmoniser son esprit".
Ce problème peut affecter votre fonctionnement affectif, intellectuel ou comportemental jusqu'à le détériorer. Tout dépend de la nature et profondeur du problème:
En résumé, on distingue ainsi les problèmes d'ordre...
- Personnel ….auxquels se rattachent l'image de soi, l’estime de soi, la confiance en soi, la personnalité, les valeurs, la motivation, le stress …
- Relationnel …auxquels se rattachent la sociabilité, l’amitié, la communication avec autrui, l’affinité intellectuelle, l’affinité émotionnelle, l’affinité comportementale, le rôle des parents, l’autorité parentale, l’adolescence, l’éducation, la mort….….
- Scolaire ou professionnel (du travail)… auxquels se rattachent la motivation, l’orientation, la recherche d’emploi, la mobilité, le développement de ses compétences …
Photo de Mickey Cormac.
Les grands courants théoriques :
1-La psychanalyse
Cette théorie fut élaborée par Sigmund Freud au début de ce siècle (entre 1887 et 1939), affirme l’existence d’un inconscient psychologique pouvant déterminer tout ou partie de notre personnalité et de notre comportement. Elle se définit comme une méthode de traitement consistant à interpréter le matériel inconscient amené grâce à la libre association, aux rêves et aux désirs des patients, pour résoudre les conflits psychologiques inconscient. Cette théorie psychologique considère que les conflits inconscients sont à la base des troubles psychiques.
Elle a permis l’élaboration d’une thérapie des névroses1, des troubles de l’équilibre psychique et de l’affectivité.
2- La psychologie du comportement, béhaviorisme (Watson, Skinner, Pavlov) :
Etudie les manifestations extérieures du comportement humain avec un souci d’objectivité, comme elle étudie l’ensemble des réactions objectivement observables d’un individu à une stimulation extérieur ou intérieur. Méthode d’analyse de soi et de ses réactions psychiques à des stimuli extérieurs.
Le béhaviorisme : le terme vient de l’anglais « behavior » qui signifie « comportement », on parle donc aussi de comportementalisme. C’est une théorie fondée sur l’étude scientifique et expérimentale du comportement, selon laquelle tout acte est une réponse à un ensemble de stimuli, excluant les donnés de l’introspection (étude de la conscience par elle-même, du sujet par lui-même).
C’est une approche de la psychologie à travers l’étude des interactions de l’individu avec le milieu qui se concentre sur l’étude du comportement observable et du rôle de l’environnement en tant que déterminant du comportement.
Exemple : l’apprentissage est expliqué comme une modification du comportement observable ou non, modification résultant de la conséquence d’une réponse à des stimuli, extérieurs (environnement externe) ou à stimuli intérieurs (environnement interne) du l’organisme.
3-La psychologie cognitive ( Jean PIAGET) :
La psychologie cognitive étudie l’ensemble des fonctions cognitives : la perception, la mémoire, le langage et les activités intellectuelles. Contre le béhaviorisme, qui avait éliminé les phénomènes mentaux du champ d’étude de la psychologie pour ne considérer que les seuls comportements, la psychologie cognitive rétablit l’esprit au centre de ses préoccupations.

la névrose est une affection nerveuse sans base anatomique connue par des troubles psychique divers (angoisse,obsession, phobie..)mais pas par une altération profonde de la personnalité ,contrairement a la psychose.
la psychose quant a elle est une maladie mentale affectant gravement la personnalité et détériorant radicalement la relation du sujet au monde extérieure elle se distingue de la névrose en ceci que le sujet ne sait ou n'admet pas qu'il est pas malade


psychoaction désigne l'action psychologique permettant de mieux se sentir émotionnellement, de mieux se percevoir intellectuellement et de mieux agir sur soi-même et sur son entourage. Elle est destinée aux personnes éprouvant un probléme de réalité de vie qui impacte sur son état psychologique.
La psychoaction est une psychothérapie moderne dans la mesure où elle n'agit pas sur une personne "souffrant d'une psychopathologie" mais plutôt sur une personne considérée comme "psychologiquement saine" qui souhaite se sentir mieux dans sa vie.
La psychoaction est tournée vers une psychologie pragmatique, enpruntant ses concepts de la psychologie freudienne (Psychanalyse), la psychologie rogerienne (Counselling) et la psychologie cognitivo-comportementale (Bandura et d'audre chercheurs). Le sujet n'est pas "un patient", c'est "un consultant" . L'idée étant qu'il puisse consulter un psychologue sans pour autant être atteint d'une psychopathologie.
Suivant la psychologie du consultant, la nature et profondeur du probléme identifié, une psychoaction sera adaptée.

L'attraction physique est commune, mais une connexion d’âme est rare.

Si tu ne trouves pas chaussure à ton pied, ne perd pas ton temps : marches pieds nus!

La véritable amitié ce n'est pas d'être inséparable, c'est d'être séparé et que rien ne change.....

Je ne déteste personne mais je ne donne pas de l'importance à n'importe qui !
Feu SM Hassan II

Si tu veux être digne de confiance, sois honnête. Si tu veux être honnête, sois vrai. Si tu veux être vrai, sois toi-même.

si une personne est capable de s’éloigner de toi, laisse là! ne pousse jamais quelqu'un à t'aimer , à t'appeler, à te câliner, à te rassurer ,à te rendre visite ou à s'attacher à toi .si cette personne ne trouve aucune douleur en s'éloignant de toi, laisse la! ca veut dire qu elle ne tient pas a toi........

Ne juges jamais une personne par rapport a son passé, car Dieu peut faire de son passé ton futur.

L'avenir nous tourmente, Le passé nous retient.. c'est pour ca que le présent nous échappe.



CETTE HISTOIRE EST L'UNE DES PLUS BELLES LEÇONS DE VIE...
Un médecin est entré a l'hôpital dans la hâte après avoir été appelé pour une chirurgie urgente. Il a répondu à l'appel, a changé dès que possible ses vêtements et est allé directement au bloc de chirurgie. La, Il trouve le père du garçon qui fait des vas et vient dans le hall. En voyant le médecin arriver, le papa hurla : « Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne savez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n'avez pas le sens de responsabilité » ? Le médecin sourit et dit : « Je suis désolé, je n'étais pas dans l'hôpital et je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l'appel...... Et maintenant, je souhaite que vous vous calmez pour que je puisse faire mon travail » « Me calmer ? et si c'était votre fils vous calmeriez vous ? Si votre propre fils meurt maintenant que ferez vous » ? dit le père avec colère Le médecin souri encore et répondit : « Je dirai.. De la poussière nous sommes venus et épousseter nous retournerons, béni soit le nom de Dieu. Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies. Allez et intercédez pour votre fils, nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu » « Donner conseil quand nous ne sommes pas concernés c'est si facile » Murmura le père. La chirurgie a pris quelques heures après lesquelles le médecin sorti heureux, « Merci Dieu ! Votre fils est épargné, Si vous avez n'importe quelle question, demandez a l'infirmière ! » « Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour que je me renseigne sur l'état de mon fils » A Commenté le père en voyant l'infirmière après que le médecin soit partit. L'infirmière répondit, les larmes.. descendant son visage : « Son fils est mort hier dans un accident de route, il était a l'enterrement quand nous l'avons appelé pour la chirurgie de votre fils. Et maintenant qu'il a épargné la vie de votre fils, il est parti courir pour finir l'enterrement de son fils » . Ne JAMAIS JUGER PERSONNE parce que vous ne savez pas ce qu'elle traverse en ce moment.

J'aime les gens qui savent écouter,qui sont capable d'aimer.
J'aime les gens qui parfois rient de manière étrange,
car derrière leur rire il y a des larmes ..et qui pour se protéger se cachent derrière un masque...
Et puis j'aime les gens qui sont forts , ceux qui vont toujours de l'avant, mais qui savent aimer ceux qui avancent en boitant , et qui peuvent comprendre les raisons d'une déchirure...

une relation sans confiance est comme une voiture sans essence .Vous pouvez y rester , mais elle ne vous emmènera nulle part ..

Dans ma chambre, j'ai trouvé la réponse à la question: quelle est la clé de la réussite ??..et le plafond me dit: l'ambition est haute.. la fenêtre me dit: regarde le monde.. l'horloge me dit: le temps est en or.. le miroir me dit: ne juge jamais sur les apparences.. la porte me dit: pousse fort pour atteindre ton but.. et enfin le sol me dit: reste modeste si tu veux réussir.
certaines personne devrait en prendre de la graine !!!!

Quel bonheur d’aider quelqu’un et de ne le dire à personne !
Souvent, les gens qui rendent service aux autres, ont au départ une attention gentille. Malheureusement, ils ne ratent pas une occasion pour le dire à leur entourage, à leurs amis et à leurs collègues. Inconsciemment, ils veulent donner aux autres une image idéale d’eux même, c'est-à-dire d’une personne serviable, charitable et généreuse. Cette personne a besoin de vivre sous le regard des autres. L’étalage de ses bonnes actions pour lesquelles elle espère une reconnaissance, flatte son orgueil et son ego. Elle aime bien entendre « c’est une personne merveilleuse qui fait beaucoup de bien ». Il ne s’agit plus d’une bonne action, on est beaucoup plus dans une action publicitaire.
Lorsque les actes de générosités sont accomplis de façon désintéressée et de manière discrète, ils nous donnent du bonheur. La personne ressent une sensation de bien être unique. On se sent toujours bien, lorsqu’on donne tout en le gardant secret. Nous recevons en récompense un sentiment chaleureux qui accompagne la joie d’avoir donné.
La discrétion protège la dignité de la personne qui a été aidée et nous devenons aussi beaucoup plus humains après chaque acte de générosité. Lorsqu’on donne sans attendre et sans espérer de recevoir quelque chose en retour, on réalise un véritable geste d’amour et de générosité. Lorsqu’on attend de la personne de reconnaitre qu’elle a une dette envers nous ou une reconnaissance sociale, notre geste devient alors un investissement et un acte publicitaire.

Commence déjà à être l'ami de toi-même. Tu ne seras jamais seul.

Si tu veux être heureux dans la vie...accroche toi à ton but... pas aux gens !

Il n'y a pas d'échec, il n'y a que du feedback.


La prise de conscience de nos limites et de nos difficultés tant personnelles que relationnelles est un premier pas pour entamer un travail sur soi.


Ce n'est pas en étant rapide et fort que nous allons gagner les batailles de la vie mais c'est plutôt en s'accrochant jusqu'au bout que nous pouvons réaliser des victoires.

Vous ne pouvez résoudre un problème avec le même type de pensée qui a créé le problème.”
Albert Einstein

Le dialogue paraît en lui même constituer une renonciation à l'agressivité. Jacques Lacan

Il est malheureux de voir les conséquences de nos actes comme une injustice de la vie.

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs.


La route qui mène à la réussite est pleine d'obstacles, on ne réussit pas toujours dès la première tentation. Essayer et réessayer, on ne sait jamais ce que la vie nous réserve.
En cas d'échec : Changer le livre et commencer une nouvelle histoire

“If you are depressed you are living in the past. 
If you are anxious you are living in the future. 
If you are at peace you are living in the present.” 


Lao Tzu

Vivons l’instant présent !
La vie s’écoule ici dans le maintenant. Elle est dans l’instant présent. Mais, la plupart des gens passe leur temps en pensant à leur passé ou en se projetant dans le futur. Ils sont soit dans l' hier, soit dans le demain. Malheureusement, on ne peut rien faire dans ces deux journées car elles sont virtuelles et n’existent pas.
On ne peut pas changer notre passé. Nos remords et nos regrets n’y peuvent rien, au contraire ils nous feront souffrir. Notre passé est le livre de notre propre histoire. La seule chose qu’on puisse faire, c’est de profiter des leçons qu’il nous donne et que nous avons pris l’habitude de les appeler « expériences ». Le rôle de notre passé est de nous donner des repères et de nous éviter aussi de répéter nos erreurs.
De même, demain n’est pas encore né et le fait de s’y projeter ne fera qu’augmenter nos craintes. Anticiper le futur alimente souvent nos peurs. Évitons de vivre dans le passé ou dans le futur et choisissons de vivre dans l’instant présent.
La vie est ce qui s’écoule pendant que nous pensons à un événement passé ou à un projet à venir.

« Ne regarde ni en avant ni en arrière, regarde en toi-même, sans peur ni regret. Nul ne descend en soi tant qu’il demeure esclave du passé ou de l’avenir. »

« La plus grande découverte de tous les temps, c’est qu’une personne peut changer son avenir en changeant simplement son attitude. »

Celui qui se sent grand en rabaissant autrui n'a pas confiance en lui-même.... 


Lorsque notre cœur est vraiment attaché à quelque chose on ménage le temps;l'énergie;et on supporte toutes les douleurs du monde pour y arriver  Mais lorsque ce n'est pas le cas;on cherche toutes les prétextes du monde pour l'éviter 


Nous nous lançons dans des aventures et des défits dans la vie,mais nous oublions un défi vital,de chaque seconde intitulé "La sérénité" 
Ca vaut vraiment la peine de se poser la question;"Qu'est ce que je fais chaque jour pour rester zen,"  


Le développement personnel est une mentalité basé sur la paix et le respect de soi et d'autrui;et pas seulement des citations et des cycles de coaching 


Il y a des gens qui cernent la confiance en soi dans le courage de dire ce qu'ils ont sur le cœur à autrui.C'est bien;mais c'est insuffisant  Tout sentiment de forçe qui ne mène pas à la sérénité est qqc d'autre que la confiance en soi.
A mon avis;lorsqu'on fait le comportement dont j'ai parlé;on est comme un paon qui.exhibe lol 


Lorsqu'on emprunte un chemin vers le succès,on rencontre des détracteurs;des alliés;des gens à tracter;des amis,des faux-amis aussi....Mais ce qui donne le courage de continuer est le degré d'attachement au rêve 
Ne nous inquiétons pas à propos des gens que nous allons rencontrer pendant ce processus,car il est capable de les filtrer;et vers la fin;y a que les vrais amis qui resteront 
Un message d'amour à mes détracteurs,car je ne sais pas s'ils sont conscients de ce qu'ils font ou pas  

Ayons ce souci d'utiliser les bons mots à la bonne place;si ce n'est pas pour nous mêmes,qu'il en soit par respect à autrui qui n'est que le reflet de nous-même.
Avoir confiance en soi;c bien,voire excellent;mais ça ne doit pas nous mener a ne plus respecter autrui
Cultivons un peu de clémence en nous-mêmes;ça ne nous fera que du bien 

Quoiqu'on soit né dans la même maison et  qu'on ait des mêmes parents;nous avons moi et mes frères des corpulences différentes,des manières de penser ,de parler différentes. Acceptons la différence sans juger ceux qui sont différents de nous. Chacun a un chemin,des valeurs, des pensées auxquelles il croit et qui créent peut-être ma sérénité. Acceptons tout ça en lui souhaitant du succès .


Le monde des personnes névrosées est constitué de peurs, de menaces, de frustrations, de désespoirs..etc alors que celui des personnes sereines est constitué d'amour, d'espoir et de rêves....

Tenons à avoir à l'intérieur de nous-mêmes un leader qui va nous guider dans notre vie vers le succès et la sérénité par ses suggestions et ses encouragements....

 Le leadership est caché à l’intérieur de chaque personne le plus souvent de façon discrète. Il suffit de rassembler les ingrédients nécessaire pour que le leader en vous apparaît

.

Le masculin entre "macho" et "gentleman"

En ce temps actuel les femmes classent la gent masculine à deux grandes catégories: 
A/Les gentleman :Ce sont les masculins qui se montrent galants,gentils et compréhensifs vis a vis des femmes. 

B/Les machos:Cette étiquette est collée à tout masculin qui se comporte d'une façon allant de la fermeté jusqu'à la violence vis à vis des femmes. 

-Dans quelle société vivons-nous? 
Nous vivons dans une société arabo-musulmane dans laquelle co-habitent deux grands courants culturels
1/La culture arabo-musulmane orientale qui est l'une des cultures dominantes au Maroc depuis dix siècles et qui selon moi a cessé de se développer depuis l'ère de la renaissance. 
2/La culture occidentale: c'est une culture qui a commencé en France dans l'ère des lumières et qui a profité du déni de l'Islam en Andalousie,ainsi que les problèmes que l'église vivait. 
Ces deux vagues qui n'ont pas cessé d'interagir au Maroc depuis presque 50 ans (plus ou moins) en outre l'avis que quelques femmes de nos jours portent sur les vies conjugales de leurs mères et grandes-mères dont la majorité écrasante étaient des femmes au foyer (en les considérant des bonnes par défaut et donc leurs maris des machos qui oppriment les femmes).Ces femmes se sont jetées dans les vagues de la culture occidentale qu'elles considèrent "moderne" que seules les plus averties ont fuit et ont évité de tomber dans un piège (dont je vais parler).Cette culture qui selon elles es a revalorisé face a un homme étiqueté "macho" par défaut,n'a fait que contribuer a l’approfondissement de la crise qu'un certain nombre de couples vivent;car cette catégorie de femme a malheureusement considéré le masculin comme un rival chose qui a déclenché de la violence entre les deux sexes qu'on voit au travail,dans les MASS-MÉDIAS....... 
De leur côté,et étant donné qu'ils ne sont pas des anges quelques masculins ont tombé dans le piège et se sont inscrits dans ce bras de fer. 
Mes messages aux deux sexes seront: 
1/établissons la paix avec nous-mêmes et ça se rétablira automatiquement avec autrui .
2/Prouver qu'ont est fort psychiquement ne vient jamais en se mesurant a quelqu'un 
3/Instruisons-nous une vraie instruction.C'est toujours une bonne chose de chercher des diplômes mais il faut aussi lire pour s’instruire pour rebâtir nos idéologies sur des bases solides et pas pour frimer car "Les diplômes ne font pas les hommes" comme l'indique un adage 
4/Que chacun et chacune d'entre ns accepte les caractéristiques de l'autre sexes imbriqués dans sa perso 
5/Que chacun de nous opte pour la communication calme pour comprendre l'autre car pas mal de fois on devient violent quand on craint de perdre notre bien-aimé,ou lorsqu'il se "sclérose" dans un avis ou une position qu'il voit juste 
6/Que chacun et chacune d'entre nous découvre les caractéristiques de notre société 
7/Installons la paix entre les deux sexes en évitant les moqueries et les messages de haine 
8/Drainer nos consciences de tout préjugé 
9/Mes sœurs,Dieu vous a doté d'une force géante et caractéristique nommée:"La douceur".Apprenez a l'utiliser 
Bien à vous :) 



C'est plus facile de mentir que de dire la vérité, plus facile de trahir que de rester fidèle, c'est plus facile de fuir que de faire face, plus facile d'oublier que de s'engager. Certains ont choisi la facilité et d'autre ont compris que le bonheur se gagne dans la difficulté  _____________ 


Je vis ces derniers temps un état de baisse d'énergie,mais je ne me culpabilise pas,car après tt je ss un être humain;pas un robot,et je ferais de mon mieux pour m'en sortir  .Ce que je tiens a vs dire chers amis est que ns devons ns donner le droit a la baisse d'énergie,a la fatigue,mais ns devons qu'en même passer à l'action;et faire des activités qui ns aideront a mieux canaliser le stress et a ns distraire au lieu de se fouetter.Lorsqu'on acceptera qu'on est "un être humain";on acceptera bcp de choses;et en améliorant notre relation avec ns mêmes qu'on pourra aller loin.Ignorons nos croyances négatives;regardons la vie en couleurs;lâchons-prise,et optons a de nouveaux départs ds la vie  .Il n'est jamais trop tard 
 — 

Je m'écoute ,je me motive,je nettoie et range les tiroirs de mon cerveau tout en buvant du bon café.




Lorsque nos corps sont malades nous souffrons tous seuls,mais lorsque nos esprits sont malades nous brûlons les gens qui nous entourent et qui nous aiment sans le vouloir.Optons-nous aux thérapies adéquates aux moins pour les yeux qui nous sont chers pour ne pas les perdre un jour car malheureusement pas tout le monde est qualifié pour déceler une névrose .



Je suis responsable de ce que je dis,mais pas de ce que vous comprenez 




Pourquoi suis-je si petite face à l'immensité ?
Que faire noyée dans tant d'ignorance
Toucher le savoir juste du bout des doigts
Ne me satisfait pas
Ouvrir la porte toujours plus grande
Et vouloir apprendre apprendre.... 

Pourquoi ai-je si peur devant tant d'inconnues ?
Tant d'incertitudes, de questions sans réponse
Percevoir que ma réalité n'est qu'une illusion
Et vouloir comprendre comprendre....

Pourquoi ne sais-je rien... ?
Ne jamais dormir, ou vite ou peu
Pour voir au-delà de mes yeux
Pour penser hors de mes sens
Et toujours chercher chercher 
Et....chercher encore

Savoir 
Partager
Aimer
Penser
Donner
Comprendre
S'étonner
Douter
Vivre
Mourir 


    Voici la première partie d'une série nommée "Les 157 Secrets
  de L'Attitude Mentale Positive".

    J'espère qu'elle vous rendra service.

    L'AMITIE N'EST PAS GRATUITE, ELLE SE MERITE !

  Pour améliorer vos relations
  1. Encouragez les autres à parler d'eux-mêmes.
  2. Parlez des sujets qui intéressent le plus vos interlocuteurs.
  3. Parlez aux gens d'eux-mêmes et reconnaissez leur importance
  4. Respectez le jugement des autres et évitez les conflits.
  5. Ne dites jamais à quiconque qu'il a tort : nous avons tous
     tendance à rationaliser la croyance que nous avons indubitablement
     raison.
  6. Faites votre propre critique avant que d'autres aient l'occasion
     de vous critiquer: si vous avez tort, admettez-le!
  7. Avancez doucement, vous irez plus loin.
  8. Nous devrions tous permettre à nos amis de sentir qu'ils nous ont
     surpassé à un moment ou à un autre.
  9. Laissez parler les autres plus que vous.
  10. Découvrez pourquoi les autres pensent de cette façon; considérez
      les choses de leur point de vue.
  11. Témoignez de la compassion aux autres (on en a tous grand besoin )
  12. Traitez les gens avec respect, dignité, honnêteté, et un intérêt
      sincère; en général, ils vous renverront les mêmes sentiments.
  13. Mettez les autres au défi de mieux faire, ne les forcez jamais.
  14. Attirez l'attention sur les erreurs des autres de manière indirecte
      (n'allez pas le crier sur les toits)
  15. Faites en sorte que les difficultés semblent faciles à surmonter.
  16. Complimentez les plus petits progrès et stimulez les trésors
      cachés dans les individus
  17. Soyez amical.
  18. Efforcez-vous à sourire ! (vous y arriverez)
  19. Remarquez les qualités des autres
  20. Faites en sorte que les autres souhaitent suivre vos suggestions.
  21. Respectez toujours le temps des autres.
  22. Témoignez de l'intérêt à chaque personne que vous rencontrez.
  23. Rappelez-vous toujours que les bonnes manières sont faites de menus
      sacrifices
  24. Souvenez-vous des noms : le nom d'une personne est ce qu'il y a de
      plus doux à ses oreilles. Utilisez les principes I.R.O. pour vous
      aider à retenir le nom d'une personne :

  I. (Comment est-elle ? )      R. (Répétez 5 fois son nom)     O (Qu'est-ce qu'elle fait ?)
  M                             E                               C
  P                             P                               C
  R                             E                               U
  E                             T                               P
  S                             I                               A
  S                             T                               T
  I                             I                               I
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  N                             N                               N

  25. Répétez trois (3) fois ceci : "Agis avec enthousiasme et tu seras
      enthousiaste"- ça marche.
  26. Travaillez sur votre propre amélioration d'abord, souciez-vous
      de celle des autres après.
  27. Essayez d'offrir un peu de sympathie, de tolérance et de douceur,
      vous obtiendrez de bien meilleurs résultats qu'en étant impatient.
  28. Apprenez à faire la différence entre l'appréciation et la
      flatterie : l'une vient du coeur, l'autre du bout des lèvres.
  29. Acceptez le fait que chaque individu vous est supérieur d'une
      façon ou d'une autre, et tirez la leçon de ce principe.
  30. Quand elle n'est pas engagée dans la recherche d'une solution à un
      problème particulier, la majorité des hommes pense, 95% du temps,
      à soi-même. Si l'on pouvait réduire ce temps à 50%, les résultats
      seraient impressionnants.
  31. Pourquoi les gens s'intéresseraient-ils à vous et à moi, si nous
      ne nous intéressons pas d'abord à eux?
  32. Nous sommes tous préoccupés par ce que nous désirons; soyez un peu
      différent : intéressez-vous aux besoins et aux désirs de l'autre :
      essayez de comprendre son point de vue et de voir les choses de sa
      perspective autant que de la votre. Occupez-vous des autres et non
      seulement de vous.
  33. Essayez d'agir sans arrières-pensées.
  34. Si nous faisons les choses qui exigent du temps, de l'énergie, de
      la générosité et de la réflexion, nous nous ferons beaucoup d'amis.
  35. La capacité d'écouter est la plus rare des qualités (écoutez et
       apprenez).
  36. Ceci est un vieil adage: "agis avec les autres comme tu aimerais
      qu'ils agissent avec toi", nous savons tous qui l'a dit.
  37. Agis avec les autres comme ils aimeraient que tu agisses avec eux.
  38. Usez, dans vos rapports avec les autres, de petites phrases comme:
      "Je suis désolé de  vous déranger », « auriez-vous l'amabilité... ? »,
      « Pourriez-vous, s'il vous plaît... ? », « Merci », ce sont les marques
      d'une bonne éducation.
  39. Si c'est possible, soyez plus sage que les autres, mais sans le leur dire.

Et connaître les desseins des dieux....